alternatives éducatives : des écoles, collèges & lycées différents
| Présentation | SOMMAIRE |
I Obligation scolaire & liberté I Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop ! Appel pour des éts innovants et coopératifs |
| Une école différente ? Pour une société différente ? Qui n'en veut ?! I L'heure de la... It's time for ... Re-creation |

Quelques autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité :
les rapports parents-profs, la maternelle à 2 ans, l'ennui à l'école les punitions collectives,  le téléphone portable, l'état des toilettes, le créationnisme...
 
 
 

AMERICAN WAY OF LIFE
Le système "éducatif" américain :

  Les organisations prônant la haine prolifèrent aux États-Unis depuis 2008.
(Skinheads, néonazis, Ku Klux Klan, ségrégationnistes noirs antisémites, extrêmistes juifs, etc...) 
Selon le rapport du Southern Poverty Law Center (SPLC), elles nont  cessé d’augmenter depuis quelques années : 
leur nombre est passé de 602 en 2000 à 926 fin 2008

   avril 2009
En Californie, les stigmates de la crise se multiplient.
"C'est terrible ! Chez moi, en Caroline du Nord (Etat entre Washington, DC, et la Floride), 
dans une région réputée plutôt riche même s'il y a beaucoup de gens modestes, et beaucoup de noirs, c'est l'horreur.

Les refuges pour sans abris débordent de familles jetées dehors, d'enfants qui font leurs devoirs sur les trottoirs.

   PLUS DE PRISONNIERS AUX ÉTATS UNIS QU'EN CHINE
Plus d'un adulte sur 100 (2,3 millions de personnes) derrière les barreaux aux États-Unis.
Chine, (plus d'un milliard d'habitants) : 1,5 million détenus, Russie: 890.000.
Les États-Unis ont le taux d'incarcération le plus élevé de la planète, supérieur à des pays comme l'Iran ou l'Afrique du Sud.

  2002 : Des extrémistes chrétiens en campagne pour Bush
A la veille de la convention du Parti républicain, qui doit s'ouvrir lundi 30 septembre à New York, Le Monde publie une enquête sur les fondamentalistes protestants – on en compte environ 30 millions –, qui constituent le socle idéologique et électoral de George W.  Bush. Ainsi que l'explique Alfred Ross, qui dirige le Centre d'étude pour la démocratie à New York, "les réseaux de la droite religieuse" sont "au cœur même du pouvoir républicain".
Opposés à l'avortement, aux recherches sur les cellules souches d'embryon et favorables à un modèle normatif en matière de mœurs, ils vont parfois même jusqu'à interdire la mixité dans certaines universités ou encore contester les études darwiniennes sur l'évolution des espèces. (Le Monde - 28.08.02)

  Les évangéliques : La secte qui veut conquérir le monde
C’est le courant religieux qui progresse le plus vite aujourd’hui. 
Ils sont déjà 500 millions qui croient à l’Armageddon, la bataille finale et prochaine entre les forces du Bien et du Mal. 
Ils s’appuient sur la télévision, internet, les jeux vidéo ou les romans de science-fiction pour convertir en masse. 
George W. Bush, comme nombre de ses ministres et conseillers, partage leur vision messianique du monde et de l’avenir. 
Jusqu’à l’extrême ? 

Les croisés américains du Home Schooling. Liée à l’église évangélique : la "Home School Legal Defense Association"

  Les créationnistes jouent sur du velours. Selon un sondage CBS de novembre 2004, 55 % des Américains croient que "Dieu a créé les humains dans leur forme actuelle"  (67 % des républicains ; 47 % des démocrates)

   "Je t'aime, Alex" : 4 mois de redressement.
Une jeune fille de 12 ans ayant écrit «Je t’aime Alex» sur les murs d’une école, a été envoyée pour 4 mois dans un établissement "accueillant" des élèves "en difficulté". La WWASP (du Pr. Skinner, le père de la psychologie comportementaliste, gère ces camps pour ados "difficiles" ("Tranquillity bay"). Pour 3000 dollars par mois, il promet de transformer ces récalcitrants en citoyens dociles et travailleurs.

  Écoles poudrières aux États-Unis.  "Pourquoi des jeunes se sentent-ils exclus et se vengent en tuant. C'est la vraie question, conclut le professeur Vianno. Et comme personne ne veut se la poser aux Etats-Unis, cela va continuer".

  21 meurtres d'élèves dans les écoles américaines en 2004/2005
Sur les 54,9 millions d'élèves dans les écoles américaines, 28 élèves sont décédés de morts violentes: 21 ont été tués et 7 se sont suicidés dans l'enceinte de l'école.

  Le Congrès pour les fouilles corporelles dans les écoles.

  Des aberrations scientifiques pour mieux prêcher la chasteté. Cette année, 40 des 50 Etats doivent faire face à diverses procédures visant à contester l'enseignement de la théorie de l'évolution dans les écoles publiques.

  Quelque 6000 étudiants sont attendus sur le campus  "sans péché" (l’Ave Maria University), qui ne connaîtra ni préservatifs ou autre moyen de contraception, ni homosexualité, ni avortement. "L’Ave Maria University doit devenir l’"académie militaire de la spiritualité"...

  La chute de l’éducation supérieure américaine. Les bourses accordées aux étudiants pauvres couvraient 70% du coût des études dans les années 90 contre la moitié aujourd’hui. L’étude souligne l’importante inégalité entre riches et pauvres en matière d’éducation supérieure.

   Etats-Unis : Une année d’étude à 50 000 dollars. L’Université privée George Washington est devenue la première université américaine à réclamer aux étudiants de premier cycle (undergraduates) plus de 50 000 dollars par an, soit 39 000 dollars pour les cours et 11 000 dollars de droits d’inscription. De façon générale (secteur privé et public confondu), les frais de scolarité et les droits d’inscription pour le premier cycle d’étude ont augmenté au cours des cinq dernières années de 35%.

  Les étudiants étrangers boudent les Etats-Unis.

  Une majorité de jeunes Américains incapables de situer l'Irak sur une carte.

  Un établissement scolaire de Californie oblige désormais ses élèves à porter des badges qui permettent de suivre leur moindre mouvement, comme pour le bétail.
Ces macarons sont munis d'un émetteur qui permet de garder la trace de l'élève, en enregistrant ses allées et venues lorsqu'il passe devant des bornes installées à l'entrée des salles de classe mais aussi dans les toilettes.
Cette technologie est habituellement utilisée pour les moutons ou l'inventaire des produits en magasin.
Le directeur justifie cette initiative pour lutter contre l'absentéisme en simplifiant l'appel et le vandalisme. 
"C'est stupide et ça craint".

  45 millions de personnes sans système de santé dans le pays le plus riche du monde.

  Le système de santé américain est le plus onéreux parmi les pays industrialisés et l'un des moins efficaces en terme de nombre de personnes couvertes.

Les inégalités s'accroissent aux Etats-Unis. L'écart de rémunération entre un PDG et un salarié aux Etats-Unis de 1 à 40 en 1980, est passé de 1 à 411 en 2005.

  Plus de téléviseurs que de personnes dans les foyers américains.

  L’abstinence sexuelle renforcée : 131 millions de dollars (augmentation de 30 millions) pour les programmes fédéraux vantant auprès des collégiens et lycéens américains les mérites de l’inexistence d’une vie sexuelle avant le mariage. 

  Quel est le véritable message des chrétiens évangéliques conservateurs ?
Les raisons de l’engagement politique des évangéliques américains : la défense de la morale traditionnelle et des valeurs chrétiennes.
Détour par Lynchburg, patrie de de la droite chrétienne. Et revue de détail de leurs thèmes de prédilection : refus de l’avortement et du mariage gay, la prière à l’école et le «home schooling» (l’école chez soi) ou le soutien à Israël.

  Expulsion de missionnaires évangéliques américains du mouvement "Nouvelles tribus" installés dans des régions à forte population indienne. Sous couvert d’évangélisation : exploitation illimitée et illégale des ressources naturelles en territoires indiens, au profit de compagnies nord-américaines comme General Dynamics et Westinghouse, elles-mêmes liées à l’industrie militaire et au constructeur automobile Ford. Cette organisation compterait une flotte d’aviation, pistes d’atterrissage, et puissant réseau de télécommunications. Plus grave, l’organisation est accusée de s’être servi de communautés entières, Yanomami entre autres, pour des expérimentations génétiques.

A Montreuil, "un pasteur miracle" américain attire les foules.

"Le racisme aux Etats-Unis est un monstre tapi". Beaucoup d'Américains voient La Nouvelle-Orléans comme un lieu de péché. Pour eux, les inondations sont un moyen de se débarrasser de la prostitution, du crime et de la drogue, et de favoriser les investissements.

  L’implantation de puces sous-cutanées autorisée sur des individus.

  Tous les citoyens américains auront un passeport à puce RFID en 2006.

Le nombre total des armes à feu en circulation aux Etats-Unis est estimé à plus de 200 millions, dont 65 millions d'armes de poing, pour une population totale de 284 millions d'habitants. Selon des statistiques gouvernementales remontant à la fin des années 90, les armes à feu sont la cause de la mort d'un enfant ou adolescent toutes les deux heures, par crime, accident ou suicide. En 1997, ces armes ont été responsables de la mort de 32.436 personnes, selon ces mêmes statistiques.

  Ce vent punitif qui vient d'Amérique. Il ne reste alors qu’à entonner l’antienne tocquevillienne de l’initiative citoyenne pour justifier l’importation en France des techniques locales de maintien de l’ordre américaines.

  Les Etats-Unis comptaient à la fin de l'an 2000 un nombre record de plus de deux millions de détenus.

  ... Autrement dit, doit-on se réjouir de vivre dans un État laïque ?  Et il a eu la mauvaise surprise de constater que pour tous ces indicateurs sans exception, son propre pays, au demeurant le plus dévot de tous, réalise les plus mauvais scores, et même souvent de très loin. 

  4000 Québécois fréquentent des écoles "clandestines" pentecôtistes.  Les écoles pentecôtistes enseignent notamment le créationnisme.



BRITISH WAY OF LIFE
Le "modèle" anglo-saxon,  libéral  ... et blairo-socialiste...
États-Unis
"Leçons" de Columbine : une autre pédagogie ?
Faute de crédits pour le tout-sécuritaire,
les écoles américaines sur le point de rédécouvrir la pédagogie ?
 

 Le 20 avril 1999, deux adolescents tuaient douze élèves et un enseignant dans leur lycée de Columbine (Colorado).

Le budget alloué par les Etats à la sécurité des écoles (détecteurs de métaux, caméras, systèmes d’alerte, formations spécialisées pour les officiers…) avait été alors considérablement augmenté. 

Dix ans plus tard - "crise" oblige -  le financement fédéral pour la sécurité scolaire a chuté d’un tiers (de 145 millions de dollars).
Le ministère de la justice ne finance plus la présence de policiers dans les écoles. 
Les Etats ont également réduit les dépenses : même celui du Colorado (lieu du massacre) n'organise plus sa convention annuelle de "prévention contre la violence".
 

La réduction des budgets alloués par l’Etat fédéral et les Etats confédérés implique donc une nouvelle approche de la sécurité à l’école.
Pour certains spécialistes de l’éducation, cette pénurie d’argent est l’occasion d’envisager une autre réponse au massacre de Columbine. 

Ainsi, plutôt que de continuer à investir dans des caméras de surveillance et innombrables systèmes de sécurité, ils préconisent de miser ... sur l’instauration de liens de confiance durables et stables entre élèves et adultes.

Et notamment  par plus de "présence" des adultes dans les écoles ! 
"Et ça ne coûte rien".


The Safety Lessons of Columbine, Re-Examined
Ten Years After the High School Shooting, Funding for Campus Security Fades, but Simpler, Low-Cost Measures Gain Favor
-  APRIL 14, 2009 - By STEPHANIE SIMON
The carnage at Columbine High on April 20, 1999, prompted a swift and aggressive response around the U.S.

Hundreds of millions of dollars flooded into schools after two seniors stalked the halls of Columbine in trench coats, killing 12 students and a teacher before committing suicide in the school library.

The money -- federal, state and local -- bought metal detectors, security cameras and elaborate emergency-response plans. It put 6,300 police officers on campuses and trained students to handle bullying and manage anger.
Lessons from Columbine

See details on government funding and schools' safety efforts.

Ten years later, the money is drying up. The primary pot of federal grants has been cut by a third, a loss of $145 million. The Justice Department has scrapped the cops in schools program, once budgeted at $180 million a year. States are slashing spending, too, or allowing districts to buy textbooks with funds once set aside for security measures.

Money is so tight that the Colorado district that includes Columbine High, which reopened four months after the shootings, has canceled its annual violence-prevention convention. Miami can afford to send just half as many students as it used to through anger-management training. Many educators and security consultants find the cutbacks frightening.

But others wonder whether progress is being measured by the wrong yardstick. Even as they clamor for more money, an alarming number of schools admit to ignoring inexpensive, common-sense safeguards. Federal funding for school crisis planning has been cut by 25% in recent years, a loss of nearly $10 million. But what good is a pricey plan, some officials ask, when close to 40% of administrators admit they aren't adequately training their own staff on emergency procedures?

Some anti-bullying and conflict-resolution workshops are based on solid research. But as those programs fall victim to funding shortfalls, some educators are asking whether they might be able to take up the slack not by spending more money, but by reforming school culture to nurture closer bonds between students and adults.

"A lot of stuff costs money, but I'm getting a little tired of that excuse," said John Weicker, security director for the public schools in Fort Wayne, Ind. "If everyone swept their own doorstep -- took care of what they need to take care of -- we'd get an awful lot done."

The federal government has actually boosted spending on what might be considered the "softer" components of safe schools. Grants for mental health and counseling, for instance, have soared from $20 million the year after Columbine to nearly $58 million today. That doesn't begin to make up for the cuts in other school-safety programs, officials say. But they say they are spending smarter.

"A lot of what we learned coming out of Columbine didn't [require] large sums of money," said William Modzeleski, who runs the U.S. Department of Education's Office of Safe and Drug Free Schools. "School safety is more than cameras, metal detectors and police officers."

Some point out that the money poured into security after Columbine didn't prevent the murders at Santana High School in Santee, Calif., at Red Lake High School in Red Lake, Minn., and at West Nickel Mines Amish School in Lancaster County, Pa., among others.

But some officials say such incidents could be reduced by stoking awareness and ratcheting down the everyday brawls and taunts that disrupt education at some schools.

In a recent survey of 445 educators conducted by the American Association of School Administrators, nearly 80% of respondents called school-safety funds "stretched" or "inadequate." Yet many also said they left quick, inexpensive fixes undone. More than 15% reported that their school entrances are neither locked nor monitored. A third confessed to propping open doors, giving intruders easy access. One in five didn't equip recess and field-trip monitors with walkie-talkies to report suspicious sightings or brewing conflicts.

And 29% either had no safety committee or indicated doubts about its effectiveness. Such committees are intended to bring together parents, teachers and local law enforcement at regular intervals.

"Many, many districts still have the Mayberry mentality -- we're nice and quiet" and it won't happen here, said Paul Timm, president of consulting firm RETA Security.

Schools hold regular fire drills because they are mandated by law. They work; no student has died in a school fire for decades. But Mr. Timm says far too few schools hold lock-down drills, or run tabletop simulations of a crisis with police and paramedics.

Immediately after Columbine, schools made a strong push to establish closer bonds among kids and between students and teachers. Initiatives were as simple as requiring everyone to wear name badges, or as involved as training custodians, lunchroom staff, secretaries -- any adult on campus -- to mentor students and offer a sympathetic ear.

But educators say that such efforts have faded, replaced by a new emphasis on standardized tests and heavy pressure to boost academic achievement.

The strain is exacerbated by larger class sizes, which make it harder for teachers to get to know their students well. A recent survey by the American Association of School Administrators found 44% of districts are packing more children into classes.

"We pushed educators to get those numbers up, get those numbers up" -- and that left less time "for caring about each other and being involved in kids' lives," said Bill Bond, a school safety specialist with the National Association of Secondary School Principals.

Mr. Bond was the principal at Heath High School in West Paducah, Ky., on Dec. 1, 1997, when a student opened fire on a morning prayer circle, killing three girls. In response, Mr. Bond assigned each teacher several students to mentor and set aside three 25-minute periods a week to build those relationships.

That program is still going, but other priorities have squeezed the mentor meetings to once or twice a month. The school's current principal, Russ Tilford, says he values the mentor program, but also relies on other, less time-consuming ways to build a sense of community.

The school maintains a practice, started after the shooting, of posting three teachers at every entrance in the morning. Officially, they are there to check backpacks -- but really it's more of a welcome-to-school greeting, Mr. Tilford said. This year, he also started a kindness club promoted by the parent of a girl killed at Columbine; members write down acts of kindness they see on campus and turn those notes into paper chains that festoon the halls.

Other principals have found their own approaches to maintaining a safe environment on the cheap. In Round Rock, Texas, just outside Austin, middle-school principal Barbara Paris rustles up corporate sponsors to fund after-school activities, which let kids bond with adult advisers over shared hobbies. Nearly 30% of schools nationally are cutting extracurricular activities to save money, but Ms. Paris refuses.

"Whatever you can do to connect a kid to the school is important," Ms. Paris said, "whether it's chess club or a robotics club."

Tommie McCarter, the principal of impoverished Westwood High School in Memphis, Tenn., also recruits local sponsors to buy pizza and host skating parties to reward students for good behavior. But Ms. McCarter said her best inspiration was to order teachers to stand in the hallways between classes, instead of taking a break at their desks.

The adult presence has transformed the school, Ms. McCarter said. She now breaks up perhaps four or five fights a year, instead of one a day.

The district gave Westwood High a metal detector a few years back, and it is in daily use at the entrance. But Ms. Carter is far more enamored of her low-tech approach: "Being visible," she said. "And that's no cost."

 

LE GUIDE ANNUAIRE DES ECOLES DIFFERENTES
l'école autrement : des écoles, collèges et lycées différents
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| Le nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation ? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme scolaire et "éducation alternative" | Jaune devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le lycée "expérimental" de Saint-Nazaire | Le collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure de la... It's time for ... Re-creation | Freinet dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer l'école | Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !| L'école Vitruve |
| Colloque Freinet à ... Londres | Des écoles publiques "expérimentales" |
| 68 - 98 : les 30 P-l-eureuses | Et l'horreur éducative ?