| Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
|
L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Appel
pour des éts innovants et coopératifs |
L'image
des Etats-Unis dans le monde continue à se dégrader
Écoles poudrières aux États-Unis. "Pourquoi des jeunes se sentent-ils exclus et se vengent en tuant. C'est la vraie question, conclut le professeur Vianno. Et comme personne ne veut se la poser aux Etats-Unis, cela va continuer". 21
meurtres d'élèves dans les écoles américaines
en 2004/2005
|
L'ONU
estime que l'utilisation du Taser X-26 est "une forme de torture"
Le Monde - 23.11.07
"L'usage de ces armes provoque une douleur aiguë", pouvant aller jusqu'à "causer la mort, ainsi que l'ont révélé des études fiables et des faits récents survenus dans la pratique", ont déclaré les dix membres du Comité, dans une recommandation délivrée au Portugal, pays qui a acheté pour sa police des pistolets de type Taser X-26. "Les conséquences sur l'état physique et mental des personnes ciblées serait de nature à violer" les dispositions de la Convention anti-torture de l'ONU, notent également les experts, qui ont demandé à Lisbonne d'"envisager de renoncer à l'usage des armes électriques". UTILISÉ PAR 3 000 POLICIERS EN FRANCE Le Taser X-26 est actuellement utilisé par quelque 3 000 policiers et gendarmes en France. La deuxième loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (Lopsi), entrée en vigueur en 2007, prévoit d'ores et déjà d'étendre son utilisation en 2009 ; et même la police municipale, qui compte actuellement 17 000 hommes, pourrait en être équipée. Pour cela, le gouvernement devra modifier le décret du 24 mars 2000, qui classait l'arme en catégorie 4 et excluait donc son utilisation par les forces de l'ordre. L'avis du comité de l'ONU contre la torture intervient alors qu'un nouveau décès lié à l'utilisation d'un Taser a eu lieu, jeudi, au Canada. Un homme de 45 ans est mort dans la province de Nouvelle-Ecosse après avoir reçu une décharge électrique, sans que l'on connaisse les circonstances exactes du décès. Tout en indiquant qu'il "serait très prématuré de conclure que le Taser a contribué à la mort de cet homme", les autorités de la province ont ordonné un réexamen immédiat de l'utilisation du Taser. Le ministère de la sécurité publique canadien avait déjà ordonné un réexamen complet des procédures d'utilisation de ce pistolet électrique, le 14 octobre, après la mort d'un homme ayant reçu plusieurs décharges à l'aéroport de Vancouver. En se basant sur "des analyses médico-légales",
le fabricant de l'arme affirme que des décès similaires ont
été "attribués" à "d'autres facteurs et non
aux décharges électriques de basse intensité du Taser".
Amnesty International, qui demande son interdiction, assure pour sa part
que dix-huit personnes sont décédées au Canada et
plus de 280 aux Etats-Unis à la suite d'incidents liés à
cette arme.
Malgré la controverse, la France adopte le Taser Quelques 3000 pistolets ont été distribués aux forces de l'ordre, l'arme paralysante envoie une décharge de 50 000 volts dans le corps. Avant de l'utiliser, essai obligatoire sur les policiers. Le point rouge
du laser se pose sur la cible, la cartouche est libérée,
et des petits hameçons s'accrochent aux vêtements : puis la
décharge électrique foudroie le suspect.
Mais c'est dans une manifestation que Virginie, 19 ans, a été foudroyée : "Le Taser c'est quand même quelque chose qui fait super mal. Moi regardez, je fais 1,50m et 40 kilogs et on l'a utilisé sur moi, on l'a utilisé même trois fois. Je pense que ce n'est pas justifié et en France, on ne devrait pas s'en servir. " Un avis partagé par Amnesty international qui dénonce les risques, le pistolet électrique aurait tué plus de 150 personnes aux Etats-Unis depuis 2001. Mais qu'importe les critiques, la société Taser espère
conquérir maintenant le grand public, notamment avec ce modèle
spécialement destiné aux femmes. Avant de l'acheter, seule
obligation : passer un test psychologique et suivre une formation.
Olivier Besancenot et une association poursuivis par le distributeur du Taser --afp----20 07 07 -- Olivier Besancenot, porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), est poursuivi par la société commercialisant en France le pistolet à impulsions électriques Taser, pour avoir affirmé que cette arme avait causé des décès aux Etats-Unis, a-t-on appris jeudi de sources concordantes. Le Réseau d'alerte et d'intervention pour les droits de l'homme (RAID-H), est également visé par une plainte similaire. L'ancien candidat de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) à la dernière élection présidentielle est convoqué le 17 septembre devant la 17ème chambre civile du tribunal de grande instance (TGI) de Paris pour diffamation contre la société Taser, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. La société distribuant le pistolet à impulsions électriques (PIE) a porté plainte contre le porte-parole de la LCR après que celui-ci a déclaré que cette arme avait causé la mort de 152 personnes aux Etats-Unis. M. Besancenot a reçu une assignation en date du 4 juillet suite à des propos tenus sur Canal + en novembre dernier, quand il avait déclaré que ce petit pistolet, qui a l’air d’un jouet, tout simple et très sympathique, (...) a causé des dizaines de morts aux Etats-Unis", a indiqué un porte-parole de la LCR, confirmant une information du Parisien. Sont également visés des écrits sur son blog et des "propos de meeting". Le distributeur du Taser (SMP Technologies), présenté comme une arme non-létale, réclame 50.000 euros. L'association RAID-H, qui a lancé une pétition et une campagne contre le Taser, sur laquelle s'est notamment appuyé M. Besancenot, est visé par une assignation similaire pour "dénigrement", également en date du 4 juillet et pour un montant de 61.000 euros, a-t-on appris auprès de l'association. Le Taser X 26, qui envoie sur sa cible deux dards délivrant une
décharge de 50.000 volts, entre en service progressivement dans
la police et la gendarmerie.
Poursuites contre Amnesty International: l'importateur français du Taser débouté 11 03 08 - L'importateur français du pistolet Taser à
impulsions électriques a été débouté
mardi, par le juge des référés de Paris, de son action
contre Amnesty International, qu'il accusait d'avoir porté "atteinte
à sa réputation".
Depuis 2004, la société SMP Technologies équipe l'armée, la police nationale et la gendarmerie françaises du Taser X-26, une arme très controversée qui envoie des décharges de 50.000 volts permettant de maîtriser quelqu'un. Le 10 mai 2007, la section française d'Amnesty International publiait un communiqué de presse sur lequel figuraient deux informations: il faisait état de la mise en vente d'un Taser sur le site d'enchères eBay et, dans un second temps, il affirmait qu'à ce jour, 220 personnes étaient mortes aux Etats-Unis après avoir été touchées par cette arme incapacitante. Le 25 mai, SMP Technologies sommait Amnesty de publier un démenti, sans préciser sur laquelle des deux informations il devait porter. Amnesty reconnaissait alors que le communiqué avait été envoyé à la suite d'"une erreur de manipulation" et s'engageait, sans plus de précisions, à "publier dans les plus brefs délais un démenti". Huit mois plus tard, SMP Technologies a assigné l'organisation de défense des droits de l'Homme pour la contraindre à honorer ses engagements. Car, avait expliqué Me Catherine Hennequin lors de l'audience du 4 mars, Amnesty International n'a jamais publié ce démenti et a continué à déclarer en 2007 que des morts étaient imputables au Taser. Selon l'avocate, cela constitue "une atteinte à la réputation" de la société et "un trouble manifestement illicite". Mardi, le juge des référés Jacques Gondran de Robert lui a donné tort, considérant que "le fait pour Amnesty International de ne pas avoir publié un démenti (...) ne saurait constituer un trouble illicite". Le 4 mars, l'avocat d'Amnesty International, Me Simon Foreman, avait plaidé que "l'erreur" invoquée par l'organisation en mai 2007 concernait uniquement la vente du Taser sur eBay mais "pas le caractère dangereux" de cette arme. Après vérification, l'organisation s'était rendu compte que l'objet vendu sur eBay n'était pas un Taser mais un gadget publicitaire. Me Foreman avait alors dénoncé la démarche de SMP Technologies "dont la seule finalité est l'intimidation". Amnesty International "n'a jamais appelé au boycott du Taser mais demande que des vérifications sérieuses soient faites" sur ses effets médicaux, avait-il dit, en déplorant que "depuis 30 à 40 ans qu'elle existe en France, c'est la première fois que l'organisation est attaquée" pour une histoire de ce type. |
| LE
GUIDE-ANNUAIRE |
Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |