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école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
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L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Appel
pour des éts innovants et coopératifs |
Archives (1978)
Ecoles
parallèles ... Lieux de vie ... Réseaux ...
par
Liane Mozère
Auteur
avec G. Aubert « Babillages… Des crèches aux multiplicités
d’enfants ». Recherches, Paris, 1977.
Ivan Illich avait naguère
expliqué qu'on allait plus vite en vélo qu'en voiture
si l'on prenait en compte
le temps gaspillé à travailler pour acheter une auto, de
l'essence et tutti quanti.
Le vrai problème,
c'est le sens du travail humain.
Le
moteur à eau ne serait-il qu'une utopie?
Non. Mais son inventeur
est aujourd'hui interné et les pétroliers, Total en tête,
crient à la fumisterie.
Alors,
on n'a pas école aujourd'hui ?
Quand on parle
de l'école aujourd'hui, on ne trouve pas de mots assez durs pour
stigmatiser ses faiblesses, ses carences.
Chacun a son
histoire, ses anecdotes, plus péjoratives les unes que les autres,
qui ne fleurent guère la nostalgie ...
...A vrai dire,
les « écoles parallèles » souffrent de ne pas
mener la réflexion politique jusqu'au bout...
(1978)
2016 - 2017
école
autrement, école alternative, école différente ...
Une
autre
école est-elle possible ?
Ivan Illich (1926 - 2002) Né à Vienne en 1926, il arrive aux États-Unis en 1951, et travaille comme assistant auprès du pasteur d'une paroisse portoricaine de New York. Entre 1956 et 1960, il est vice-recteur de l'Université catholique de Porto Rico, où il met sur pied un centre de formation pour les prêtres américains qui doivent se familiariser avec la culture latino-américaine. Illich fut co-fondateur du Center for Intercultural Documentation (CIDOC) à Cuernavaca, Mexico. À compter de 1964, il a dirigé des séminaires sur le thème «Alternatives institutionnelles dans une société technologique», avec un accent spécial sur l'Amérique Latine. Il vit désormais sur le mode de l'amitié. Polyglotte, homme du Sud autant que du Nord, solidement enraciné en Occident et familier avec l'Orient, Illich mérite pleinement la qualité d'humaniste. Ses écrits sur l'école, la santé, la convivialité, l'énergie ont eu un rayonnement universel, provoquant de féconds débats dans de nombreux pays. Vie et oeuvre
C'est aussi une personnalité complexe. On disait à l'époque qu'Ivan Illich était un homme intelligent qui aimait à s'entourer de gens intelligents et qu'il lui était difficile de dissimuler son mépris à l'égard des personnes qu'il trouvait stupides. Il pouvait tout à la fois se montrer extrêmement cordial et tourner brutalement en ridicule ceux qui l'interpellaient. Travailleur infatigable, polyglotte, cosmopolite, il professait des idées, que ce fût sur l'Église et son évolution, sur la culture et l'éducation, sur la médecine ou sur les transports dans les sociétés modernes, qui toutes suscitèrent des controverses qui finirent par faire de lui une des figures emblématiques de l'époque. Cependant, Illich lui-même provoquait en partie la polémique par sa personnalité, son style, ses méthodes de travail ou le radicalisme de ses idées. Pour les spécialistes de l'éducation, Ivan Illich est le père de l'éducation sans école, l'auteur qui condamne sans appel le système scolaire désigné comme l'une des multiples institutions publiques qui exercent des fonctions anachroniques, ne s'adaptent pas à la rapidité des changements et ne servent qu'à stabiliser et à protéger la structure de la société qui les a produites. Origine et destin
Alors que le Vatican le destinait à la carrière diplomatique, Illich opta pour la prêtrise et fut nommé vicaire d'une église paroissiale irlandaise et portoricaine à New York. Il séjourna dans cette ville de 1951 à 1956. En 1956, il quitta New York pour assumer la fonction de vice-recteur de l'Université catholique de Ponse à Porto Rico. L'intérêt qu'il portait au développement de ce qu'il appelait la «sensibilité interculturelle» l'amena à créer, peu de temps après sa nomination, l'Instituto de Communicación Intercultural. Cet institut, qui fonctionnait seulement durant les mois d'été, avait pour mission d'enseigner l'espagnol à des ecclésiastiques et à des laïcs américains qui seraient appelés par la suite à travailler parmi les Portoricains émigrés dans les villes d'Amérique du Nord. Bien que l'apprentissage de l'espagnol constituât une partie importante des activités de l'institut, Illich insistait sur le fait que le programme était essentiellement destiné à développer, chez des personnes appartenant à des cultures différentes, l'aptitude à percevoir la signification des choses. Ses relations avec l'Université de Ponse prirent fin en 1960 à la suite d'un désaccord avec l'évêque du diocèse, celui-ci ayant interdit aux catholiques du lieu de voter pour un candidat à la charge de gouverneur qui se déclarait partisan du contrôle des naissances. De retour à New York, il accepta une chaire de professeur à l'Université de Fordham. Dans le même temps, poursuivant sa démarche en matière de développement et de renforcement des relations interculturelles, Illich fonda, en 1961, le Centre interculturel de documentation (CIDOC) à Cuernavaca (Mexique). Le CIDOC, conçu au départ pour former des missionnaires américains travaillant en Amérique latine, se transforma, au fil du temps, en un centre para-universitaire où, par ailleurs, étaient mises en pratique les idées d'Illich sur une éducation déscolarisée. Depuis l'année de sa création jusqu'au milieu des années 70, le CIDOC fut un lieu de rencontre pour de nombreux intellectuels américains et latino-américains qui réfléchissaient au problème de l'éducation et de la culture. Le centre proposait des cours d'espagnol ainsi que des ateliers sur des thèmes sociaux et politiques. Il possédait, en outre, une bibliothèque prestigieuse, et Illich dirigeait personnellement des séminaires consacrés aux alternatives institutionnelles dans la société technologique. C'est de cette époque que datent les fameux débats passionnés entre Paolo Freire et Ivan Illich sur l'éducation, la scolarisation et la conscientisation ainsi que les dialogues entre Illich et d'autres spécialistes de l'éducation, tous préoccupés de trouver des moyens éducatifs permettant de transformer chaque moment de la vie en une occasion d'apprendre, et ce, généralement, en dehors du système scolaire. La notoriété d'Illich, qui remonte à cette période, est liée au départ à la critique qu'il fait de l'Église institutionnelle, définie par lui comme une grande entreprise qui forme et emploie des professionnels de la foi pour assurer sa propre reproduction. Il extrapole ensuite cette vision à l'institution scolaire et développe la critique qui devait le mener, pendant quelques années, à travailler sur sa proposition de société sans école. Ses opinions sur la débureaucratisation de l'Église dans le futur et sur la déscolarisation de la société firent rapidement du CIDOC un lieu de controverses religieuses, ce qui explique que Illich sécularisa le centre en 1968 et abandonna le sacerdoce en 1969. Pendant cette période, Illich élabore ce que l'on pourrait appeler sa pensée éducative, publiant entre la fin des années 60 et le milieu des années 70 ses principaux ouvrages dans le domaine de l'éducation. Ultérieurement, il change de perspectives et passe de l'analyse des effets de la scolarisation sur la société à celle des problèmes institutionnels dans les sociétés modernes. Vers le milieu des années 70, bien que continuant à résider au Mexique, Illich adresse ses écrits à la communauté universitaire internationale et prend progressivement ses distances avec l'Amérique latine. À la fin de cette décennie, le philosophe et pédagogue quitte définitivement le Mexique pour s'installer en Europe.» MARCELA GARJADO, "Ivan Illich (1926- )", Perspectives : revue trimestrielle
d'éducation comparée (Paris, UNESCO : Bureau international
d'éducation), vol. XXIII, n° 3-4, 1993, p. 733-743.
Bibliographie Traductions françaises Libérer l'avenir. Paris, Seuil, 1971.
La convivialité. Paris, Seuil, 1973. Énergie et équité. Paris, Seuil, 1973. Némésis Médicale. Paris, Seuil, 1975. Le chômage créateur. Paris, Seuil, 1977. Le travail fantôme. Paris, Seuil, 1981. Le genre vernaculaire. Paris, Seuil, 1983. H2O. Les eaux de l'oubli. [Paris], Lieu commun, 1988. Du lisible au visible : la naissance du texte. Un commentaire du Didascalicon de Hugues de Saint-Victor. Traduit par Jacques Mignon. Paris, Cerf, 1991. La perte des sens. Traduit de l’anglais par Pierre-Emmanuel Dauzat. Paris, Fayard, 2004. Œuvres complètes. Volume 1. Préface de Jean Robert et Valentine Borremans. Paris, Fayard, 2004. Comprend :
Œuvres complètes. Volume 2. Paris, Fayard, 2005.
ILLICH "concrètement", "aujourd'hui" ...: En France, et ailleurs, les Réseaux
d'Échanges Réciproques de Savoirs,
"/.../De Vancouver (Habitat I, en 1976) à Rio (Sommet de la Terre,
1992), des comités de quartier pour un budget participatif aux associations
pour une alternative à la mondialisation néolibérale,
les propos d’Ivan Illich ne semblent pas oubliés, loin de là."
"/.../ Car les critiques formulées par Ivan Illich sont corrosives.
Qu’on en juge : la médecine rend malade plus qu’elle ne guérit,
l’automobile fait perdre plus de temps qu’elle n’en fait gagner, l’école
déforme plus qu’elle n’éduque./.../"
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Le
droit d'apprendre
Ivan Illich dans
Une
société sans école proposait, dès les années
70,
Je me suis replongée
dans "Une société sans école" de Ivan Illich
(1)
que j'avais lu sans doute trop jeune, du temps que j'étais étudiante,
non enseignante.
La vraie réussite
de la prison, selon Michel Foucault est de binariser les classes pauvres,
de créer une opposition entre braves gens et délinquants.
Depuis Illich, l'institution
scolaire a été critiquée, mais jamais, je pense, avec
cette radicalité.
Apprendre fonctionne dans les deux sens On a souvent mis
l'accent sur le fait que l'école, selon Illich, préparait
à la société de consommation, avec la séparation
entre le temps où l'on travaille et celui où l'on consomme
du loisir.
De ce point de vue,
on peut dire que la situation a empiré, et cela de deux points de
vue au moins.
D'autre part, les
savoirs eux-mêmes ne semblent plus valoir d'être transmis.
De fait, on pourrait
dire que la pédagogie parfois inspirée d'Illich, dans la
mesure où elle exige des enseignants un rapport toujours plus compliqué
à leur savoir, affirme toujours plus le monopole enseignant.
J'oserai donc dire
que le diagnostic d'Ivan Illich est aujourd'hui confirmé, cruellement
confirmé.
Je ne voudrais pour
exemple de cette crise désormais avérée que l'affaire
du voile.
Je voudrais en venir,
maintenant, aux propositions d'Ivan Illich. Je n'en dresserai pas le tableau.
Une société sans école ? Mais il ne s'agit
pas seulement de devenir "amateurs" : les possibilités d'auto-formation
à l'usage des instruments informatiques mis en ligne ont permis
à une génération d'amateurs de se passer effectivement
de diplômes et de devenir les producteurs des possibilités
de recours au Net qui prolifèrent aujourd'hui.
Pourtant, malgré
cette dimension visionnaire, les propositions d'Ivan Illich portant sur
ce qui en anglais se disait
"Deschooling Society", ne me convainquent
pas vraiment.
Les exernples que
je viens de citer ont pour trait commun de concerner des personnes se sentant
habilitées à chercher ce dont elles ont besoin sur le Net,
c'est-àdire bénéficiant d'un rapport positif
aux possibilités de savoir.
Illich est un penseur
d'avant la mise en rareté de l'emploi et la définition active
des jeunes comme consommateurs par excellence.
Recréer un appétit du possible C'est pourquoi il
me semble qu'il convient ici de spéculer, c'est-à-dire de
tenter de recréer un sens des possibles, un appétit du possible
contre la conviction triste que le diagnostic d'Illich est à ce
point confirmé que la voie qu'il proposait est bloquée.
On accuse souvent
la spéculation de produire des utopies.
Ces rêves,
la génération nouvelle sait désormais que la société
où ils vivent les définit comme obsolètes, et elle
sait aussi que le "vrai monde", celui du "dehors", n'a rien
à voir avec les idéaux pédagogiques censés
mettre "au milieu" "l'enfant", avec sa singularité, ses goûts
et aptitudes particuliers.
Ma spéculation
a pour point de départ le droit fondamental affirmé par Illich,
le droit d'apprendre ce que l'on a appris, et il s'agit de le reprendre
sur un mode qui ne communique pas avec une société réconciliée,
qui ne suppose pas des élèves une force sur laquelle, dans
le monde éminemment malsain, empoisonnant qui est le nôtre,
on ne peut plus compter.
Utopie, dira-t-on,
mais utopie qui a eu, dans le passé, un début de réalisation.
En 1976 a été publié un numéro de la revue
Recherches
dû à Anne Querrien, sous le titre L'ensaignement
(2).
Une école mutuelle L'école
mutuelle, dans la France de la Restauration, au début du
dix-neuvième siècle, était une école pour pauvres,
un instituteur pour soixante ou quatre-vingts élèves, ou
plus encore, et des élèves, qui plus est, de tous les âges.
Bien sûr, prendre
l'exemple d'une école sans moyens en cette période où
l'on dénonce le sous-financement scolaire peut sembler politiquement
incorrect. Mais penser avec Illich, qui affirmait déjà que
l'école monopolistique exigerait sans cesse plus de moyens, pour
un résultat toujours plus décevant, impose de prendre ce
risque.
L'école
mutuelle a été fermée, et d'après un
débat parlementaire rapporté par Querrien, elle l'a été
parce qu'on lui reprochait deux choses.
Voici donc une école
qui aurait été supprimée pour cause de réussite
!
Il ne s'agit pas
de faire de l'école mutuelle un modèle à suivre,
mais bien d'apprendre à partir de cette réussite contingente,
puisque produite sans avoir été recherchée, que du
contraire : la solidarité entre la force d'apprendre et une définition
de la classe affirmant l'hétérogénéité
comme une ressource, non comme un obstacle ou une difficulté.
Pour une classe hétérogène
de ce genre, l'échec est difficile à concevoir, car le fait
de "ne pas comprendre" constitue un défi important pour tous,
demandant imagination et coopération.
Il est possible que
l'image de l'école mutuelle livrée par Anne Querrien
soit un peu idéalisée, mais cette image me parle et suscite
mon appétit.
Proposer l'exemple
de l'école mutuelle est, je l'ai souligné,
une spéculation, mais c'est aussi une manière de prolonger
la pensée d'Ivan Illich là où elle m'a le plus touchée,
dans l'affirmation du droit fondamental de transmettre ce que l'on a appris,
droit que nie l'idéal de l'homogénéité supposée
de la classe, droit dont les enseignants eux-mêmes, désormais
définis comme soumis aux instructions des pédagogues ministériels,
sont aujourd'hui dépouillés.
Les définitions
contribuent toujours, lorsqu'il s'agit des humains, à produire ce
qu'elles définissent.
Adhérer au
désespoir.
Isabelle
Stengers
Extrait de la revue SILENCE
n° 330 - Décembre 2005
Philosophe, chargée de cours à l'Université libre de Bruxelles. Ce texte est lui-même extrait du compte-rendu du colloque organisé par le Grappe, Groupe de réflexion et d'action pour une politique écologique, "Quel monde voulons-nous pour demain" de novembre 2004, et dont les actes ont été publiés sous le titre Penser et agir avec Ivan Illich, balises pour l'après-développement aux éditions Couleur livres CE-Charleroi) et Chroniques Sociales CF-Lyon). (1) Les pages citées renvoient à l'édition Points Essais n°117, Paris, Seuil. (2) Une retombée heureuse du colloque lllich est la réédition de ce texte, sous le titre L'ensorcellement scolaire, aux éditions des "Empêcheurs de penser en rond" cet automne 2005. (3) Pour une toute autre conception du rapport entre école et "milieu naturel", voir Deborah Meier, The Power of their Ideas, Lessons for America from a Small School in Harlem. Boston. Beacon Press. 1995. Ce livre suscite un appétit quelque peu analogue, quoi que pour d'autres raisons, au récit d'Anne Querrien. |
Isabelle Stengers
: "Utopie, dira-t-on, mais utopie qui a eu, dans le passé, un
début de réalisation. En 1976 a été publié
un numéro de la revue Recherches dû à Anne Querrien,
sous le titre L'ensaignement
(2).
Alors que les propositions d'Illich m'avaient laissées un peu froide, ce qu'Anne Querrien racontait, l'histoire de l'école mutuelle ne m'a jamais quittée, et me permet d'accueillir avec appétit un monde où, en tout état de cause, ce qu'a créé l'imprimerie, la différenciation entre l'auteur qui propose, et le public qui prend connaissance, et dont, parfois, émergera un nouvel auteur, est vouée à disparaître. Un monde qui pose le défi effectivement politique d'une pratique de l'intelligence collective qu'aucun dispositif technique comme tel ne peut suffire à créer. " L'ENSAIGNEMENT par Anne Querrien (Recherches - juin 1976) Analyse de la généalogie de l'Ecole Primaire, des choix politiques qui l'ont conduite à être une machine de reproduction des inégalités, une machine génératrice d'échecs scolaires et de déviants. La forme contemporaine de l 'école résulte de choix politiques
qui ont peu à peu constitué la forme que nous avons connue,
et autour de laquelle se figent maintenant les résistances à
l' innovation.
Dans la première moitié du 19° siècle, l'école
devient progressivement la vraie place des enfants, le lieu
où on leur apprend à se tenir à leur place.
Machine réglée pour la conservation sociale, l'école se détourne de sa fonction d'apprentissage. Ou plutôt pour en perpétuer le mythe, elle organise l'échec de la majorité. Elle sanctionne le Succès dans l'institution. Il fallait la puissance de l'Etat pour imposer une telle normalisation, et l'Etat a dû constituer de toutes pièces la machinerie administrative nécessaire. Elle va bien au-delà de la subvention et du budget. Elle passe par la construction, la formation, la reglementation, l'Inspection. Rien n'est laissé au hasard, les plus infimes détails
sont réglés centralement.
L'école laïque s'élève sur les cendres de l'école mutuelle et continue l'école des frères de la doctrine chrétienne. Période de recherche, close par loi, c'est celle de l'obligation scolaire - obligation pour tous de l'apprentissage et de la manipulation des signes. Mais quel apprentissage, quelle manipulation, au regard des possibles? De quoi est constitué le tonneau des Danaïdes de la démocratisation
et de la réduction des inégalités?
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Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |