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Les
pom-pom girls devront être plus sages au Texas
AUSTIN, Texas (Reuters) 05/05/05 - La Chambre des représentants du Texas a approuvé un projet de loi interdisant les chorégraphies trop "suggestives" des pom-pom girls lors des rencontres sportives dans les lycées de l'Etat. Ce projet de loi, qui donnera à l'Agence texane de l'éducation le droit de sanctionner les lycées qui autorisent les chorégraphies "ouvertement suggestives" lors des matches de football ou d'autres événements sportifs, a été approuvé par 85 députés contre 55. Le texte, qui ne définit pas précisément ce qui fait le caractère "suggestif" d'une chorégraphie, doit encore être approuvé par le Sénat texan pour entrer en vigueur. "Des gens m'appellent et me disent combien ils trouvent dégoûtantes ces chorégraphies suggestives de pom-pom girls ou de majorettes", a déclaré Al Edwards, élu démocrate de Houston, qui a présenté le projet de loi. Senfronia Thompson, une autre parlementaire démocrate, juge pour sa part qu'il s'agit d'une perte de temps. "Je pense que l'Agence texane de l'éducation a suffisamment
à faire pour s'assurer que nos enfants sont bien éduqués",
a-t-elle déclaré à la Chambre.
Le Texas envisage d'interdire les pom-pom girls trop sexys à l'école AUSTIN (AFP) - Le parlement du Texas, Etat du sud réputé
pour ses majorettes supportrices d'équipes locales de football américain,
envisage une loi pour interdire dans ses écoles les numéros
de pom-pom girls jugés trop suggestifs.
L'un des co-auteurs du projet de loi, le républicain Corbin Van Arsdale, a indiqué que de nombreux parents souhaitaient de telles restrictions car ils étaient choqués par ce qu'ils voyaient en se rendant à des matches scolaires le vendredi soir. "Il y a des enfants qui voient des choses que leurs parents ne voudraient pas qu'ils voient", a déclaré M. Van Arsdale. Le projet de loi est critiqué par l'Association nationale des majorettes et par l'American Civil Liberties Union (ACLU), la plus grande organisation américaine de défense des droits civiques, pour qui, avec ce texte, "toute plainte pourrait viser n'importe quel pas de danse, sans limitation". Le Texas est connu notamment pour ses pom-pom girls de l'équipe de football américain des Dallas Cowboys créées dans les années 70. Les pom-pom girls sont devenus depuis un phénomène de société présent dans de très nombreux établissements scolaires des Etats-Unis. "Nous devrions revenir aux traditions, à l'art de la danse",
a estimé Tommy Merritt, un républicain du Texas.
Emprisonné pendant 35 ans pour avoir volé une télévision HILLSBOROUGH, Caroline du Nord (AP- 29 05 05) - Après 35 années passées en prison, l'Américain Junior Allen est enfin un homme libre. Sa faute originelle: avoir volé un téléviseur d'une valeur de 140 dollars (111 euros). "Je suis heureux d'être dehors", a expliqué cet homme de 65 ans à sa sortie de prison vendredi après avoir purgé une peine plus longue que de nombreux meurtriers ou violeurs. Il doit désormais rejoindre sa famille en Caroline du Nord. "Je suis resté beaucoup trop longtemps en prison par rapport à ce que j'ai fait. Je ne serai vraiment heureux que lorsque j'aurai vu un panneau qui m'indique que je suis sorti de Caroline du Nord", a-t-il ajouté. Junior Allen a été condamné à la prison à perpétuité pour un cambriolage au second degré en 1970 après s'être introduit dans une maison non fermée et y avoir volé une télévision noir et blanc. A l'époque, il était travailleur agricole saisonnier. Originaire de Géorgie, son casier judiciaire incluait plusieurs cambriolages et une agression avec violence. Aujourd'hui, la peine la plus lourde encourue pour un tel délit est l'emprisonnement pour une durée de trois ans. Junior Allen a finalement été libéré après
sa 26e demande de libération sur parole mais il sera toujours suivi
par les autorités géorgiennes. Sa période de liberté
conditionnelle pourrait encore durer cinq ans. AP
Plus de téléviseurs que de personnes dans les foyers américains WASHINGTON (AFP- 22 09 06) - Le nombre de postes de télévision a supplanté le nombre d'individus dans les foyers américains, selon l'institut de recherche sur les médias Nielsen. "Aujourd'hui, un ménage américain moyen compte 2,73 postes de télévision pour 2,55 personnes en moyenne", a indiqué à l'AFP le porte-parole de l'institut, Gary Holmes. Selon lui, cette tendance est due au moindre coût des téléviseurs et à la multiplication de l'offre de programmes sur le petit écran. "Avec la prolifération des chaînes et des programmes télévisés, chacun à la maison veut de plus en plus son propre poste", explique Holmes. La moitié des foyers américains possèdent au moins trois téléviseurs, et seulement 19% n'en ont qu'un seul. La situation s'est inversée depuis 1975 où 57% des ménages possédaient une télévision et 11% en avaient trois ou plus. L'augmentation du nombre de postes de télévision coïncide avec la hausse du temps passé devant le poste, qui atteint un record d'en moyenne 8 heures et 14 minutes par jour et par ménage, soit 3 minutes de plus qu'à la saison 2004-2005. Le temps passé quotidiennement par individu devant son poste est de 4 heures et 35 minutes, un nouveau record après une hausse de 3 minutes, selon Gary Holmes. Une autre découverte surprenante, selon le porte-parole, est l'augmentation du temps passé à regarder la télévision chez les adolescents, notamment les filles, alors même que d'autres médias se développent en parallèle. Les 12-17 ans en général ont regardé 3% de plus la télévision cette année, avec une hausse de 6% pour les filles. "Ces résultas montrent que la télévision reste le moyen de divertissement le plus populaire", estime Patricia McDonough, experte à l'institut Nielsen. "Pour l'instant, la consommation de nouvelles formes de divertissement (...) ne semble pas avoir d'impact sur le visionnage traditionnel de la télévision", a-t-elle précisé.
Un week-end de violence meurtrière effraie l'Amérique Le Monde - 14.03.05
Onze meurtres en deux jours : les images de faits divers sanglants et de
chasse à l'homme ont envahi, ce week-end, les chaînes de télévision
américaines et la "une" des journaux. Une violence d'autant plus
choquante qu'elle semble incompréhensible, gratuite et absurde.
New York de notre correspondant Dans le Wisconsin, un homme a ouvert le feu, samedi 12 mars, dans un hôtel de la banlieue de Milwaukee pendant le service religieux d'une Eglise évangélique. Il a tué sept fidèles avant de retourner son arme contre lui. Quatre personnes se trouvent dans un état grave. Le meurtrier, âgé de 44 ans, Terry Ratzmann, est décrit par ses voisins comme un homme tranquille, ordinaire, profondément croyant, qui entretenait son jardin avec minutie. Il appartenait à l'Eglise vivante de Dieu ( Living Church of God), qui annonce l'imminence de l'Apocalypse, et vivait dans une maisonnette avec sa mère et sa sœur, dans une petite localité. La police n'a encore trouvé aucune raison à sa rage meurtrière si ce n'est une colère, il y a plusieurs semaines, contre un sermon. Pendant ce temps, à l'autre bout du pays, à Atlanta (Géorgie), après une chasse à l'homme de vingt-six heures en direct sur les écrans, Brian Nichols, 33 ans, s'est livré à la police. Sa cavale meurtrière a commencé dans la matinée du 11 mars au tribunal. Il était accusé d'avoir fait irruption chez son ancienne petite amie une arme à la main et de l'avoir séquestrée et violée pendant deux jours. Adepte des arts martiaux, ancien joueur de football américain, il a réussi avant l'audience à s'emparer du pistolet de la policière de 51 ans qui le gardait et à lui tirer une balle dans la tête. Celle-ci se trouve dans un état critique. Il s'est rendu ensuite dans la salle du tribunal, a tué le juge, une journaliste et un garde qui tentait de s'opposer à sa fuite. Il s'est emparé de plusieurs véhicules et a tué au passage un agent des services de l'immigration. Brian Nichols a enfin pris une femme en otage chez elle dans la nuit de vendredi à samedi. Elle a réussi à s'échapper et a prévenu les autorités. Cerné, le forcené s'est rendu. Il est présenté par ses proches comme un garçon "plein de qualités" ayant fait des études et venant d'une "bonne famille". A Chicago (Illinois), il y a trois semaines, le mari et la mère d'une juge fédérale ont été assassinés d'une balle dans la tête au domicile familial. Le meurtrier, Bart Ross, 57 ans, a avoué avant de se suicider. Il voulait se venger de la magistrate. Elle avait refusé d'engager des poursuites contre des médecins qui l'avaient traité pour un cancer qui l'a défiguré. La polémique grandit aux Etats-Unis sur la protection insuffisante des juges et des tribunaux. Ces trente-cinq dernières années, une douzaine de magistrats ont été assassinés, souvent par d'anciens justiciables. Les juges ont peur, en dépit des détecteurs de métaux à l'entrée des tribunaux et des gilets pare-balles qu'on leur fait parfois porter. Ils l'avouent maintenant depuis quelques jours. En moyenne, selon la police, 700 menaces sont proférées chaque année aux Etats-Unis contre des magistrats. Eric Leser
Une fillette de cinq ans menottée par la police après une colère à l'école 18.03.05 - Une fillette de cinq ans a été menottée puis emmenée par la police de Floride (sud-est) après être entrée dans une colère destructrice en classe, a indiqué vendredi le journal St Petersburg Times. Les élèves étaient en train de compter des bonbons pour un exercice de mathématiques lorsque l'enfant s'est révoltée contre sa maîtresse qui lui retirait les confiseries. La fillette lui a porté un coup dans l'estomac, a cassé des assiettes et jeté des livres, selon le journal. Alertée, la police est arrivée pour calmer l'enfant en
lui attachant les pieds et les mains avant de l'emmener dans un véhicule
policier, affirme le journal."Je ne veux pas aller en prison", a
lancé la fillette, qui a été ensuite remise à
ses parents.
![]() May 3, 2001
Megan's father, Robert Cahanin, recalls that when he first saw the bruises, hours after she was paddled by her school principal for elbowing a friend in the cafeteria, he collapsed on the floor, crying. Then he picked up the phone and called the police, the school board, the governor, his lawyer. "It hurt me more than it hurt Megan," Mr. Cahanin said in a twist on the old parental prespanking saw. "You don't hit on my baby." Megan, a fourth grader whose name appears more often on the honor roll than on a referral slip to the principal's office, is one of millions of public school students still subject to corporal punishment, and in March her family joined a small but apparently growing number who are suing to stop it. Megan's classmate DeWayne Ebarb, a hyperactive child who has been paddled regularly throughout his time at Zwolle Elementary — on 17 occasions in 8 weeks last fall alone — filed a second suit in late April, leaving this close- knit logging town of 2,000 pondering a practice as old as time. Though it gets little attention, corporal punishment in schools remains legal in 23 states, and the United States Education Department's most recent data show that 365,000 children were paddled in the 1997-98 school year, most in a swath of Southern states that could be called the Belt Belt. Yet recent debate over corporal punishment focuses largely on parents, with even many pro-spanking psychologists and pediatricians loath to support the principal's paddle. At the same time, though, some school districts and states say they must increasingly rely on physical discipline as the public pushes for a crackdown on student misbehavior. And legislation pending in Congress as part of President Bush's education package could expand the practice by giving teachers and principals broad protection from liability for disciplinary actions. "Almost every democracy in the world has bans on corporal punishment — we're going in the opposite direction," said Robert Fathman of Dublin, Ohio, president of the National Coalition to Abolish Corporal Punishment in Schools. "You can't whack a prisoner, but you can whack a kindergarten child." But in many communities like Zwolle (pronounced zeh-WAH-lee), a hamlet about 80 miles south of Shreveport best known for its annual tamale festival, parents and educators base their support for corporal punishment on two powerful sources: the Bible, and their own experience. "That's the way that I grew up, that's the way it's always been in this society here," said Dan Leslie, superintendent in Sabine Parish, whose 12 schools include Zwolle Elementary. "You act ugly, you do something bad, you get a whipping." Of the 27 states that have banned corporal punishment in school, the first was New Jersey, in 1867. Massachusetts came next, a century later, in 1971. When Mr. Fathman started his crusade in 1984, after his own daughter landed on the painful end of a paddle, five states had adopted bans. The 27th, West Virginia, acted in 1994, following states that also include New York and Connecticut. The number of paddlings around the country, the Education Department figures show, dropped from 1.4 million in the 1979-80 school year to 613,000 in 1989-90 to 470,000 in 1993-94. In many states that allow corporal punishment, individual districts ban it, and in most schools that allow it parents can sign a form exempting their children. Black students are 2.5 times as likely to be struck as white students, a reflection of what researchers have long found to be more frequent and harsher discipline for members of minorities. Court challenges have been largely unsuccessful, given a 1977 decision by the Supreme Court rejecting the notion that paddling is cruel and unusual punishment. A decade later, a federal appeals court ruled that a New Mexico girl held upside down and beaten had been denied due process, signaling that school officials could be held liable for severe beatings. But similar findings have been rare. "The vast preponderance of the lawsuits challenging the use of corporal punishment in individual instances are unsuccessful," said Charles Vergon, a professor at Youngstown State University in Ohio who has studied the issue for 15 years. Families tend to win such cases, Professor Vergon said, only when educators have "abused in a fairly significant way the public's trust." The federal liability-protection legislation mimicks statutes in nine states where paddling is popular, including Louisiana. Scott McLellan, a White House spokesman, said the measure would head off frivolous lawsuits against educators and cited a survey showing that 31 percent of high school principals were involved in litigation last year, up from 9 percent a decade earlier. Many education and medical groups oppose corporal punishment, saying it aggravates aggression and can cause depression. But Robert Surgenor, a detective in Berea, Ohio, who wrote a recent book on corporal punishment, said "pain is probably the most effective form of discipline." Over 14 years, Detective Surgenor said, he investigated more than 150 cases of children who had assaulted their parents and found that fewer than 2 percent had been subjected to corporal punishment, a much smaller proportion than in the community as a whole. Emily Williams, a kindergarten teacher in rural Mississippi, said that when she arrived from Williams College last year, she was horrified to hear teachers striking students in the hallways, the classroom and the cafeteria. But by March, frustrated by her own inability to control her class, she had picked up the paddle herself. "It's so easy to say that's crazy or that's brutal or unnecessary or savage, but it's part of the whole system," Ms. Williams said. "A lot of things are different down here." Robert Cahanin and his wife, Chenette, never complained when their older child, Matthew, got a few swats for leaving his seat or ignoring directions. But it was different when Mrs. Cahanin picked up Megan, who weighed 68 pounds, from school that day last December. Megan started to cry. Then she showed the bruises. "She had to give me a reason why she hit Megan that hard," Mrs. Cahanin said of the principal, Judy Rials, who had administered the customary three licks. "If I had done that to Megan, I would be consulting an attorney to get me out of jail." When she heard of the Cahanins' complaints, Joy Ebarb, DeWayne's mother, began to question the repeated paddling of her son, who takes Ritalin for attention deficit hyperactivity disorder. DeWayne says the paddling does not hurt. But his mother says he has started to flinch when she reaches to hug him. At school, Mrs. Rials keeps the Ten Commandments posted behind her desk, along with the aphorisms "When we tolerate everything . . . we stand for nothing," and "That which doesn't kill you will make you stronger." The teachers have 3-by-9- inch paddles, most made by students in wood shop; Mrs. Rials's, about six inches longer, was taken by the district attorney's office, which cleared her after an investigation into the paddling of Megan. "It's not our favorite part of the day," Mrs. Rials said of paddling, which she has done hundreds of times in four years as principal. But it is better than suspension, she said, particularly for fourth graders, who must pass a state test to be promoted. "You can't educate a child if they're not in the classroom," she said. "Keeping children from the classroom could be devastating. It could change their lives." Since her paddling, Megan Cahanin has started biting her nails and, most mornings, tries to avoid going to school, her parents say. The Cahanin and Ebarb lawsuits, against the school district and Mrs. Rials, argue that corporal punishment violates the guarantee of equal protection, since it is illegal for those in authority to hit prisoners, nursing home residents or children in foster care. The question has generated scores of messages on a community forum on the Internet, and gossip around town. Some accuse Megan's parents of beating her themselves, or blame them for showing the snapshots around. Others suggest that the whole school district, the entire town hierarchy, is corrupt. People quote religious maxims, and talk about when they were coming up. "The Lord said, Spare the rod, spoil the child, and I think he knows a lot more than those bleeding-heart liberals," Pat Ebarb (no relation to DeWayne), the police chief in nearby Noble, said over coffee and cigarettes at Bill & Sissy's Cafe. "A child needs discipline. I don't believe they ought to be abused or mistreated, but if they need their behind dusted, let them get it." Tears come whenever Mrs. Cahanin takes out those pictures of her daughter's bruised buttocks. With sorrow, she recalls a moment months before when Megan was playing school in her room, swinging a fly-swatter at her dolls' backsides, and wishes she had signed a paper that would have prohibited paddling her daughter. Megan, sitting on her parents' back porch watching a downpour hit Toledo Bend Lake, said, "You try to forget about it, but sometimes you just can't." "It's so painful seeing that lady every day," she said. "Whenever I see a paddle, I just move away." |
| Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |