I Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
|
L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Appel
pour des éts innovants et coopératifs |
I
Obligation
scolaire et liberté I | Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I
Quelques
autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité
:
les rapports
parents-profs, la maternelle
à 2 ans, l'ennui
à l'école, les punitions
collectives, le téléphone
portable,
l'état des
toilettes,
le créationnisme...
école
autrement, école alternative, école différente, collège
lycée innovant, expérimental ...
2018 ?
2118 ?
Une
autre
école est-elle possible ?
le
marquage social des quartiers souligne l'inégalité devant
l'école.
(enquête INSEE) En Ile-de-France, un enfant sur quatre vit dans un "logement surpeuplé". En France, un enfant sur dix. Les familles monoparentales sont plus touchées que les autres. Logement : la Fondation Abbé Pierre dénonce le décalage entre parole et actes Cinq
mille enfants s.d.f.
Société
- tendance festive
Des
HLM pour les familles expulsées des HLM
L'extrême
pauvreté touche un foyer parisien sur huit
Un
million d'enfants pauvres en France
30.000 à 50.000 jeunes
de 18 à 24 ans se trouvent en situation de très grande précarité
ou d'errance.
...on ignore la plupart du
temps leur devenir à l’âge adulte.
Hauts
fonctionnaires, grands logements et tout petits loyers
|
Plus
de cinq millions de personnes
PARIS - 31 01 05 - Plus de trois millions de personnes en France vivent dans des conditions de logement très précaires, et plus de cinq millions d'autres pourraient basculer dans cette situation "à court ou moyen terme", notamment des personnes hébergées par des tiers faute de mieux, selon le 10e rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre sur le mal-logement rendu public lundi. Face à ce constat, la fondation dénonce, cette année encore, une "pénurie persistante" de 500.000 logements sociaux. Et si le plan de cohésion sociale de Jean-Louis Borloo prévoit leur construction dans les cinq prochaines années, l'association estime que cet objectif ne pourra être atteint qu'avec de nouvelles mesures, et seulement si les collectivités locales "acceptent de prendre la part qui leur revient". Au total, la fondation recense 3.082.500 personnes vivant une "situation forte de mal-logement" en France, parmi lesquelles 86.500 SDF, 50.000 personnes hébergées à l'hôtel, 41.000 dans des "habitats de fortune" (cabanes, constructions provisoires), 1.150.000 dans des logements dépourvus de W.C, salle de bain et chauffage ou encore 35.000 installées dans des structures d'hébergement d'urgence. Mais l'association tire également le signal d'alarme sur le cas de 5.670.000 personnes qui vivent dans une situation de "réelle fragilité à court ou moyen terme". Si la fondation englobe dans cette catégorie les ménages vivant dans des immeubles dégradés "nécessitant une intervention publique", ou encore en impayés de loyer depuis plus de deux mois pour cause de difficultés financières, elle prend aussi en compte l'hébergement chez des amis ou de la famille devenu une nécessité pour 150.000 à 300.000 personnes, véritable "cache misère" ou "palliatif" à la crise du logement. L'association pointe ainsi "l'augmentation du nombre de personnes qui sont hébergées par des membres de leur famille ou par des tiers et surtout le fait que ce mode d'hébergement constitue désormais une solution par défaut pour de nombreuses personnes que l'on ne s'attendrait pas à trouver dans cette situation". "Le recours à la solidarité privée est utilisé autant par des jeunes qui cherchent à décohabiter que par des ménages endettés ou expulsés qui ne peuvent plus se maintenir dans leur logement, ou pour traiter des problèmes spécifiques liés à des flux migratoires qui ont évolué", souligne la Fondation Abbé Pierre. "On compte aussi de nombreux adultes isolés, généralement des hommes ou des femmes divorcés ou séparés, ayant déjà eu un logement autonome pour la plupart d'entre eux, ainsi que des familles avec enfants". "Rupture familiale, éclatement des couples se conjuguent avec les problèmes liés à une baisse de revenus, à une perte d'emploi ou de logement pour décrire les raisons qui conduisent à un hébergement chez des proches", constate la fondation. Et la situation est d'autant plus alarmante que la spirale de la grande précarité peut finir par faire basculer tout le monde, selon l'association. "Le plus souvent, l'hébergeant est dans une situation financière qui n'est guère plus enviable que celle de l'hébergé", note-t-elle. "Et s'il fait preuve de générosité en ouvrant sa porte, il peut alors se retrouver en mauvaise posture. Une solidarité qui ne s'exerce qu'entre personnes modestes trouve forcément ses limites". |