alternatives éducatives : des écoles, collèges et lycées différents
| Présentation | SOMMAIRE |
I Obligation scolaire et liberté I Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop ! Une école différente ? Pour une société différente ? Qui n'en veut ?! I
| L'heure de la... It's time for ... Re-creation | Appel pour des éts innovants et coopératifs |

Quelques "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité :
les rapports parents-profs, la maternelle à 2 ans, l'ennui à l'école, les punitions collectives, l'état des toilettes, le téléphone portable, le créationnisme...

LES "MODÈLES" ANGLO-SAXONS :
(libertés, justice, santé, système scolaire, éducatif, marché de l'éducation, homeschooling ... aux USA et en Angleterre)
AMERICAN WAY OF LIFE
BRITISH WAY OF LIFE


©  Daniel Maunoury
Quand la crise rattrape les indiens d’Amazonie
Sous prétexte d’équilibrer leur bilan carbone, ces entreprises remplacent la végétation existante par de vastes plantations d’eucalyptus avec des conséquences écologiques désastreuses, notamment pour les ressources en eau.
Avec l’extension programmée de ces mécanismes, les indigènes risquent de se retrouver en première ligne. Certaines communautés (ou certains leaders) en profiteront peut-être d’ailleurs pour tirer leur épingle du jeu, là où la discrimination politique n’est pas trop forte, où leurs droits sont à peu près reconnus et respectés, ou encore là où ils ont pu s’assurer l’alliance (ou la tutelle) de puissantes ONG environnementales nord-américaines, comme en Amazonie.
Dans la plupart des cas, toutefois, le développement des marchés du carbone sera une occasion pour le capitalisme global de mettre la main sur les dernières terres préservées pour les confier à des acteurs « responsables »

Plutôt des multinationales que des communautés traditionnelles.

PÉROU : Deux décrets aux conséquences catastrophiques pour l'environnement
Deux décrets ont provoqué la protestation amazonienne, conséquence de la signature d'un traité de libre-échange avec les États-Unis.
L'Amazonie péruvienne est la plus riche en biodiversité et que toute déforestation y est presque irrémédiable.
Au Pérou, on dénombre 40 conflits par mois liés à la contamination des milieux naturels.
  

28 JANVIER 2009
Bélem : Ouverture du Forum Social

Aux portes de l'Amazonie,
100.000 sans terres, sans toits, syndicalistes, femmes en luttes, jeunes activistes et indiens...

La forêt amazonienne toujours plus dévastée

17 % de la forêt ont été détruits en cinq ans, entre 2000 et 2005  (PNUE)


"La Terre des hommes rouges" ("Birdwatchers" de Marco Bechis) :
au coeur de la révolte des Indiens Kaiowa.
La mort qui guette ces Indiens assiégés et brimés est d'autant plus rapide que nombre d'entre eux (les jeunes surtout) se suicident pour échapper à leur souffrance d'ici-bas et revivre ailleurs, dans une autre dimension.

2008
Nouvelles menaces contre la forêt amazonienne
Si 30 % de la forêt étaient encore détruits, cet écosystème cesserait d'exister, remplacé par un autre - une sorte de savane."
Au rythme actuel, la moitié des arbres aura disparu en 2050.



Un système pipé

Le Brésil du président Lula a beau dépenser 5% de son PIB dans l’éducation, soit presque autant que les Etats-Unis, le système éducatif reste très largement inégalitaire. Un ancien ministre de l’éducation du gouvernement Lula, Cristovam Buarque, qui a démissionné en 2004, explique comment et dénonce le manque de volonté politique d’y remédier. 

 Le Brésil d’aujourd’hui se réclame d’une démocratie républicaine, mais il n’a rien effacé des privilèges de l’aristocratie d’hier. Celle-là même qui, après l’indépendance [1822], a créé des écoles privées de qualité auxquelles, bien sûr, n’avaient pas accès les enfants du peuple, et surtout pas les descendants d’esclaves. 
Ce système du privé est depuis toujours financé en partie par l’Etat fédéral, tandis que celui-ci continue de redistribuer moins d’argent aux écoles publiques du primaire et du secondaire. Ainsi, les classes aisées de la société dépensent-elles 22 milliards d’€ pour l’enseignement privé, qui accueille quelque 7 millions d’enfants, et reçoivent une aide de l’Etat de 419 millions d’€ sous forme de réduction d’impôt. 
Parallèlement, l’enseignement public reçoit 13 milliards d’€ pour 48 millions d’élèves. Encore l’Etat fédéral n’y injecte-t-il que 1,5 milliard d’€. Car la responsabilité de l’éducation de base a été dévolue aux municipalités et aux Etats, tandis que l’Etat fédéral finance l’université. Résultat : avec ce système, le gouvernement dépense 95 € par an pour les enfants du privé et 35 € pour l’ élève « de base » du public. La sélection à l’entrée à l’université prolonge évidemment cette inégalité, puisque les jeunes issus des écoles privées, bien formés, réussissent mieux les examens. Pour faire bonne mesure, Lula favorise la création d’universités particulières pour accueillir plus de jeunes d’autres milieux. Le prix de l’absence de vraie réforme de l’enseignement de base est le taux élevé d’abandon scolaire. 
Un prix qui oblige aujourd’hui le gouvernement à présenter à l’opinion un nouveau fonds[Fundeb] pour financer l’école publique. 
Un cautère de plus sur une jambe de bois ?
O Globo, 12 novembre 2005



A Paris, un ministre de Lula critique l'impatience des
altermondialistes.
 

"Un autre Brésil est possible", assure Cristovam Buarque, ministre brésilien de l'éducation, en guise de réponse aux premières critiques
émises par les altermondialistes. 

A condition de ne pas se focaliser sur l'économie, assure ce responsable, la gauche brésilienne peut réussir sur d'autres terrains : la réforme agraire, l'éducation, la santé, l'emploi. 

Cristovam Buarque est l'une des fortes têtes du Parti des travailleurs (PT) et un poids lourd de l'équipe du président Luiz Inacio Lula da Silva. 

De passage à Paris, le ministre assure ne pas voir aujourd'hui
d'alternative en matière économique. Avec une pointe de coquetterie, il
rappelle qu'il avait provoqué les foudres des "chiites" du PT en proposant de garder Pedro Malan, le ministre de l'économie de l'ancien président Fernando Henrique Cardoso (social-démocrate).

"La stabilité monétaire, le contrôle de l'inflation passent avant l'éducation", insiste M. Buarque. Il reproche néanmoins à ceux qui font preuve d'impatience de rester par trop accrochés à l'économie, plutôt
que de réfléchir à l'ensemble des enjeux sociaux.

"Il ne faut pas confondre politique économique et politique budgétaire", souligne M. Buarque. Et de rappeler que le président Lula a hérité d'un budget ficelé par le gouvernement précédent et que les
choix pour 2004 ne sont pas encore arbitrés.

"L'éducation devrait devenir la priorité qu'elle n'a jamais été au Brésil", plaide le ministre.

Pour lui, Fernando Henrique Cardoso, universitaire, aurait pu mieux faire en ce domaine. 

Trois millions d'enfants ne sont toujours pas
inscrits à l'école élémentaire, beaucoup d'autres ne la fréquentent
pas, la moitié ne sait pas lire à la fin du primaire.
Trois millions huit cent mille enfants travaillent. Les deux mandats présidentiels de M. Cardoso auraient dû permettre de résorber cette plaie, ajoute-t-il.

"ANALPHABÉTISME ZÉRO"

Ancien recteur de l'université de Brasilia, Cristovam Buarque a lancé la "bourse-école", une des principales innovations sociales du PT, lorsqu'il était gouverneur de la capitale. Désormais ministre de l'éducation, il s'est fixé comme objectif l'"analphabétisme zéro", en ramenant tous les enfants sur le chemin de l'école et en adoptant un
programme d'alphabétisation destiné à 20 millions d'adultes. 

Autre priorité, le plan d'urgence pour l'université publique, avec 14 000
nouveaux postes - plus que les dix années précédentes. 

Cristovam Buarque ne sous-estime pas les impatiences qui s'expriment à
l'intérieur du Parti des travailleurs, mais il se dit convaincu que
toutes les personnalités et courants du parti sont condamnés à "réussir
ensemble ou à échouer ensemble".

Paulo A. Paranagua
07/01/03 Le Monde

"internationalisation de l'Amazonie" ?
La réponse du ministre brésilien de l'Éducation.

Au cours d’un débat dans une université américaine en mai 2000, le futur-ex-ministre brésilien de l’Éducation, Cristovam Buarque (nommé en janvier 2003, et remplacé un an plus tard à ce poste par Tarso Genro, ancien maire de Porto Alegre) fut interrogé à propos de l'idée d' internationalisation de l’Amazonie
Un jeune Américain lança le débat en disant qu’il espèrait la réponse d’un humaniste et non pas celle d’un Brésilien
Publiée par O Globo le 23 octobre 2000,  sa réponse a été reprise depuis par de nombreux journaux brésiliens et étrangers.

  "En effet, en tant que Brésilien, je m'élèverais tout simplement contre l'internationalisation de l'Amazonie. Quelle que soit l'insuffisance de l'attention de nos gouvernements pour ce patrimoine, il est nôtre.

En tant qu'humaniste, conscient du risque de dégradation du milieu ambiant dont souffre l'Amazonie, je peux imaginer que l'Amazonie soit internationalisée, comme du reste tout ce qui a de l'importance pour toute l'humanité. 
Si, au nom d'une éthique humaniste, nous devions internationaliser l'Amazonie, alors nous devrions internationaliser les réserves de pétrole du monde entier.
Le pétrole est aussi important pour le bien-être de l'humanité que l'Amazonie l'est pour notre avenir. Et malgré cela, les maîtres des réserves de pétrole se sentent le droit d'augmenter ou de diminuer l'extraction de pétrole, comme d'augmenter ou non son prix. 

De la même manière, on devrait internationaliser le capital financier des pays riches. Si l'Amazonie est une réserve pour tous les hommes, elle ne peut être brûlée par la volonté de son propriétaire, ou d'un pays. 
Brûler l'Amazonie, c'est aussi grave que le chômage provoqué par les décisions arbitraires des spéculateurs de l'économie globale. Nous ne pouvons pas laisser les réserves financières brûler des pays entiers pour le bon plaisir de la spéculation.

Avant l'Amazonie, j'aimerais assister à l'internationalisation de tous les grands musées du monde. Le Louvre ne doit pas appartenir à la seule France .
Chaque musée du monde est le gardien des plus belles oeuvres produites par le génie humain. On ne peut pas laisser ce patrimoine culturel, au même titre que le patrimoine naturel de l'Amazonie, être manipulé et détruit selon la fantaisie d'un seul propriétaire ou d'un seul pays.
Il y a quelque temps, un millionnaire japonais a décidé d'enterrer avec lui le tableau d'un grand maître. Avant que cela n'arrive, il faudrait internationaliser ce tableau.

Pendant que cette rencontre se déroule, les Nations Unies organisent le Forum du Millénaire, mais certains Présidents de pays ont eu des difficultés pour y assister, à cause de difficultés aux frontières des États-unis. 
Je crois donc qu'il faudrait que New York, lieu du siège des Nations Unies, soit internationalisé. Au moins Manhattan devrait appartenir à toute l'humanité. Comme du reste Paris, Venise, Rome, Londres, Rio de Janeiro, Brasília, Recife, chaque ville avec sa beauté particulière, et son histoire du monde devraient appartenir au monde entier.

Si les États-unis veulent internationaliser l'Amazonie, à cause du risque que fait courir le fait de la laisser entre les mains des Brésiliens, alors internationalisons aussi tout l'arsenal nucléaire des États-unis. Ne serait-ce que parcequ'ils sont capables d'utiliser de telles armes, ce qui provoquerait une destruction mille fois plus vaste que les déplorables incendies des forêts brésiliennes.

Au cours de leurs débats, les actuels candidats à la Présidence des États-unis ont soutenu l'idée d'une internationalisation des réserves florestales du monde en échange d'un effacement de la dette. 
Commençons donc par utiliser cette dette pour s'assurer que tous les enfants du monde aient la possibilité de manger et d'aller à l'école. 
Internationalisons les enfants, en les traitant, où qu'ils naissent, comme un patrimoine qui mérite l'attention du monde entier. 
Davantage encore que l'Amazonie. 
Quand les dirigeants du monde traiteront les enfants pauvres du monde comme un Patrimoine de l'Humanité, ils ne les laisseront pas travailler alors qu'ils devraient aller à l'école; ils ne les laisseront pas mourir alors qu'ils devraient vivre.

En tant qu'humaniste, j'accepte de défendre l'idée d'une internationalisation du monde. 
Mais tant que le monde me traitera comme un Brésilien, je lutterai pour que l'Amazonie soit à nous. Et seulement à nous !"



O Globo 23/10/2000 Opinião

Durante debate recente em uma Universidade, nos Estados Unidos, o ex-governador do Distrito Federal e ex-Ministro da Educação, Senador Cristovam Buarque, foi questionado sobre o que pensava da internacionalização da Amazônia.

O jovem americano introduziu sua pergunta dizendo que esperava a resposta de um humanista e não de um brasileiro.
 

" De fato, como brasileiro eu simplesmente falaria contra a internacionalização da Amazônia. 
Por mais que nossos governos não tenham o devido cuidado com esse patrimônio, ele é nosso.

Como humanista, sentindo o risco da degradação ambiental que sofre a Amazônia, posso imaginar a sua internacionalização, como também de tudo o mais que tem importância para a Humanidade.

Se a Amazônia, sob uma óptica humanista, deve ser internacionalizada, internacionalizemos também as reservas de petróleo do mundo inteiro.
O petróleo é tão importante para o bem-estar da humanidade quanto a Amazônia para o nosso futuro.
Apesar disso, os donos das reservas sentem-se no direito de aumentar ou diminuir a extração de petróleo e subir ou não o seu preço.

Da mesma forma, o capital financeiro dos países ricos deveria ser internacionalizado.
Se a Amazônia é uma reserva para todos os seres humanos, ela não pode ser queimada pela vontade de um dono, ou de um País.

Queimar a Amazônia é tão grave quanto o desemprego provocado pelas decisões arbitrárias dos especuladores globais.  Não podemos deixar que as reservas financeiras sirvam para queimar países inteiros na volúpia da especulação.

Antes mesmo da Amazônia, eu gostaria de ver a internacionalização de todos os grandes museus do mundo. 
O Louvre não deve pertencer apenas a França.
Cada museu do mundo é guardião das mais belas peças produzidas pelo gênio humano.
Não se pode deixar esse patrimônio cultural, como o patrimônio natural amazônico, seja manipulado e destruído pelo gosto de um proprietário ou de um País.

Não faz muito, um milionário japonês, decidiu enterrar com ele, um quadro de um grande mestre.
Antes disso, aquele quadro deveria ter sido internacionalizado.

Durante este encontro, as Nações Unidas estão realizando o Fórum do Milênio, mas alguns presidentes de países tiveram dificuldades em comparecer por constrangimentos na fronteira dos EUA.

Por isso, eu acho que Nova York, como sede das Nações Unidas, deve ser internacionalizada. 
Pelo menos Manhatan deveria pertencer a toda a Humanidade.
Assim como Paris, Veneza, Roma, Londres, Rio de Janeiro, Brasília, Recife, cada cidade, com sua beleza específica, sua história do mundo, deveria pertencer ao mundo inteiro.

Se os EUA querem internacionalizar a Amazônia, pelo risco de deixá-la nas mãos de brasileiros, internacionalizemos todos os arsenais nucleares dos EUA. 
Até porque eles já demonstraram que são capazes de usar essas armas, provocando uma destruição milhares de vezes maior do que as lamentáveis queimadas feitas nas florestas do Brasil.

Nos seus debates, os atuais candidatos a presidência dos EUA tem defendido a idéia de internacionalizar a s reservas florestais do mundo em troca da dívida.

Comecemos usando essa dívida para garantir que cada criança do mundo tenha possibilidade de COMER e de ir a escola. 
Internacionalizemos as Crianças tratando-as, todas elas, não importando o país onde nasceram, como patrimônio que merece cuidados do mundo inteiro. 
Ainda mais do que merece a Amazônia.

Quando os dirigentes tratarem as crianças  pobres do mundo como um patrimônio da Humanidade, eles não deixarão que elas trabalhem quando deveriam estudar, que morram quando deveriam viver.

Como humanista, aceito defender a internacionalização do mundo. Mas, enquanto o mundo me tratar como brasileiro, lutarei para que a Amazônia seja nossa. 
Só nossa  !  "



During a lecture in one USA University, the former governor of Brasilia , Cristovam Buarque, was questioned his thoughts concerning the internationalization of Amazonia forest.
The young American man, introduced the question saying that he was expecting an answer from one humanist and not from one Brazilian. 

This was the given by Mr. Cristovam Buarque:

" In fact, as a Brazilian I would simply talk against the internationalization of Amazonia forest.
However our governors have not the due care with this patrimony, it is ours. 

As humanist, feeling the risk of the environmental degradation suffered by the Amazonia region, I can imagine its internationalization, as also the internalization of all the other things which have importance for the humanity.

If Amazonia, under an humanist ethics, must to be internationalized, we will also internationalize the oil reserves around the world. The oil is so important for the welfare of humanity as much as Amazonia for our future. Despite of that, the owners of the oil reserves feel themselves with the right of increase or not its price. In the same way, the financial capital of the rich countries should be internationalized.

If Amazonia is a reserve for all human beings, it cannot be burned by the desire of one owner, or one country. To burn Amazonia forest is as serious as the unemployment provoqued by the arbitrary decisions of the global players. We cannot allow that the financial reserves work for burning entire countries in the voluptuousness of the speculation. 

Even before of Amazonia forest, I would like to see the internationalization of all big museuns of the world. 
The Louvre must not belong only to France. 
Each of the world is a guardian of the most beautiful pieces produced by the human kind.One cannot let this cultural patrimony, as the natural Amazonic patrimony, be manipulated and destroyed by the desire of an owner or of a country. It was not long time ago, that a milionaire Japanese, decided to be buried together with him a picture of a great maester. Before of that, the picture should be made internationalized. 

During this meeting, the United Nations are realizing a Forum of the Millenium, but presidents of some countries had difficulties to be present because of embarrassment in the USA frontiers. 
Because of that, I think that New York, as the headquarter of United Nations, must to be internationalized. At least Manhattan should belong to the whole humanity. As well as Paris, Veneze, Rome, London, Rio de Janeiro, Brasilia, Recife, each town with its specific beauty, its history of the world, must belong to the entire world. 

If the USA want to internationalize Amazonia forest, because of the risk of let it in Brazilians hands, we all will internationalizate the nuclear arsenal of USA. Even because the Americans already demonstrate that they are able to use those weapons, provoquing a destruction thousands of times bigger than the sorrofull forest fires made in Brazilian forests. 

In their debates, the actual candidates to the USA presidence have being defending the idea of internationalizate the forest reserves of the world in exchange of the external debit. 

We start using this debit to guarantee that each child of the world have possibility to eat and go to school. 
We will internationalizate the children, treating them, all of them, does not matter in which country they were born, as a patrimony which deserves care of the entire world. 

Even more than what Amazonia forest deserves. 
When the managers treat the poor children of the world as an humanity patrimony, they will not allow them to work when they should be studing, that they die when they should live. 

As an humanist, I accept to defend the internationalization of the world. 
But while the world treat me as Brazilian, I will fight for that Amazonia forest continues to be ours. Only ours! 
--------
Ps. This matter was published in the New York Times /Washington Post Today and in the main newspapers of Europe and Japan, in August 2001.



Disparition accélérée de la forêt amazonienne à cause  du soja et du  boeuf

Le Brésil lance un vaste projet contre la déprédation de l'Amazonie
... et approuve une loi légalisant les germes de soja génétiquement modifiés...

Expulsion de missionnaires évangéliques américains du mouvement "Nouvelles tribus"
 installés dans des régions à forte population indienne
Sous couvert d’évangélisation : exploitation illimitée et illégale des ressources naturelles présentes en territoires indiens,
au profit de compagnies nord-américaines comme General Dynamics et Westinghouse,
elles-mêmes liées à l’industrie militaire et au constructeur automobile Ford.
Cette organisation compterait une flotte d’aviation, pistes d’atterrissage, et puissant réseau de télécommunications.
Plus grave, l’organisation est accusée de s’être servi de communautés entières, Yanomami entre autres,
pour des expérimentations génétiques.

La Californie (395 millions de tonnes de CO2) pollue plus que 106 pays en développement
ou que le seul Brésil, pourtant cinq fois plus peuplé.
 (rapport du National Environment Trust (NET) à la conférence de l’ONU sur le climat.)


LE GUIDE ANNUAIRE DES ECOLES DIFFERENTES

| Présentation | SOMMAIRE |
| Le nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation ? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme scolaire et "éducation alternative" | Jaune devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le lycée "expérimental" de Saint-Nazaire | Le collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure de la... It's time for ... Re-creation | Freinet dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer l'école | Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !| L'école Vitruve |
| Colloque Freinet à ... Londres | Des écoles publiques "expérimentales" |
| 68 - 98 : les 30 P-l-eureuses | Et l'horreur éducative ? |