Quelques
autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité
:
les rapports
parents-profs, la maternelle
à 2 ans, l'ennui
à l'école, les punitions
collectives, le téléphone
portable,
l'état des
toilettes,
le créationnisme...
LES "MODÈLES"
ANGLO-SAXONS :
(libertés, justice,
système scolaire, éducatif, marché de l'éducation,
homeschooling...aux USA et en Angleterre)
AMERICAN
WAY OF LIFE
BRITISH
WAY OF LIFE
Un établissement
scolaire de Californie oblige désormais ses élèves
à porter des badges
qui permettent de suivre
leur moindre mouvement,comme
pour le bétail.
Cantines bio...
métriques
Quand
la biométrie s'installe dans les cantines au nez et à la
barbe de la cnil
Des
RFID dans nos billets de banque ?
Un système RFID peut
être implanté sur ... n'importe quoi ou ... n'importe qui.
Vue sa taille, de l'ordre
du centième de millimètre (pour le moment ! )
il peut être implanté
sur des êtres humains avec leur accord ou à leur insu.
Il assure la traçabilité
"des personnes et des biens". Concrétisation de la prophétie
:
"les hommes feront commerce
sous le signe de la bête"..?!
États-Unis: l’implantation de puces sous-cutanées autorisée sur des individus
Nouveauté
de l'année, un
«Orwell
novlang» vise à récompenser les discours
les plus astucieux
destinés à
enfourailler dans le ciboulot l'idée selon laquelle
on vit mieux si on vit «surveillé,
contrôlé, pisté et étiqueté».
Brisons le suspense : ce
prix est allé au Gixel (Groupement des industries électroniques),
qui a suggéré
à l'Etat «de conditionner
la population,
surtout les enfants,
aux
technologies d'identification biométrique et de contrôle social».
La
nouvelle carte d’identité britannique - "sécurisée"
(RFiD) -
piratée
en 12 MINUTES. Avec son téléphone
mobile et un ordinateur portable, Adam Laurie a cracké l’algorithme
de sécurité de la puce RFiD “sécurisée“, copié
toutes les données, avant de cloner la carte d’identité en…
12 minutes.
RFID : les Cnil européennes
craignent des dérives
Les représentants des autorités européennes de protection des données ont soumis pour commentaires une analyse sur le déploiement à grande échelle des étiquettes électroniques. Elles y rappellent les principes de base de respect de la vie privée. Le groupe Article 29 s’inquiète de la généralisation des identifiants électroniques à fréquence radio (RFID) et des conséquences pour la vie privée des citoyens. Cette structure rassemble les différentes autorités de protection des données personnelles des 25 pays membres de l'Union européenne, dont la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) pour la France. Il a publié son analyse et ses recommandations sur le sujet, qui sont soumises aux commentaires du public jusqu’au 31 mars. «L’utilisation des RFID peut être bénéfique pour les entreprises, pour les individus et les services publics (y compris les gouvernements)», note le groupe. Mais «le déploiement généralisé de cette technologie amène aussi de potentiels inconvénients». Les Cnil européennes avouent être préoccupées des possibilités de «violation de la dignité humaine et des droits de protection des données» induites par certaines applications des RFID. «Nos inquiétudes concernent en particulier les possibilités pour les gouvernements et les entreprises d’utiliser les RFID pour s’immiscer dans la sphère privée des individus.» Pas d'exception aux règles de base pour les RFID Elles ont recensé de nombreux usages susceptibles de mener à des dérives: «la capacité de collecter subrepticement tout un ensemble de données sur une seule et même personne, de tracer les gens lorsqu’ils se déplacent dans des espaces publics (aéroports, gares, magasins), de perfectionner des profils grâce à la surveillance des comportements des clients dans les magasins, de lire les détails des habits et des accessoires portés ou des médicaments transportés par une personne». Le groupe Article 29 rappelle que les informations collectées ou stockées sur des RFID, sont soumises aux règles établies dans la directive européenne de 1995 sur la protection des données. Ses principes de base sont clairs: la collecte doit avoir un objet précis et ne doit concerner que les informations pertinentes. Ensuite, la durée de conservation des données doit être justifiée par rapport à la réalisation de cet objet. D’autre part, les autorités soulignent que dans la plupart des scénarios où intervient la technologie RFID, recueillir le consentement préalable des individus est une condition sine qua non. Tout comme leur fournir suffisamment d’informations sur l’objet de la collecte et sur les personnes qui la mettent en œuvre. Sans oublier des droits d’accès et de rectification sur les données conservées. |