alternatives éducatives
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I Obligation scolaire et liberté I Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !Appel pour des éts innovants et coopératifs |
 
 
 
"la bouffe", aussi, c'est - ça pourrait/devrait être - "pédagogique"...
 En France, les cantines bio se comptent presque sur les doigts de la main
La taxation des nitrates des agriculteurs définitivement abandonnée

Machines à sous, distributeurs électronico-nucléaires de pommes OGM et/ou nitratées ?

Des pesticides dans les deux tiers des eaux françaises contrôlées en 2002
"Les 3/4 des eaux de surface et 50% des eaux en profondeur ne sont pas conformes"
... Et des pesticides détectés dans la moitié des fruits et légumes en France
 

"En Italie, 10% des surfaces cultivées le sont en bio. (France : 2%)
Et cela parce que les régions ont développé des programmes
alimentaires bio pour les cantines scolaires. 

Ca a favorisé énormément le développement de la filière".

"Ici, constate-t-il, le bio représente un surcoût que le chef d'établissement ne veut pas faire assumer aux parents" 
et les cantines bio se comptent presque sur les doigts de la main.

"Déjà au niveau de la région,
si on mettait moins d'argent pour l'agriculture conventionnelle,
il y en aurait plus pour le bio", assure Yann Yobé."

...En France, depuis le printemps 2004,
la gauche préside 21 régions sur 22 en France métropolitaine, 
alors qu'elle n'en détenait que 8 depuis 1998.
Elle dirige également 52 départements contre 48 à la droite.

... Conclusions/Décisions ?


 
Les agriculteurs bios veulent s'affranchir des OGM et des semenciers
 
Diminution des surfaces cultivées en agriculture biologique en 2004

PARIS - 01/03/05 -  - Les superficies cultivées en mode de production biologique ont régressé de 3%, passant de 550.000 hectares en 2003 à 540.000 ha en 2004, selon les chiffres de l'Observatoire économique de l'agriculture biologique, présentés mardi par l'Agence Bio au Salon de l'agriculture à Paris.

"Sur ce total, les surfaces en bio ont progressé de 18% par rapport en 2003, mais en revanche les surfaces en conversion ont fortement diminué passant de 145.000 ha en 2003 à 61.000 ha l'an dernier", relèvent les professionnels.
Les surfaces en conversion sont des surfaces que l'agriculteur a choisi de cultiver selon le mode biologique mais dont les produits ne sont pas encore vendus en tant que produits biologiques. La période de conversion dure généralement deux à trois ans.

Fin décembre, les terres cultivées en mode biologique représentaient près de 2% de la surface agricole utile nationale.

Après avoir connu une progression ininterrompue depuis 1995, le nombre d'exploitations certifiées bio s'élevait à 11.025 en 2004, stable par rapport à 2003.

La France comptabilisait fin 2004 quelques 62.463 vaches laitières bio (+6%) et 62.398 vaches allaitantes bio (+15%). Le nombre de brebis bio a aumgenté de 11% par rapport à 2003 à 128.126 têtes. Celui des chèvres bio a progressé de 4% à 20.187 têtes. Le nombre de truies reproductrices s'est stabilisé à 3.617 unités. La production de poulets de chair a diminué de 13% tandis que celle de poules pondeuses bio a stagné à 1,5 million de têtes.

Le nombre d'opérateurs certifiés pour la transformation de produits biologiques est demeuré quasiment stable l'an passé à 4.874 contre 4.860 un an plus tôt. Plus de 40% d'entre eux sont des boulangeries ou terminaux de cuisson.

L'agriculture biologique respecte le bien-être animal et l'environnement, et n'utilise pas de produits chimiques de synthèse ni d'organismes génétiquement modifiés. 



L'agriculture biologique reste marginale malgré une demande croissante

PARIS - 02 03 05  - L'agriculture biologique reste marginale en France, avec seulement 2% des terres cultivées, malgré une demande croissante favorisée par l'engouement des Français pour les productions naturelles, exemptes d'engrais, de pesticides ou de traitements chimiques.
En 2004, les superficies cultivées en mode de production biologique ont régressé de 3% à 540.000 ha, selon les chiffres de l'Observatoire économique de l'agriculture biologique présentés par l'Agence Bio au Salon de l'agriculture.

Après une progression ininterrompue depuis 1995, le nombre d'exploitations certifiées bio s'est stabilisé l'an dernier à 11.025.

"En 10 ans, le nombre d'exploitations qui se sont consacrées à l'agriculture biologique a été multiplié par trois, les surfaces cultivées en mode de production biologique par cinq et le nombre d'opérateurs certifiés pour la transformation de produits biologiques par huit: c'est l'expression d'un dynamisme très fort", a estimé Elisabeth Mercier, directrice d'Agence Bio.

"Mais si nous sommes au rendez-vous pour le court terme, nous marquons le pas en ce qui concerne les surfaces en conversion. Le défi à relever, c'est l'avenir", a-t-elle souligné.

Les surfaces en conversion sont celles que l'agriculteur a choisi de cultiver selon le mode biologique mais dont les produits ne sont pas encore vendus en tant que produits biologiques. La période de conversion dure généralement deux à trois ans. Ces surfaces sont passées de 145.000 ha en 2003 à seulement 61.000 ha l'an dernier.

Or, en un an, la consommation de produits biologiques a fait un bond de 7 points. Plus d'un Français sur trois (44%) en a consommé régulièrement en 2004 contre 37% en 2003, selon les résultats d'une enquête CSA.

Pionnière dans les années 70, la France est désormais à la traîne des autres Etats membres de l'UE en matière de production biologique. Résultat: la moitié des produits bio consommés en France sont importés.

La FNAB (Fédération nationale d'agriculture biologique des régions de France) met en cause un manque de "volonté politique". Une quarantaine de ses membres ont manifesté mardi sur le stand du ministère de l'Agriculture au Salon de l'agriculture pour exprimer leur "ras le bol" et réclamer "un soutien et une reconnaissance de ce mode de production".

Cette fédération veut une redéfinition du mode de répartition des aides européennes de la Politique agricole commune (PAC) qui fait, selon elle, "la part belle aux systèmes les plus intensifs et les plus polluants".

La députée européenne Marie-Hélène Aubert (Verts), qui présentera jeudi au Parlement de Strasbourg un rapport sur l'agriculture biologique, a estimé que la Commission européenne devait "être plus ferme à l'égard des Etats membres".

"La France n'a pas la place qu'elle mérite. Elle doit consacrer un budget significatif au développement de l'agriculture biologique", a-t-elle lancé. "On doit dégager une politique, des moyens, une cohérence dans le domaine des prix", a-t-elle ajouté en déplorant de "voir le nombre des exploitations stagner alors qu'il devrait connaître un véritable boom".

LE GUIDE ANNUAIRE DES ECOLES DIFFERENTES

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| Le nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation ? ou non-scolarisation ? |
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