alternatives éducatives : des écoles, collèges et lycées différents
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I Obligation scolaire et liberté I Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop ! Appel pour des éts innovants et coopératifs |
 

"la cantine", aussi, c'est - ça pourrait/devrait être - "pédagogique"...
 "Bonjour, je recherchais sur internet des informations sur les distributeurs automatiques de fruits dans les établissements d'éducation. J'ai trouvé votre dossier qui date de 2004, quelle est la situation aujourd'hui, les distributeurs de fruits sont-ils autorisés? des établissements peuvent-ils nous conseiller sur ce sujet?" (chat-faq écoles différentes, octobre 2007)
 
 
  

Les distributeurs bannis des maternelles de Bruxelles

A partir du 1er janvier 2005, les distributeurs de sodas et de confiseries seront bannis des maternelles et des écoles primaires de Bruxelles selon une directive de l’échevine de la Jeunesse et de l’enseignement, Faouzia Hariche. Cette mesure qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’obésité pourrait s’étendre au reste du pays ainsi qu’aux établissements secondaires. Cette suppression fait toutefois l’objet d’un débat. Les distributeurs constituent en effet une source non négligeable de revenus pour les écoles. Ainsi la Ministre de l’Education, Marie Aréna, suggère-t-elle le maintien des distributeurs tout en remplaçant les produits incriminés par de l’eau, des fruits ou encore des céréales. 



Des distributeurs de soda retirés dans les écoles
La Libre Belgique -  16 septembre 2004

LA VILLE DE BRUXELLES A DÉCIDÉ DE RETIRER, à partir du 1er janvier prochain, les appareils de distribution de limonades et de bonbons de ses écoles maternelles et primaires afin de protéger la santé de ses élèves, a indiqué ce mardi l'échevine de la Jeunesse et de l'Enseignement Faouzia Hariche. Une mesure similaire sera prise ultérieurement pour les établissements de l'enseignement secondaire. En lieu et place des appareils de distribution de boissons, la Ville installera des fontaines d'eau potable, meilleures pour la santé et qui ne produisent pas de déchets. L'échevine a expliqué son geste après avoir pris connaissance d'études qui montrent qu'entre « 12 à 16pc des enfants étaient obèses ». Le matin même, le quotidien «Le Soir» révélait que 24200 distributeurs automatiques de sodas ultra-sucrés, de chips et de confiseries graisseuses sont installés dans les écoles belges générant de juteux bénéfices pour les firmes privées et les écoles.



Question de santé: pas dans l'école
T.Bo. et L.D. -  16/09/2004

Entre le lobby des firmes alimentaires et le besoin d'argent, les écoles primaires ont un rôle éducatif à jouer.
"Courageuse, mon initiative? Je dirais plutôt audacieuse, parce qu'il fallait bien que quelqu'un commence», nous confie Faouzia Hariche, échevine à Bruxelles-Ville à l'origine de l'interdiction. Quant au gain financier que représentent les distributeurs pour les écoles, voilà «un argument que je ne veux pas entendre, nous répond Faouzia Hariche, car j'estime qu'il faut prendre ses responsabilités et agir de façon à ce que la collectivité s'y retrouve. Selon moi, si les écoles ramassent des miettes grâce aux distributeurs et que la santé publique dépense des sommes colossales pour soigner les problèmes de santé de nos enfants et de nos adolescents, je pense que la décision doit être prise dans l'intérêt collectif. J'attends des chiffres et j'étudie les alternatives». 

Cette interdiction satisfait le Dr Michel Devriese. Avec son équipe de bénévoles, il a visité des dizaines d'écoles et constaté les dégâts dus à la mauvaise alimentation. «Soumettre des enfants de primaire à un environnement quotidien de boissons sucrées et friandises n'amène pas des bons choix et comportements en matière de santé».

Mais aujourd'hui, il craint les réponses et la puissance du lobby des distributeurs alimentaires. «On a constaté le peu d'effets de leur «charte». Et le dernier argument de Coca-Cola est d'estimer qu'il faut «privilégier le choix», laissant entendre que le Fanta ou l'Ice Tea sont moins nocifs que le Coca. Faux. Même logique pour le distributeur Danone qui propose Choco Prince ou Danette au chocolat? Quel choix!»

Le Dr Devriese ne peut être d'accord avec la ministre Doyen-Fonck qui déconsidère «cette mesure isolée» qu'est l'interdiction et appelle à des «actions globales». «Où ça? Si on suit ce genre de raisonnement qui ne veut «pas réglementer, pas interdire mais éduquer les jeunes à canaliser leurs pulsions»... pourquoi alors ne pas installer des distributeurs de cigarettes dans les écoles? On ne parle pas ici de choix d'adultes formés et responsables mais de ce qui est proposé comme aliment type à de jeunes enfants par des firmes au marketing agressif et dont le but est la croissance de ses ventes. Même du «light», puisque pour ces entreprises, la réponse à un problème de santé (obésité, carie, cholestérol...) sera automatiquement un autre produit fourni par elles. Et tant pis pour l'accès dans les écoles à l'eau du robinet qui est gratuite et excellente en Belgique». 

Sur le terrain, il a aussi constaté le manque de transparence dans les écoles quant à l'affectation de l'argent issu des distributeurs... dont l'électricité (24h sur 24) est payée par les communes ! Chasse gardée de la direction malgré des interrogations voire désaccords d'enseignants. Bref, il s'interroge: pour gagner quelques milliers d'euros, une école ne doit-elle plus jouer de rôle éducatif?



Distributeurs non admis
Laurence Dardenne - 16/09/2004

Dès le 1er janvier 2005, les appareils de distribution de sodas et de confiseries disparaîtront des écoles.
Du moins les maternelles et primaires de Bruxelles-Ville.
Ainsi en a décidé l'échevine de la Jeunesse et de l'enseignement.

Johanna de Tessieres 
Arnaud a huit ans. Cadet d'une famille de trois enfants, il scie chaque matin sa maman pour obtenir la pièce à glisser dans le distributeur de l'école en échange d'une canette de soda. Inflexible, la mère ne cède pas. Elle s'escrime à remplir sa gourde d'eau claire, comme c'est, paraît-il, le cas pour un enfant par classe, en moyenne. L'exception donc, car dans les cartables, la règle, c'est la cannette hyper-calorique de 33 cl, équivalente à 7 à 8 morceaux de sucre.
Dès le premier janvier 2005, Arnaud, qui est inscrit dans une école bruxelloise, n'aura plus à quémander. Les distributeurs de limonades sucrées et autres «crasses» (chips, barres chocolatées, sucreries...) n'auront plus droit de cité dans les couloirs des écoles maternelles et primaires de Bruxelles-Ville. Elles seront remplacées par des fontaines d'eau, meilleure pour la santé et pour l'environnement. (LLB 15/09/2004) Ainsi en a décidé l'échevine de la Jeunesse et de l'enseignement Faouzia Hariche, qui songe à étendre ultérieurement la mesure aux établissements de l'enseignement secondaire.

Une idée enfin concrétisée
S'inscrivant dans une politique globale d'éducation à la santé et plus précisément dans le cadre de la lutte contre l'obésité, cette initiative vient concrétiser des idées lancées çà et là depuis quelque temps. A l'occasion du lancement d'une expérience-pilote «Sourire pour tous» menée par les dentistes de la Fondation pour la santé dentaire avec le soutien du ministre Rudy Demotte, les responsables s'étaient interrogés à bon escient: à quoi bon placarder les murs d'affiches prônant la consommation de cinq portions de fruits et/ou légumes par jour, si les distributeurs de confiseries et de sodas se multiplient dans les établissements scolaires?

«En tant qu'acteur de terrain, nous plaidons pour une interdiction pure et simple des distributeurs automatiques dans l'enceinte de l'école primaire, déclarait en nos colonnes (LLB 01/09/2004), le Dr Michel Devriese, dentiste et coordinateur de la Fondation pour la Santé dentaire, suggérant que «cette interdiction provienne de l'autorité fédérale ou de notre nouvelle ministre de la Santé en Communauté française, Madame Catherine Doyen-Fonck, docteur en médecine».

Nous faisant remarquer que «la compétence est transversale, notamment avec la ministre de l'Education, Marie Aréna», Catherine Doyen-Fonck a tenu à «saluer cette initiative très courageuse». Deux commentaires toutefois: «D'une part, je pense que supprimer les distributeurs dans les écoles, en tant que mesure isolée, ne sera pas le coup de baguette magique et la résolution de la problématique équilibre alimentaire et surcharge pondérale. Tout ce qui se trouve aujourd'hui dans les distributeurs automatiques peut revenir à l'école par un autre chemin. Il s'agit d'avoir une vision et une action globales par rapport à cela. Or on sait que, a fortiori chez des enfants, il s'agit de répéter de nombreuses fois le même message. 
La deuxième difficulté qui me préoccupe concerne la problématique du budget des écoles, sachant que ces distributeurs constituent un revenu non négligeable pour financer les achats en matériel et les infrastructures».

Alors quelle alternative suggère la ministre? «Pourquoi ne pas proposer de maintenir cet apport financier pour les écoles en remplaçant par exemple les produits par des eaux, aromatisées ou non, des fruits, céréales, produits laitiers ou du terroir?»
Pour sa part, le cabinet du ministre Demotte se dit favorable à la suppression des distributeurs et entend clairement mettre le sujet au menu des discussions des groupes de travail interministériels, dans le cadre du plan national nutrition et santé. En attendant, «chapeau pour cette décision», salue-t-on.



24220 automates à l'école
Sandrine Vandendooren -  16/09/2004
 

La Belgique compte 173000 distributeurs automatiques de produits alimentaires.
Dont 24220, soit 14pc, dans les écoles.
Sur ce marché mal connu et peu transparent, Coca-Cola occupe, également, une place de choix.
 

Contrairement à la France qui dispose de chiffres précis en la matière, la distribution automatique de produits alimentaires est un secteur mal connu et peu organisé en Belgique. Selon les rares données dont dispose le Groupement de la distribution par automates (GDA) - qui représente une trentaine de sociétés mais qui ne couvre pas l'ensemble du marché, on dénombre 173000 appareils (boissons, en-cas, cigarettes, produits d'hygiène intime) dans le pays. Quatorze pour cent du parc, soit 24220 machines sont installées en milieu scolaire (de la maternelle aux universités).

Difficile de connaître le nombre exact d'acteurs qui jouent sur ce marché. «Cela va de la petite société familiale à la grande multinationale», précise Katrijn Otten du GDA. Une chose est sûre, Coca-Cola Belgique occupe une place prépondérante sur le segment de la distribution automatique de boissons. «Nous disposons de 4000 automates dans les écoles du secondaire, soit 80 pc du marché et 800 dans l'enseignement primaire dont 500 sont destinés aux instituteurs. Cela équivaut à moins de 5pc. A cela, il faut encore ajouter plus d'un millier d'appareils dans les universités et écoles supérieures», précise Tom Delforge, le responsable de la communication de Coca-Cola Belgique qui écoule ainsi 1,5 pc de son volume global (904 millions de litres) en Belgique.

Snacks: une foule d'acteurs

A côté de Coca-Cola, on trouve un autre acteur de choix, pour les boissons chaudes cette fois. Il s'agit de Douwe Egbert. Danone (produits laitiers) dispose aussi de ses appareils. Pour ce qui est des snacks et autres confiseries, le groupe Master Foods (Mars, M&M, Snickers, etc.), gros fournisseur en la matière, dispose de ses automates mais travaille aussi avec des opérateurs, comme Finest Globe Services (une PME de Genval qui fait partie du groupe de boissons John Martin). Ces sociétés installent leur distributeur, garni de produits multi-marques, dans les écoles, entreprises ou autres lieux de passage. Elles sont nombreuses et pas toujours identifiables à se partager le gâteau.

Les contrats passés entre les sociétés d'automates et leurs clients (écoles ou entreprises) sont de deux types. Dans le cas des écoles, soit la direction de l'établissement s'occupe des stocks et du réapprovisionnement de l'appareil, soit c'est la firme privée qui se charge de tout, même de récolter les pièces qu'a avalées l'automate. Et financièrement? En général, Coca-Cola fait payer la location de l'appareil au client mais dans le cas des écoles, c'est gratuit. Le géant des boissons non-alcoolisées fixe un prix pour les écoles qui décident elles-mêmes du prix de vente. «Les écoles ne prennent pas beaucoup de bénéfices, elles majorent de 20 centimes en moyenne le prix de la canette, ce qui leur permet de financer certaines dépenses extraordinaires», constate le porte-parole de Coca-Cola Belgique, qui adopte un code de conduite à l'égard du milieu scolaire (lire par ailleurs). D'autres sociétés comme Finest Globe Services, qui proposent un «full service», rémunèrent leurs clients, les écoles y compris, par des commissions sur le volume de ventes.



Canettes contre cours de langue
T.Bo. et E.D. (St.) - 16/09/2004
 

Pour implanter ses distributeurs, Coca-Cola troque avec l'UCL.
Les distributeurs procurent un revenu supplémentaire et recherché par les écoles.
 

Extrait du procès verbal de la réunion (7/9/98) du bureau de la Faculté de médecine UCL (dont présent M. Moulin, doyen).

«B.FAC.270/6 DIVERS. M.ROGER FRANCE s'interroge sur la pertinence de l'implantation de distributeurs de boissons au sein de l'Ecole de santé publique qui ternirait l'image de marque de l'institution. 

M. BERNARD indique que ces distributeurs de boissons ont été implantés au sein de tous les bâtiments facultaires afin de répondre à une demande pressante des étudiants et d'offrir ce service aux membres du personnel et de ce fait éviter la multiplication de distributeurs aux étages. Il indique par ailleurs que la firme COCA-COLA qui implante à ses frais ces distributeurs a financé entièrement l'équipement audio-visuel pour les cours de langues qui seront organisés à partir de cette année.

Le bureau ne remet pas en cause cette décision.»

Cette histoire est aussi symbolique que révélatrice. D'abord parce que la référence mondiale en boissons sucrées a conquis ce haut lieu belge de la santé publique chargée de promouvoir l'alimentation saine. Ensuite parce qu'elle révèle la logique d'implantation du donnant-donnant des distributeurs alimentaires.

Enfin parce qu'elle souligne un certain sous-financement dans l'enseignement que les gens de terrain compensent comme ils peuvent... même au détriment de leur image et objectif d'éducation.

Ainsi, on assume aussi à Saint-Boniface-Parnasse à Ixelles. Le directeur Michel Klimis avoue que ses distributeurs automatiques apportent un revenu supplémentaire à l'école. Il faut préciser que c'est une école libre et que les subsides ne sont pas aussi importants que dans l'enseignement officiel. Il ne se sent donc pas interpellé par la demande de Bruxelles d'enlever ces appareils. «Quand on donne des moyens aux écoles, c'est facile d'exiger cela mais quand on n'en donne pas, comment voulez-vous qu'on boucle le budget? Et d'ajouter: De toute façon, les élèves consomment ce type de produits et nous reprocher ça, c'est encore reporter le problème sur les écoles à la place des parents.»



3 QUESTIONS À TOM DELFORGE
Responsable de la Communication chez Coca-Cola Belgique
(S.Vdd.) -  16/09/2004

La présence, dans les écoles, de distributeurs automatiques frappés de la marque Coca-Cola s'apparente, pour d'aucuns, à un marketing agressif à l'égard des jeunes...

Les distributeurs dans les écoles primaires ne portent pas la marque Coca-Cola. Le visuel montre un personnage de bande dessinée, un joueur de basket en l'occurrence. Ces appareils ne proposent que trois catégories de produits: de l'eau, du jus de fruits et des produits laitiers (chocolatés ou fruités de la marque Inex, notre partenaire). On a retiré le Fanta depuis peu. Dans le secondaire, nous sommes en train de remplacer les distributeurs classiques où les marques Coca, Minute Maid et Aquarius étaient mises en évidence par des visuels plus adaptés. Ceux-ci montrent un danseur, des oranges, des gouttes d'eau et un sportif. Cette décision découle du code de conduite que Coca-Cola Belgique a élaboré et qui est réévalué en fonction des préoccupations des milieux scolaires (directions d'école et comité de parents).

On dit que Coca-Cola rémunère les écoles en leur offrant des ordinateurs?

C'est un autre volet de notre code de conduite. Aucune initiative commerciale n'est prise à l'égard des établissements scolaires pour stimuler les volumes écoulés via les distributeurs automatiques. Notre philosophie est de ne pas appliquer nos pratiques commerciales classiques vis-à-vis du monde scolaire. En revanche, nous avons mis en place un système de points, en fonction de l'étendue de la gamme de produits choisis par l'école, qui permet à celle-ci de recevoir du matériel sportif (exemple: ballons de football) ou informatique (des ordinateurs), sans la présence de la marque Coca-Cola bien sûr!

La France a décidé de supprimer les distributeurs automatiques dans les écoles, le 1ereptembre 2005. Il en est question aussi dans d'autre pays. Comment se positionne Coca-Cola?

C'est une erreur d'essayer de réduire le problème de l'obésité à une seule cause. On ne résoudra pas ce problème en bannissant purement et simplement les boissons sucrées ou en supprimant les distributeurs automatiques dans les écoles. C'est un problème beaucoup plus complexe. En outre, il faut savoir qu'actuellement, plus de 40 pc des volumes vendus par Coca-Cola sont des boissons «light». C'est une différence très nette par rapport à il y a 10 ans.


"la cantine, aussi, c'est - ça pourrait/devrait être - "pédagogique"...
En France, les cantines bio se comptent presque sur les doigts de la main.
Les agriculteurs bios veulent s'affranchir des OGM et des semenciers.
La taxation des nitrates des agriculteurs définitivement abandonnée.

Machines à sous, distributeurs électronico-nucléaires de pommes OGM et/ou nitratées ?

Des pesticides dans les deux tiers des eaux françaises contrôlées en 2002 !
"Les 3/4 des eaux de surface et 50% des eaux en profondeur ne sont pas conformes"
... Et des pesticides détectés dans la moitié des fruits et légumes en France.

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