Canicule
et météo extrême : nos descendants connaîtront
bien pire.
/../ l'été 2003 risque fort d'apparaître "frais" à nos descendants en 2100 Sécheresse :le mythe nucléaire s'évanouit ! Les engrais à l'origine de "zones de la mort" dans les océans Augmentation alarmante des concentrations de CO2 dans l'atmosphère L'avion,
gros émetteur de gaz à effet de serre
Réchauffement
de l'Arctique:
Le
réchauffement de la planète est
La
disparition des oiseaux pourrait avoir des conséquences
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La
Russie a décidé de ratifier le protocole de Kyoto,
permettant
au traité d'entrer en vigueur,
mais
les Etats-Unis continuent de s'y refuser.
Le
protocole de Kyoto entre en vigueur mercredi, sans les Etats-Unis
Contrairement à ce
qu'a fait valoir le président américain George Bush, qui
s'est retiré du Protocole
de Kyoto,
en partie parce que cela
coûterait selon lui des emplois,
le
monde n'a pas à choisir entre la lutte contre le changement climatique
et la croissance économique.
Les Etats-Unis ont exclu de
participer à toute réunion internationale
qui traiterait de l'avenir de la lutte contre le changement climatique à l'échéance du protocole de Kyoto en 2012 Après-Kyoto": les Etats-Unis
déposent une contre-proposition
BUENOS AIRES 14/12/04 - Les Etats-Unis ont exclu de participer à toute réunion internationale qui traiterait de l'avenir de la lutte contre le changement climatique à l'échéance du protocole de Kyoto en 2012, selon un document remis à la présidence argentine de la conférence de Buenos-Aires. Dans ce document, qui circulait lundi soir, les Américains se
disent prêts à participer à une réunion informelle
"d'une
journée" en mai 2005 sur les "politiques menées actuellement"
par les différents pays pour combattre le changement climatique.
Le document contient une référence à la Convention-climat, un premier accord de l'Onu assez faible que les Etats-Unis ont ratifié. Il n'évoque pas le protocole de Kyoto, qui a durci les dispositions de la Convention et que l'administration Bush a rejeté en 2001. Le protocole impose des quotas de réduction de CO2 et autres gaz à effet de serre aux pays industriels pour 2012. Il prévoit l'ouverture formelle de négociations en 2005 pour de nouveaux engagements de réduction à partir de 2013. Les Etats-Unis, n'étant pas partie à Kyoto, seront observateurs à ces négociations officielles, qui doivent démarrer en novembre 2005. Mais les Européens, citant l'aggravation du changement climatique, estiment qu'un accord post-2012 n'aura aucun sens sans les Etats-Unis, premier pollueur planétaire. Ils souhaitent donc impliquer ce pays d'une manière ou d'une autre dans un futur traité. Les Européens veulent aussi que les pays émergents comme la Chine, l'Inde et le Brésil, s'impliquent davantage à l'avenir. Ces pays ont ratifié Kyoto qui ne leur impose que des obligations d'inventaire. Ils voient dans tout engagement contraignant de réduction ou de maîtrise d'émissions polluantes une entrave à leur développement. Pour tenter de dénouer cet imbroglio byzantin, lourd de conséquences pour l'avenir, la présidence argentine a proposé la semaine dernière la tenue de deux réunions informelles, en avril/mai et septembre/octobre 2005, avant l'ouverture des négociations prévues dans le cadre du protocole de Kyoto. Le document des Etats-Unis, dont le négociateur américain a seulement confirmé l'existence mercredi après-midi, constitue une réponse à la proposition argentine. Il a été jugé "inacceptable" par plusieurs responsables européens. |