I Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
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L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Appel
pour des éts innovants et coopératifs |
I
Obligation
scolaire et liberté I | Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I
2018
école
autrement, école alternative, école différente ...
Une
autre
école est-elle possible ?
Créer
une école ...
… Toutes les expériences
passées, et certaines qui s'enlisent actuellement, prouvent qu'on
ne peut construire un projet cohérent et une équipe stable
avec seulement une juxtaposition
de refus ou une addition d'attentes disparates et parfois contradictoires
- surtout lorsque la langue de bois fait office de ciment -
entre les enseignants-éducateurs,
entre
les parents, entre parents et enseignants…
septembre 2013 - "La
pépinière" (GERME), Beaulieu, Loches :
L'école
alternative ne rouvrira pas cette année
Cette
école alternative a ouvert en septembre dernier. La
première année a été compliquée.
Il a fallu trouver un nouvel
enseignant un mois après la rentrée, trouver aussi les financements,
près de 2500 euros
sont nécessaires chaque mois pour faire fonctionner cet établissement
!
Pourtant donc, les
quelques parents d'élèves aimeraient rempiler pour la prochaine
rentrée ...
… Il
ne reste qu'un noyau dur de 4 écoliers « qui fonctionne
très bien ».
« On a envie de
partir de ce noyau dur. Maintenant, faut-il faire de la sélection
sur dossier pour la rentrée prochaine??
Nous allons y réfléchir.
» Si Germe trouve l'argent nécessaire, l'école
aimerait ouvrir une maternelle.
Mais
cela fait beaucoup de « si », beaucoup d'incertitudes pour
un collectif qui rêvait l'école autrement…
Pas facile, la
création d'une école
18/12/2012 - L'école
alternative à court d'argent
Comment se déroule
la vie de la petite école alternative au 17 rue des Viantaises à
Beaulieu-lès-Loches?
Là
aussi, ça n'a pas été un long fleuve tranquille
Alors qu’elle croyait son
budget bouclé pour l’année,
l’école La Pépinière
a vu un partenaire lui faire défaut,
ce
qui la fragilise financièrement.
L'association Germe, qui travaille à ouvrir une école alternative sur le secteur, a trouvé « un lieu magnifique » pour implanter l'école.
« Il s'agit de la maison des Viantaises à Beaulieu-lès-Loches », indique Brice Desrez, cheville ouvrière de Germe.
L'association a rédigé la charte pédagogique du futur établissement ("La Pépinière").
Elle a engagé la procédure administrative d'ouverture.
Germe espère ouvrir son école à la rentrée 2012.Il s'agira « d'une école alternative privée hors contrat, laïque, à vocation de devenir publique, accueillant la différence et utilisant des méthodes pédagogiques innovantes » ...
Financements. Ils ont beau avoir élaboré un projet pédagogique solide, il reste aux membres du collectif Germe à trouver des financements pour ouvrir leur école. Par son statut d'école privée, laïque « à vocation à devenir publique », La Pépinière ne peut pas prétendre à des subventions publiques.
« L'école ne verra pas le jour si nous ne trouvons pas l'argent »Contact : Germe au 06.18.09.29.49.
Plus de cent personnes ont assisté à la projection-débat organisée par l'association Germe, qui espère la création d'une école alternative dans le Lochois.
Photo : Brice Desrez a fait témoigner des enseignants
concernés. - (dr)
Germe, association au nom « plein d'espoir » (Groupe pour l'élaboration et la réalisation d'une magnifique école), a eu la bonne surprise de voir 104 personnes venir assister à la projection-débat qu'elle organisait mardi soir, au cinéma Royal-Vigny.
Une pédagogie au rythme de l'enfant, qui laisse libre cours à son imagination et s'adapte à ses envies, avec davantage de place pour les parents, des ateliers, des projets communs : l'école publique Decroly, présentée dans le documentaire « Merci Ovide ! », de Catherine Harnois et Jacques Meaudre est un exemple des possibles alternatives au modèle proposé par l'Éducation nationale, et sur lequel Germe appuie en partie sa réflexion.Des enseignants de cette école du Val-de-Marne avaient fait le déplacement pour répondre aux interrogations des spectateurs : Quel recrutement pour les élèves et pour les enseignants ? Quelle place pour les programmes ? Comment la sécurité est-elle assurée ? Ce système est-il adapté à tous les enfants ? Les intervenants de Decroly ont exposé le fonctionnement unique de leur établissement, mais d'autres procédés ont également été évoqués. Car pour le moment, l'école alternative de Germe n'est qu'au stade du projet. L'objectif de la soirée était de montrer ce qu'il est possible de faire, mais Germe ne prétend pas reproduire à l'identique le travail de l'école Decroly.
« L'association est partie de discussions sur le système éducatif, explique Brice Desrez, membre de la collégiale de Germe. Nous étions contre pas mal de choses, et nous essayons à présent d'être '' pour '', de faire des propositions. » Afin de faire avancer le projet, l'association se réunit le deuxième dimanche de chaque mois au Café de la Porte Picois. « Nous en sommes à chercher les '' forces vives '' de Loches, car pour qu'une école alternative puisse voir le jour le plus rapidement possible, il faut des gens qui s'impliquent. ».
Au programme de la prochaine rencontre, dimanche prochain à 15 h, la constitution de quatre groupes de travail afin d'« engager le processus de création ».Léna Randoulet
« Non, pas du tout. L'idée est venue de discussions. Beaucoup de gens sont indignés du fonctionnement actuel de l'Éducation nationale. Mais finalement pas grand-chose ne se passe. C'est français. Je l'ai vu pour la fermeture de classe pour le RPI de Bridoré (*). Il est difficile de mobiliser les familles, qui se disent à quoi bon. Françoise Dolto a dit : « La meilleure école est celle près de chez soi ». C'était il y a 40 ans ! Depuis, l'école a changé. Le seul projet de l'Éducation nationale est de gérer des millions d'élèves. Où sont les projets pédagogiques ? Les enseignants sont obligés de mettre des barrières, des feux rouges, pour que les enfants ne débordent pas. On en arrive à mettre des portiques de sécurité à l'entrée d'établissement. Personne ne se demande pourquoi et comment ont pu entrer des couteaux, par exemple.
Nous souhaitons une autre école. A Germe, nous avons choisi d'être impliqués plutôt qu'indignés. »
![]() pour l'Elaboration et la Réalisation d'une Magnifique Ecole) est un collectif de citoyens (parents d'élèves, enseignants, grands-parents, chômeurs, pédagogues, etc...) qui souhaite créer sur le lochois, une école différente, laïque à vocation de devenir publique, fondée sur une pédagogie alternative ouverte au développement de l'enfant. Créer dans le temps, depuis le primaire jusqu'au lycée, les conditions permettant à l'enfant de mettre en place son projet de vie : • C'est reconnaître l'enfant dans la fonction de globalisation inhérente à son psychisme qui perçoit le monde comme un tout. De ce tout, gagner le particulier des choses par centre d'intérêt, développant ainsi ses capacités d'autonomie, de reconnaissance, d'estime de soi et de vivre ensemble. Passer ainsi "tranquillement pas vite", de l'enfant, l'être singulier, à l'être social et au citoyen responsable. • C'est pour l'adulte une façon de concrétiser ses rêves en termes de projets pédagogiques, éducatifs, de dépasser les indignations liées aux limites naturelles du système actuel et s'impliquer en proposant une vision du monde “autre”. Le Germe fonctionne sous forme de Collégiale où les décisions sont prises collectivement. Elle est à la recherche de forces vives, de partenaires publics, privés, professionnels, de créativités et d'énergies de toutes sortes pour rendre viable ce projet. Pour se faire connaître, encourager le plus grand nombre à rejoindre cette action, l’Association propose : Une soirée débat sur les écoles alternatives sur le thème "Quelles pédagogies différentes pour l'école ?" en présence de chercheurs et d'enseignants. Le
débat sera précédé par la projection du film
documentaire
Contact : legerme@sfr.fr
/ Brice Desrez 06 18 09 29 44 / Hélène Gillard 02 47 92 36
79
Ils sont pour l'instant une douzaine à porter le projet d'une école alternative sur Loches. Pour ce faire, ils ont créé l'association Germe, acronyme de Groupe pour l'élaboration et la réalisation d'une magnifique école. Lors de l'assemblée constituante en juin, il a été souligné « le principe laïc et public comme étant le coeur du projet ». Un projet qui « s'inscrit dans le cadre d'une démarche citoyenne, avec comme objectif de dépasser les indignations liées aux limites naturelles du système Éducation nationale. » « Germe, c’est avant tout un groupe pour parler, insiste Brice
Desrez. Mais c’est aussi donner un corps à nos rêves (sic).
Aux attentes de chacun, de l’école qui devrait faire des enfants
des êtres incarnés. » Et d’expliquer : «
notre projet s’inspire largement et librement de la pédagogie Decroly
(permettre à l’enfant la fabrication de ses connaissances en valorisant
son activité réelle …) mais aussi Freinet ».
C’est en France que les élèves souffrent le plus ! TETE
BIEN PLEINE : TETE BIEN FAITE ?
FR2 - Ecole(s) en France 275 000 jeunes, 41 pays, plusieurs mois d’enquête, l’OCDE s’est
livrée à un colossal audit de l’école à travers
le monde, rendant enfin possibles des comparaisons internationales fiables
et précises. Entretien avec son directeur adjoint de l’Education
qui en détaille les leçons percutantes.
Le Nouvel Observateur. – Pour la troisième fois, l’OCDE a évalué les compétences en lecture, en mathématiques et en sciences des jeunes de 15 ans dans 41 pays. Qui sont les « premiers de la classe » ? Bernard Hugonnier.– Nous avons mis cette fois l’accent sur les mathématiques. En tête du palmarès, la Finlande, la Corée, le Canada, les Pays-Bas et le Japon. Certains pays sont tombés des nues. « Mais alors, qu’est-ce que ça doit être ailleurs ! », nous ont-ils déclaré. La France, qui a une assez haute idée de son système éducatif – même si elle ne cesse de s’en plaindre –, n’obtient pourtant qu’une petite moyenne. En dépit d’une journée scolaire chargée et d’efforts financiers importants, elle figure au 13ème rang pour les sciences, et au 17ème rang pour la lecture et les mathématiques. L’école y est aussi plutôt moins juste qu’ailleurs, les écarts entre les bons élèves et les élèves en difficulté étant particulièrement importants. N. O. – Et quelles sont les recettes des pays où l’école marche bien ? B. H. – On peut simplement observer que, dans les pays les plus performants, les élèves ont plaisir à apprendre, les relations avec les professeurs sont très bonnes, le climat est moins à la répression qu’à l’autodiscipline. Les enseignants se situent dans une optique d’accompagnement. Une chose est frappante : ces pays, Finlande, Japon, sont souvent des sociétés traditionnelles, avec des populations homogènes. Les textes, la hiérarchie, les maîtres y sont très respectés et leur autorité reconnue. C’est loin d’être toujours le cas en France. Le rejet de l’autorité ou de l’école s’observe avant tout dans les pays où l’intégration des populations immigrées est mal faite. Ne se sentant pas acceptés, les jeunes issus de l’immigration rejettent la culture qui refuse de les intégrer. L’intégration des étrangers et de ces jeunes est d’ailleurs un point essentiel pour la bonne marche d’un système scolaire. C’est pourquoi, pour la première fois cette année, nous avons souhaité comparer dans chaque pays les performances scolaires de ces jeunes avec celles du reste de la population. Ainsi, au Canada, l’un des pays les mieux placés dans nos classements, ils réussissent très bien et même mieux que les Canadiens du cru. N. O. – Mais le Canada est une exception, en général les jeunes immigrés ne sont-ils pas les moins bien lotis ? B. H. – Certes, le Canada trie ses immigrés sur le volet. Il s’agit de personnes très qualifiées. Mais ce n’est pas la seule explication de leurs bonnes performances. D’une façon générale, les systèmes éducatifs les plus performants sont ceux qui font réussir tous leurs élèves, aussi bien les bons que ceux qui ont moins de facilités ou qui sont moins favorisés socialement. En éducation, on peut concilier qualité et équité, limiter efficacement l’influence du milieu social sur les résultats. Et en la matière, la France a fort à faire. N. O. – Pourtant, beaucoup pensent qu’on ne peut pas enseigner la même chose à tout le monde. Certains peuvent réussir et d’autres non, du moins dans la voie générale. B. H. – C’est vrai, d’où les critiques en France contre le collège unique. Pourtant, un tronc commun, parfois même jusqu’au bac, comme dans les pays nordiques, produit les meilleurs résultats. Pourquoi ? Croire qu’en « offrant » des voies différentes d’orientation, pour permettre à chaque élève de réussir selon ses moyens, est une illusion. De fait, ces systèmes de filières isolent les élèves faibles ou en difficulté. Résultat : les bons élèves progressent à peine plus, alors que les élèves moyens et les élèves plus faibles perdent beaucoup. Si bien qu’au final les performances de ces pays très sélectifs sont moyennes, et nettement moins bonnes que dans les pays où l’école est plus démocratique. Où l’on choisit de ne pas trier les élèves mais au contraire de favoriser au maximum la diversité dans les classes. C’est le cas par exemple en Finlande où, grâce à un suivi individualisé, l’hétérogénéité des classes est gérée au mieux. A contrario, l’Allemagne, qui trie plus tôt que nous encore et, dès le début du collège, oriente une partie de ses élèves vers des enseignements techniques et professionnels, obtient de mauvais scores. D’ailleurs, alarmées par les résultats de nos enquêtes, les autorités allemandes ont remis en chantier leur système éducatif. N. O. – La France s’est elle aussi lancée dans une réforme. Avec notamment un socle commun pour tous les collégiens. Est-ce une méthode qui marche dans d’autres pays ? B. H. – Le principe du socle commun de connaissances, qui impose aux professeurs de transmettre à tous leurs élèves un minimum de compétences dans différentes disciplines, est plutôt une bonne chose. Nous constatons une corrélation entre la mise en place de «standards» minimums dans chaque matière et les bonnes performances globales des élèves. L’objectif étant alors pour chaque enseignant de s’assurer qu’à la fin de l’année chaque élève maîtrise ces standards. Ce qui n’interdit pas aux meilleurs d’aller au-delà. Il ne s’agit pas d’un nivellement par le bas des élèves, mais d’une exigence de résultat pour les professeurs. N. O. – Ce qui rend inutile le principe du redoublement ? B. H. – La France est aujourd’hui un des rares pays à se poser encore cette question existentielle. Chez nous, si un élève est en difficulté, on lui dit assez rapidement qu’il va redoubler, et les enseignants cessent leurs efforts. Les pays où s’appliquent ces standards, Canada, Suède, Finlande, etc., ont une autre philosophie: si un élève peine à suivre, le professeur se sent responsable de cet échec, et met tout en œuvre pour trouver une solution. C’est toute la collectivité qui manifeste davantage de solidarité, de tolérance. La coopération et l’entraide y sont plus développées. Autre particularité de ces pays qui marchent bien, on note peu de différences de niveau d’un établissement à l’autre. Même si, dans les classes les élèves sont, eux, de niveau très variable. Il n’y a pas de ghettos scolaires. N. O. – Des milliers de lycéens sont descendus dans la rue pour signifier leur refus du « bac Henri IV » et du « bac Sarcelles ». A leurs yeux, cet examen reste l’ultime rempart de l’égalité républicaine dans l’Education nationale. B. H. – Le système français doit évoluer car la situation actuelle est préoccupante. Entre ceux qui ont accès à une solide éducation et ceux qui, parce qu’ils habitent dans des quartiers en difficulté, n’ont pas les mêmes chances. Or nous constatons que l’égalité des chances passe par un vrai brassage social, y compris géographique. Le problème est comment l’organiser alors que les évolutions sociologiques poussent au contraire. Mais si on veut une éducation républicaine, on ne peut se satisfaire d’une situation où les résultats de nos enfants dépendent pour beaucoup de l’école où ils vont. N. O. – Et s’il fallait retenir un seul critère pour caractériser une école qui marche ? B. Hugonnier. – Le plaisir d’être élève. C’est un
des points auquel nous avons accordé le plus d’importance cette
année, avec toute une série de questions sur l’image de soi,
le degré d’anxiété, le sentiment d’appartenance, autrement
dit, l’impression d’être à sa place. Sur ce dernier point,
la France détient le record du mal-être à l’école
avec 45% seulement des élèves se sentant à leur place
en classe, contre 81% en moyenne dans les pays de l’OCDE. Un score qui
en dit long sur le chemin qui reste à parcourir pour rendre notre
école efficace, performante et plus juste.
Le Nouvel Observateur - 12 05 05 - Caroline Brizard
- Véronique Radier
Comment évaluer l’école? Pour juger de l’efficacité des systèmes éducatifs, l’Organisation de Coopération et de Développement économiques (OCDE) a lancé un vaste programme international d’évaluation auprès des jeunes de 15 ans, l’âge moyen de la fin de la scolarité obligatoire. La deuxième édition, Pisa (1) 2003, sort ces jours-ci en langue française: un outil unique qui permet de comparer le niveau moyen atteint par les élèves dans chaque pays. Mais pas seulement. Le rapport, un pavé de quelque 476 pages truffé de tableaux comparatifs très pointus, multiplie les entrées, depuis la longueur de la journée de classe ou l’importance des «petits cours» jusqu’au niveau d’intérêt et de plaisir pour les mathématiques, ou encore le sentiment d’être bien préparé pour l’avenir… Car l’OCDE s’est intéressée pour la première fois et de façon très approfondie aux éléments psychologiques de la réussite: la motivation des élèves, l’image qu’ils ont d’eux-mêmes ou encore les stratégies d’apprentissage. Pisa 2003 s’est même penché sur l’équité des différents systèmes éducatifs, en mesurant le degré de correction des inégalités sociales. Mais la France reste très discrète sur ce sujet. Nous avions justement cette année une question sur les écarts de niveau plus ou moins grands entre les écoles et c’est le seul pays qui n’a pas souhaité y répondre. Sur le plan pratique, les tests que passent les élèves sont élaborés en commun par un consortium de pays. Ils portent moins sur les connaissances acquises par les élèves – puisque les programmes varient selon les pays – que sur leurs capacités à les mettre en œuvre. Ils sont conduits, pour chaque pays, sur une période de six mois, auprès d’élèves pris au hasard, dans 150 établissements scolaires, eux aussi tirés au sort. Résultats des courses? Les palmes académiques reviennent à la Finlande, championne toutes catégories, au Japon, au Canada et à la Corée.Pisa: Program for International Student Assessment. |
L'association
Le
Germe (Groupe pour l'Elaboration et la Réalisation d'une Magnifique
Ecole... alternative, laïque, publique dans le Lochois) à
réussi à réunir plus de 100 personnes ce mardi soir
4 octobre à Loches pour la soirée débat sur les écoles
alternatives...
C'est un vrai succès et une bonne nouvelle concernant les possibles, qui viennent de mettre un pied dans la porte, alors que jusqu'à maintenant, ils ne faisaient qu'y toquer ! Et, comme l'horizon qui est, une fois qu'on la rejoint, un horizon plus loin, le potentialisé reprend son statut de potentiel ...! Aussi pour aller plus loin, continuer de se faire connaître auprès de citoyens (parents d'élèves, enseignants, grands-parents, chômeurs, retraités, etc), pour encourager des partenaires publics, privés, professionnels, des énergies de toutes sortes à rejoindre cette action et rendre viable ce projet, Le Germe propose, dans le cadre de ses rencontres : Réunion du dimanche 9 octobre 2011 Engagement du processus de création de l'école Thème : Constitution de 4 groupes de travail : 1/ Contacts avec les établissements innovants, recrutement des enseignants 2/ Communication et diffusion de l'information, recrutement des familles 3/ Rencontre des institutions et recherche de fonds 4/ Rédaction du projet
pédagogique et éducatif
Association Le Germe Réunion tous les 2ème dimanche du mois, 15h. Café de la porte Picois,
Contacts : legerme@sfr.fr
/ Hélène Gillard 02 47 92 36 79 / Brice Desrez 06 18 09 29
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Le projet d'un collège-lycée Freinet sur les rails à Nantes L'association Célestin milite depuis 2007 pour la création d'un collège-lycée de pédagogie Freinet. Ça semble avancer : elle a aujourd'hui le soutien des collectivités locales. Et espère une ouverture en 2013. Le
choix d'une pédagogie différente.
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