I Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
|
L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Appel
pour des éts innovants et coopératifs |
I
Obligation
scolaire et liberté I | Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I
Quelques
autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité
:
les rapports
parents-profs, la maternelle
à 2 ans, l'ennui
à l'école, les punitions
collectives, le téléphone
portable,
l'état des
toilettes,
le créationnisme...
Plus de trois
millions de personnes
en France vivent dans des conditions de logement très précaires, et plus de cinq millions d'autres pourraient basculer dans cette situation "à court ou moyen terme" Hauts
fonctionnaires, grands logements et tout petits loyers
Cinq
mille enfants s.d.f.
Société
- tendance festive
Des
HLM pour les familles expulsées des HLM
L'extrême
pauvreté touche un foyer parisien sur huit
Un
million d'enfants pauvres en France
30.000 à 50.000 jeunes
de 18 à 24 ans se trouvent en situation de très grande précarité
ou d'errance.
...on ignore la plupart du
temps leur devenir à l’âge adulte.
Hauts
fonctionnaires, grands logements et tout petits loyers
|
La
justice expulse "Jeudi noir" de la place des Vosges à Paris
18.01.10 - Le Monde/Reuters
Ce dossier a attiré l'attention car il illustre la crise du logement dans la capitale. Invoquant le respect du droit à la propriété, la tutrice de la propriétaire âgée de 87 ans avait demandé au tribunal d'instance du Ve arrondissement l'expulsion des militants et plus de 140.000 euros d'indemnités (69.663 euros par mois). Les juges ordonnent finalement aux "squatteurs" de payer 3.500 euros par mois d'indemnités, soit environ 10.000 euros au total pour la période durant laquelle ils ont occupé l'immeuble. La sanction passera à 25.000 euros par mois s'ils n'ont pas quitté les lieux dans huit jours, dit le jugement. La propriétaire, Béatrice Cottin, 87 ans, qui vit en maison de retraite, considère l'immeuble, où naquit la marquise de Sévigné, écrivain célèbre du XVIIe, comme sa "résidence principale", même si elle n'y a presque jamais habité en raison de travaux, ont dit ses avocats. Me Pascal Winter, avocat du collectif "Jeudi noir", invoquait la loi sur le "droit au logement opposable" votée en mars 2007 et qui donne aux sans-logis le droit de contester en justice l'impossibilité d'accéder à un foyer. La municipalité socialiste de Paris avait exprimé son soutien à "Jeudi noir" et appelé les juges à la "clémence". La Fondation Abbé Pierre recense en France 100.000 personnes vivant dans la rue, 493.000 "privées de domicile personnel" et vivant en foyers, habitats de fortunes, chez des tiers ou à l'hôtel, ainsi que plus de deux millions de personnes habitant dans des logements précaires, insalubres ou surpeuplés. A Paris, selon le recensement de 1999, il y avait
136.000 logements vides, un chiffre qui aurait peu évolué.
En 2006, les statistiques fiscales montrent que 18.600 étaient vides
depuis plus de deux ans.
Logement : la Fondation Abbé Pierre dénonce Le Monde - 31.01.05
Les objectifs annoncés dans la loi de cohésion sociale sont loin d'être tenus, et une large partie de la population vit dans des "conditions inacceptables". Depuis près d'un an, le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin a élevé le logement au rang de "grande cause nationale", mais son action, pour ambitieuse qu'elle soit, ne va pas assez loin ou demeure en décalage par rapport aux besoins d'une large partie de la population. Dans son dixième rapport annuel, qui doit être rendu public mardi 1er février, la Fondation Abbé Pierre (FAP) se livre à une expertise sans concession de l'action de Jean-Louis Borloo et de Marc-Philippe Daubresse, les deux ministres qui fixent le cap en matière de logement. Leurs objectifs, déclinés dans la loi de cohésion sociale pour la période 2005-2009, sont sans doute louables, mais ils risquent fort de ne pas être atteints et entrent en contradiction avec d'autres choix gouvernementaux, d'après la fondation. Construire 500 000 logements sociaux en cinq ans est "une bonne chose", souligne le rapport, mais ce chiffre englobe l'offre locative intermédiaire, qui peut difficilement être assimilée à du HLM, du fait des loyers pratiqués. Financé grâce à des prêts locatifs sociaux (PLS), ce type d'habitat est, en effet, inaccessible à la plupart des six millions de ménages qui touchent l'aide personnalisée au logement (APL). Il représente cependant plus du tiers des objectifs de production inscrits dans la loi de cohésion sociale. Une tendance inquiétante, aux yeux de la FAP, d'autant que le nombre de logements "réellement sociaux" financés a diminué entre 2001 et 2003 (- 8 %). MAUVAISE VOLONTÉ Autre difficulté : l'implication insuffisante des communes. Compte tenu des buts qu'elles affichent actuellement en matière de construction, les trente plus grandes agglomérations ne pourront réaliser que 60 % du programme qui leur est assigné par la loi de cohésion sociale, selon la fondation. On est loin du compte. Certaines municipalités font même preuve de mauvaise volonté, alors qu'elles sont tenues de construire du HLM afin d'en avoir 20 %, à terme, sur leur territoire, conformément à la loi "solidarité et renouvellement urbains" (SRU). Ainsi, un tiers des villes "concernées par ce texte n'ont construit aucun logement social depuis trois ans", dénonce le rapport. Dans ce contexte, il faudrait que la collectivité accroisse son "effort" en faveur du logement, d'après la fondation. Mais les "tendances récessives"se révèlent pour l'heure plus fortes : les dépenses consenties par l'Etat, les collectivités locales et les partenaires sociaux en matière d'habitat représentaient 1,95 % du PIB en 2004, contre 2,07 % en 2000. Seul le "1 % patronal" a vu sa part progresser, tandis que les pouvoirs publics se désengageaient. De même, les aides personnelles au logement ont "beaucoup souffert des "nouvelles orientations" de la politique du logement" (mesures d'économie, absence de revalorisation en 2004, etc.). Du coup, ces prestations ne compensent plus la hausse des prix et des loyers. Faute de trouver un toit dans le monde HLM ou dans le parc privé, de plus en plus de ménages se tournent vers des proches pour être hébergés, poursuit la fondation. Près d'un million de personnes étaient dans cette situation en 2002 (soit 50 000 de plus en six ans). Parmi elles, de 150 000 à 300 000 "vivent dans des conditions de logement inacceptables". Bertrand Bissuel
|
| LE
GUIDE-ANNUAIRE |
Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |