alternatives éducatives : des écoles différentes
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I Une école différente ? Pour une société différente ? Qui n'en veut ?! I Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
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I Obligation scolaire et liberté I | Une école différente ? Pour une société différente ? Qui n'en veut ?! I

Quelques autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité :
les rapports parents-profs, la maternelle à 2 ans, l'ennui à l'école les punitions collectives,  le téléphone portable, l'état des toilettes, le créationnisme...
 
 

Et s’il fallait retenir un seul critère pour caractériser une école qui marche?

  Le plaisir d’être élève.
Sur ce dernier point,
la France détient le record du mal-être à l’école
avec seulement 45% des élèves se sentant à leur place en classe,
contre 81% en moyenne dans les pays de l’OCDE.
Un score - referendum ? - qui en dit long sur le chemin qui reste à parcourir
pour rendre notre école efficace, performante et plus juste.
C'est en France que les élèves souffrent le plus.




Freinet dans (?) le système "éducatif" (?) français ?
 

SYLVAIN CONNAC, INSTITUTEUR

PARLEZ-NOUS DE VOTRE PÉDAGOGIE…

En France, chaque école peut définir un projet pédagogique particulier. Le nôtre s’appuie premièrement sur le principe des classes coopératives et, deuxièmement,
sur celui des classes uniques, regroupant des enfants de 6 à 11 ans.
Nous nous inspirons de la pédagogie Freinet, du nom de son initiateur, Célestin Freinet. L’idée est simple : en s’appuyant sur la personnalité des enfants, sur leur curiosité, sur leur spontanéité mais aussi
sur leur dissipation, on favorise leurs potentialités pour apprendre. Cela sous- entend qu’on les considère comme des
personnes à part entière, loin de l’image infantilisante habituelle.

CONCRÈTEMENT, COMMENT CELA SE PASSE-T-IL ?

Nous disposons d’un certain nombre d’outils pédagogiques que les documentaires montrent bien : les “ceintures” (un
peu comme au judo), les équipes de travail, le tutorat — un des avantages de la
classe unique. L’organisation passe par
des “conseils” — auxquels je participe
au même titre que les enfants. On y discute
du travail, des jeux, des conflits, des relations interpersonnelles, des projets.
Chacun a le droit d’user de sa liberté tant qu’elle n’entrave pas celle des autres et celle de la collectivité. C’est un principe démocratique : les lois qui fixent l’équilibre de la classe sont celles que nous nous donnons ensemble.

EST-CE DIFFICILE DE S’ORIENTER VERS CETTE PÉDAGOGIE ?

Choisir ce type d’enseignement, pour
un instituteur, relève encore de l’initiative
personnelle. Il n’est pas évident de rompre ainsi avec les repères habituels de notre profession. Cette pédagogie exige un certain travail sur soi pour accepter l’idée que des enfants entrent dans des stratégies d’apprentissage qui peuvent nous échapper. Mais permettre à des enfants, issus de milieux défavorisés, de vivre des attitudes citoyennes à l’école me paraît plus pertinent et opportun que la mise en place, traditionnelle, de situations didactiques placées sous le contrôle d’un professeur tout-puissant.

COMMENT VOS MÉTHODES D’ENSEIGNEMENT SONT-ELLES PERÇUES ?

Quand on se lance dans ce type de pratiques
différentes, on s’attire forcément quelques regards obliques ou inquiets.
Il faut naturellement que, arrivés au collège,
nos élèves maîtrisent les acquis de base définis par l’éducation nationale.
Et, de ce point de vue-là, ils s’en sortent bien. Nous ne donnons pas de leçons, certes, mais les enfants apprennent tout de même. Ils le font autrement. Et c’est sur cet “autrement” que se cristallise en général une certaine incompréhension.

PENSEZ-VOUS QUE "ECOLE(S) EN FRANCE" PUISSE FAVORISER UNE MEILLEURE COMPRÉHENSION DE VOTRE TRAVAIL ?

Ma priorité, c’est ma classe. Je ne suis
qu’un enseignant, pas le porte-parole d’un mouvement. Mais il est évident qu’un effort est à mener pour expliquer
nos pratiques. Si par l’intermédiaire de ces documentaires, nous arrivons à montrer qu’un enfant de ZEP est capable d’apprendre et de s’épanouir à l’école,
de manière sereine, comme n’importe
quel autre, alors tant mieux. En France,
contrairement à d’autres pays, nous avons la chance de pouvoir développer ce type de pédagogie. Nous bénéficions de l’expérience de nombreux pédagogues
et de l’implication de différents mouvements comme le réseau Marelle, l’Ecole Moderne ou l’école de la Neuville.
Pourquoi s’en priver ?

> L’ÉCOLE ANTOINE-BALARD EN QUELQUES CHIFFRES
Ecole publique, créée en 1963, classée
ZEP depuis 1983
10 classes : 9 + 1 qui accueille les
enfants venus de l’étranger
190 élèves
23 enfants par classe en moyenne ;
22 dans celle de Sylvain Connac

  Freinet dans (?) le système "éducatif" (?)
 

Avant, Prévert en témoignait, la joie, le plaisir, la beauté on les trouvait en sortant de l’école. Aujourd’hui bien sûr, les “écoles en France” ont changé. Dans la série de Christophe Nick et Patricia Bodet il n’est besoin que de voir les visages souvent heureux des enfants qui découvrent, pour s’en convaincre. Mais dans un monde en mutation, l’école doit affronter de nouveaux défis. Objet de fantasmes, on attend tout d’elle. On la critique, souvent à coups de poncifs, de “c’était mieux avant, du temps du pensionnat...” Mais que s’y passe-t-il vraiment entre les enfants et leurs professeurs ? C’est cette relation précieuse que Christophe Nick et Patricia Bodet ont entrepris de nous raconter dans leurs films. 

D’après une enquête de l’OCDE réalisée en 2003, les petits élèves français sont les plus stressés du monde développé, bien plus que les petits Japonais. En outre, les performances scolaires sont loin derrière celles de la Belgique, de la Corée, de la Finlande. Pour comprendre, les auteurs de cette mini-série ont filmé quatre classes et leurs élèves qu’a priori tout oppose : les méthodes, les origines sociales, les niveaux scolaires. 
Regarder et écouter, s’attacher à suivre les enfants, leurs plaisirs et leurs difficultés à apprendre, à vivre ensemble, suffit à mettre en cause la litanie des idées reçues. 

Ces trois documentaires constituent la première des mini-séries que l’Unité documentaires et magazines s’est engagée à diffuser régulièrement dans la case Infrarouge. Programmées sur plusieurs semaines d’affilée, ces collections nous entraîneront au coeur des enjeux de notre société. Si le documentaire veut peindre le réel, il peut le faire à hauteur d’homme et ici à la hauteur du regard des enfants, en nous faisant partager les émotions de ses protagonistes.

L’émotion n’est pas l’ennemie d’une véritable profondeur, mais le vecteur d’un regard aiguisé sur le réel.
En se donnant les moyens de diffuser ce type de programme, France 2 entend bien proposer des écritures documentaires rigoureuses, de véritables histoires d’aujourd’hui.
 

Fabrice Puchault
Patricia Boutinard Rouelle - France 2

 

PLAISIR D’APPRENDRE ?

Episode 1 - jeudi 13 avril 2006 - 22 h 55

A Domont, dans le Val d’Oise, Gregory pleure. Véronique, sa maîtresse l’interroge. Entre deux sanglots, l’enfant n’arrive toujours pas à restituer la définition d’un “extrait”. 

A l’école militaire d’Autun, Imène est inconsolable. Son 0 sur 20 en dictée l’a assommée. Manuel a la même note : il sombre dans le désespoir. 

De retour à Domont, Lola, la nouvelle du CM1, bloque en calcul mental et, jour après jour, sa fraîcheur s’éteint. 

En France, on considère qu’on n’apprend rien sans souffrir. Logique, finalement, que les élèves français soient les plus stressés du monde, comme le révèle une enquête de l’OCDE. Elle classe le mal être des élèves en France très au-dessus des autres, Japonais compris. Pourtant, en France, les performances scolaires sont médiocres, à peine au-dessus de la moyenne des 41 pays les plus industrialisés du monde.
 

APPRENDRE A VIVRE ENSEMBLE

Episode 2 - jeudi 20 avril 2006 - 22 h 55
 

A l’école militaire d’Autun, Sébastien se bagarre tout le temps. Sa classe le rejette. Que vont faire les militaires? Préserver la stabilité du groupe ou forcer l’intégration de Sébastien? 

A l’école Montessori de Paris, Carole la maîtresse impose au CE1-CE2 la personnalité très perturbée de Paul, parce que tout le monde doit apprendre à vivre ensemble. 

Dans la classe Freinet de la ZEP de Montpellier, Sophiane ne veut plus travailler et dérange la classe. Les enfants se réunissent en conseil et décident de le sanctionner. 

En suivant l’évolution de Sébastien, Sophiane et Paul, on découvre en quoi l’école n’est pas qu’un lieu d’apprentissage. 

C’est ici que les enfants s’initient à la vie en société, au respect des règles du groupe et de la loi pour tous. Une étape essentielle dans le développement des enfants. La façon dont les enseignants l’appréhendent détermine la réussite ou l’échec scolaires.

TETE BIEN PLEINE
TETE BIEN FAITE

Episode 3 - jeudi 27 avril 2006 - 22 h 55

Au CM1 de Domont, les enfants accueillent un des plus grands poètes français. 

Dans la classe Freinet de la ZEP de Montpellier, les élèves préparent la visite d’une exposition sur le Canada. 

A l’école Montessori de Paris, chacun travaille sur un exposé. 

A l’école militaire d’Autun, les 6e A apprennent à donner des ordres. 

Dans ce dernier volet de la série, il s’agit plus d’éducation que d’enseignement. 
L’école ne se contente pas d’apprendre à lire, écrire et compter : elle transmet des valeurs, donne aux enfants un bagage culturel et social qui leur permettra de devenir des citoyens autonomes et responsables. 
C’est là que les choix éducatifs de chaque école dessinent des profils de futurs adultes bien différents.
Des choix qui n’appartiennent qu’aux enseignants et dont la plupart des parents n’ont pas conscience.
Pourtant ces choix éducatifs préfigurent l’avenir de leurs enfants comme celle de notre société.
 

“FILMER À HAUTEUR DES ENFANTS”
PATRICIA BODET ET CHRISTOPHE NICK, auteurs / réalisateurs

Deuxième collaboration entre Christophe Nick et Patricia Baudet après "les chroniques de la violence ordinaire".
Les interviewer ensemble, c'est déjà lancer un débat.
Lui avance les arguments.
Elle rebondit, pontue, rectifie.
Verbatim.
 

CHRONIQUES... ?
Christophe Nick : A Creil, nous avions eu l’impression de ne réaliser qu’une introduction, même si cela avait abouti à quatre films. Chercher la racine de la violence, des dysfonctionnements de la société française, comprendre pourquoi nous vivons ensemble et pourquoi cela semble si difficile à tant de gens en France, c’est notre but. La façon dont on éduque les enfants était déjà au coeur de nos interrogations. Nous avions passé deux mois dans une classe-relais d’un collège de Creil.
Nous avions suivi deux enseignants qui tentaient de rattraper quatre ados en très grand échec scolaire. Nous n’avions pu en faire un film, il nous manquait l’autorisation parentale. Aussi, lorsque France 2 m’a demandé si je voulais retenter une expérience d’immersion, j’ai tout de suite sauté sur l’occasion : je voulais retourner à l’école, m’asseoir au milieu des enfants et suivre tous les cours pour comprendre comment ils apprennent, pourquoi certains sont en échec, ce que les adultes  transmettent et comment. Nous nous sommes fixé deux contraintes : une limite de temps (de la rentrée 2005 aux vacances de la Toussaint) et que tout soit tourné à hauteur des enfants.

Patricia Bodet : Nous ne sommes pas là pour juger, mais pour regarder. D’où l’intérêt de rester longtemps sur place. Sur deux mois de tournage, il est impossible de tricher avec la réalité. C’était également fascinant pour les équipes et pour nous de retourner à l’école, de redécouvrir ce qui nous a fait souffrir mais aussi ce qui nous a motivés pour apprendre.

QUELS ONT ÉTÉ VOS CRITÈRES POUR CHOISIR LES QUATRE ÉCOLES ?

Christophe Nick : Nous souhaitions des écoles à pédagogie et à sociologie différentes. Non pas pour les comparer, mais pour faire sortir justement ce qu’elles pouvaient avoir en commun : un internat strict, une école en ZEP, une pédagogie dite alternative et une école banale. Quant aux enseignants, notre seul critère était qu’ils soient des professeurs respectés, pour éviter toute tentative de jugement, de comparaison, et se concentrer sur l’observation des professionnels au travail, aller au coeur des enjeux.

Patricia Bodet : Parcourir les différents niveaux, du CP à la 6e, permettait également d’éviter l’opposition frontale des écoles et de comprendre comment les enfants évoluent au cours d’un cycle.
Personnellement, ce qui m’a passionnée, ce n’est pas tant la pédagogie que la méthode personnelle de chaque enseignant.

COMMENT S’EST DÉROULÉ LE TOURNAGE ?

Patricia Bodet : Sur chaque école, il y avait une équipe de quatre personnes : un journaliste, un chef op’, un ingénieur du son et, particularité de ce projet, un monteur qui “dérushait” les images en cours de tournage et nous les envoyait. Nous étions ainsi en contact permanent avec chacune des équipes, suivant les diverses évolutions au jour le jour. Nous avons travaillé en osmose totale.

Christophe Nick : Les membres des équipes ont vraiment réussi à se fondre dans le décor de la classe. Ils étaient en empathie totale avec le sujet. Quand les enfants allaient au tableau, ils avaient peur du tableau, pas de la caméra !

LES ENFANTS SONT PLUTÔT ATTACHANTS…

Christophe Nick : Franchement, l’atelier de philo, dès le deuxième jour, à Montpellier, je n’en revenais pas ! Nous avons été les premiers surpris par ce que nous filmions. Voir que, parmi tous ces enfants, les gamins de ZEP sont les plus épanouis, les plus ouverts, les plus alertes, c’est extraordinaire ! A l’opposé, il y a la petite Lola. Son cas résume bien le problème de l’école traditionnelle. Voilà une fille intelligente, sensible, éveillée, qui n’a aucun problème mais dont la différence se met justement à poser problème. Au final, elle subit l’ostracisme de toute sa classe…
 

COMMENT S’EST ARTICULÉE VOTRE ENQUÊTE ?

Patricia Bodet : La série a mis du temps à trouver sa forme définitive. Au départ, nous nous étions plutôt orientés sur un principe d’épisodes, avec une grille de lecture d’une trentaine de thèmes pour chaque équipe de tournage. Les trois  documentaires se sont construits au fur et à mesure à partir de cette matière, extrêmement dense, que nous avions recueillie.

Christophe Nick : Assez vite, nous avons été frappés par la notion  de souffrance et nous l’avons traitée telle quelle dans le premier fi lm. Le deuxième documentaire, lui, est axé sur une thématique qui nous préoccupait dès le départ : la socialisation des enfants. 
Comment se passent les rapports entre les élèves ? Que signifie le fait d’être en rupture avec son milieu ? L’idée du troisième film a mis plus de temps à se dessiner. Il fallait s’imprégner davantage de la matière parce que, bien que fondamentale, la question apparaît en creux dans chaque scène : au-delà d’enseigner qu’est-ce qu’éduquer ?

QUEL EST VOTRE DIAGNOSTIC SUR L’ÉCOLE ?

Christophe Nick : Coïncidence amusante, pendant le tournage, le débat sur les méthodes de lecture, globale ou syllabique, a refait surface. C’était assez perturbant de voir, en direct, le décalage existant entre un certain discours et la réalité du terrain. Quand on prend la peine de regarder ce qui se passe, on réalise à quel point l’école est devenue un objet de fantasme. Pour les parents, pour les politiques, pour la société. Et il est lourd ce fantasme ! La peur de l’échec, le chômage, le fait qu’une famille sur deux a divorcé, créent une vraie peur collective — avec pour corollaire un culte de la réussite, des résultats — que nous projetons sur nos enfants. L’école ne devrait pas avoir à supporter un tel poids…

Patricia Bodet : Moi, j’ai souvent pensé que l’école était trop repliée sur elle-même, qu’une fois les grilles franchies le lien entre parents, enseignants et élèves, était difficile à établir. Les uns attendent des résultats, les autres souhaitent avoir les meilleurs élèves possibles. Mais les élèves, eux, qu’ont-ils à dire ?

Christophe Nick : Je ne dirais pas que l’école est un lieu fermé mais protégé. Par contre, ce qui me frappe c’est le désinvestissement des parents. Les réunions de parents d’élèves sont dramatiquement désertiques.

QU’ATTENDEZ-VOUS DE CES DOCUMENTAIRES ?

Christophe Nick : Qu’ils déplacent les lignes des débats actuels qui ne sont vraiment pas à la hauteur de l’enjeu. Il est temps d’affronter les vraies questions : “pédagogie et éducation” et non pas “méthode globale ou syllabique”. Les films se regardent en famille : les enfants qui les ont vus s’identifient à Lola, Manuel ou Sébastien. Que les parents entendent alors ces souffrances devrait faire réfléchir à la pression collective qui exige des performances immédiates.

Patricia Bodet : Nous avons conscience que les films vont être diffusés à un moment où le sujet est d’actualité. J’espère qu’ils vont susciter des réactions, des réflexions positives auprès du corps enseignant.

Christophe Nick : Et puis Ecole(s) en France nous renvoie également à nous-mêmes, à notre propre expérience de l’école. Se rappeler que ces souvenirs-là se situent plutôt au niveau du mal-être, n’est pas inintéressant.

Patricia Bodet : Est-il normal de mettre une telle pression sur des enfants ? Doit-on les mettre en compétition dès leur plus jeune âge ? Et surtout peut-on apprendre dans le plaisir ? Ecole(s) en France peut susciter le débat dans les écoles, bien sûr, mais aussi dans les familles, avec ses propres enfants.

LA PRESENTATION COMPLETE DE LA SERIE (env. 450 ko en pdf)

LE GUIDE ANNUAIRE DES ECOLES DIFFERENTES
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