I Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
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L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Appel
pour des éts innovants et coopératifs |
I
Obligation
scolaire et liberté I | Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I
Quelques
autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité
:
les rapports
parents-profs, la maternelle
à 2 ans, l'ennui
à l'école, les punitions
collectives, le téléphone
portable,
l'état des
toilettes,
le créationnisme...
«Certains parents
sont très angoissés de la souffrance éventuelle de
leur enfant,
tentent de lui construire
un
monde idyllique à la Walt Disney,
en partie parce qu'ils
ne sont pas sûrs de leur capacité à le rassurer»
La rentrée scolaire,
qui se concentrait sur deux ou trois semaines,
dure cette année
de
mi-juin à pratiquement début octobre"
parce
que les enfants et les ados résistent peu à ce conformisme.
La dictature des marques,
c'est passé de mode
La
basket des altermondialistes
Selon une enquête
réalisée par Familles de France,
le coût moyen de
la rentrée pour un élève de 6e est de 186,32 euros,
mais n'acheter que le
basique revient à 48,42 euros
contre 549,89
euros
si on sacrifie aux gadgets
à la mode, aux marques et à la qualité maximum...
Les
publicitaires, c'est comme les dealers,
ils attendent les enfants
et les ados à la sortie des écoles et des lycées.
Ils savent très
bien que plus ils prennent les jeunes tôt, plus il sera dur après
pour eux de se désintoxiquer de la consommation.
A cause de la publicité,
de plus en plus d'enfants sont malades de l'obésité.
C'est ça le métier
des publicitaires : rendre les jeunes accros aux marques et à la
conso
pour servir de grosses
entreprises qui exploitent
d'autres enfants à l'autre bout de la planète.
Notre
mouvement exige toujours l’abrogation de la circulaire Lang qui permet
de faire entrer par la fenêtre la publicité qui demeure officiellement
interdite par la porte.
Cette circulaire du gouvernement
Jospin est conservée pieusement par les gouvernements Raffarin et
de Villepin, preuve que, sur ce terrain, nos amis productivistes de gauche
comme de droite veulent de concert enrôler nos enfants dans la société
de consommation.
Les achats de fournitures scolaires
connaissent un pic
PARIS - 24 08 05 - - Les achats de fournitures scolaires, qui connaissent un pic depuis quelques jours, ont commencé dès le mois de juin et dureront jusqu'au dernier moment, avec des parents qui composent entre produits de marques pour les achats "coup de coeur" et articles plus basiques. "La tendance est à une légère anticipation des
achats. Beaucoup de parents s'y prennent largement à l'avance parce
qu'ils ne veulent pas avoir le rush de fin août-début septembre,
et qu'ils savent qu'en termes de cartables et de maroquinerie scolaire,
on a plus de choix en juillet que fin août", déclare Sylvie
Meng, responsable du rayon papeterie à Auchan Vélizy (Yvelines).
Cette tendance se répercute sur le chiffre d'affaires du rayon papeterie, avec des "volumes considérables" en juin. "Nous réalisons des progressions à deux chiffres sur juin, sur juillet aussi, tandis que sur août, c'est à l'équilibre pour l'instant", ajoute-t-il. "Les deux dernières semaines d'août ne totalisent plus que 40 à 50% du chiffre d'affaires des fournitures, contre 70 à 80% auparavant", précise M. Gonçalves. Selon lui, juillet est plutôt réservé aux achats "fantaisie", tandis que "sur toute la période d'août, on achète plutôt le commercial basique : gommes, crayons, feuilles, classeurs". La rentrée scolaire est l'une des principales opérations de l'année pour les grands magasins et les grandes surfaces en termes de ventes, avec la période de Noël et les opérations précédant l'été. Selon les commerçants, le panier moyen d'achats pour les fournitures reste relativement stable, "autour de 100 euros" à Auchan Vélizy et de 120 euros au Printemps, même si M. Gonçalves constate une baisse de 10% des dépenses moyennes par client. "Les parents regardent leur portefeuille de manière un peu plus attentionnée cette année. A mi-août, on était à 118 euros. L'année dernière, on avait fait 128 euros sur la période rentrée des classes", explique-t-il. De manière générale, les parents composent entre les achats de marques pour les cartables, les trousses ou les agendas, et les premiers prix et marques distributeurs pour les feuilles ou les crayons, explique Mme Meng. Parmi les marques et licences les plus en vogue, le sac à dos Eastpack, les marques de sport comme Airness, les articles Spiderman, Batman ou Titeuf se vendent très bien pour les garçons, tandis que Chipie ou Lulu Castagnette marchent fort pour les filles, à côté de Barbapapa pour les plus petits. Le cartable à roulettes, apprécié notamment pour son côté pratique pour les plus jeunes, continue également à séduire les parents. "Nous en avons vendu beaucoup, la demande de ce type de cartable progresse encore cette année", souligne Martha Giraldo, responsable du secteur rentrée des classes aux Galeries Lafayette Haussmann. |