alternatives éducatives : des écoles différentes
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Quelques autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité :
les rapports parents-profs, la maternelle à 2 ans, l'ennui à l'école les punitions collectives,  le téléphone portable  , l'état des toilettes, le créationnisme...
 
 

Mère avec trois enfants quitterait local à ordures

C'est le prix du mètre carré qui fait la différence.

Le directeur de cabinet de la ministre du Logement, Christine Boutin, loue un appartement à loyer modéré
appartenant à la RIVP (Régie immobilière de la ville de Paris) depuis 1981.
Selon le Canard Enchaîné, M. Bolufer, préfet hors cadre, bénéficie d'un appartement de 190m2
dans le quartier de Port-Royal (Vème arrondissement), avec vue sur la chapelle du Val-de-Grâce,
au prix de 6,30 euros le m2.
Les prix du secteur se situent généralement dans le parc privé entre 20 et 30 euros le m2.

Ces locataires de HLM qui font scandale

Hauts fonctionnaires, grands logements et tout petits loyers
Un rapport cinglant (2005...) dénonce une « privilégiature » de salariés logés par l’Etat.

Nouveau Grenelle pour le Charity-Hirsch business

Le patronat hébergé par les bonnes oeuvres
En province, les organismes de formation professionnelle, de logement social et de médecine du travail offrent le gîte au Medef.
Massacre du code du travail dans le silence général
C’est le seul droit qui protège – trop fragilement – et contribue à fixer le coût de la force de travail de 91 % de la population active.
Le code du travail va être réécrit en quelques heures à l’Assemblée nationale, le 27 novembre et le 4 décembre.

La ministre du logement et de la ville, Christine Boutin, nous a prévenus :
ils chargeront même s'il y a des risques que des gens tombent à l'eau".

Je te demande juste, Fadela, de condamner la politique de la ville actuelle.

Familles monoparentales : plus nombreuses et plus pauvres

Le Plan Local d'Urbanisme, adopté en juin 2006 par le Conseil de Paris, a clairement défini ses priorités
quant à la gestion du foncier sur Paris : 50 % de bureaux, 30 % de logements.
Résultat : on vide Paris de ses habitants les plus modestes,
pour les remplacer par des bureaux destinés à des grandes entreprises.

les financements engagés au 31 décembre 2006 prévoient dix démolitions pour sept reconstructions

Huit millions de Français privés de vacances
par manque de moyens

"Une fois payés les hôteliers, ces familles n'ont que 5 euros pour vivre"
"on continue en France à placer et maintenir des familles avec enfants dans des chambres d'hôtels minuscules souvent indécentes
à des prix d'or, plutôt que de les loger dans de véritables logements".
"En période préélectorale, il va falloir qu'il y ait des choses qui avancent très concrètement" ..!

Paris n'est plus que la capitale du malthusianisme français.
ils parlent de crèches, de transports propres, de sport, de sécurité... bref des agréments d'une ville-musée.

échec ou réussite scolaire ?
C'est le prix du mètre carré qui fait la différence.

1,8 million de logements vides
La France compte 6% de logements vacants, selon l'Insee

innovation :
Compost de fruits dans le système bancaire, éducatif, et citoyen
En août, personne ne profite des invendus de Rungis

Un million d'enfants pauvres en France
Un million d'enfants de moins de 18 ans vivaient en 1999-2000 sous le seuil de pauvreté Insee en France,
soit près de 8% de l'ensemble des enfants,
et près de deux millions sous le seuil "européen
selon une étude du C.E.R.C.

Les travailleurs pauvres
une précarité qui effraie les Français



PARIS - afp-060325 - Le phénomène des "travailleurs pauvres", qui touche de nombreux jeunes, tend à s'amplifier en France et renforce la peur de la précarité qui mobilise dans la rue des centaines de milliers de salariés, lycéens et étudiants contre le contrat première embauche (CPE).

"Travailleurs pauvres": apparue dans les années 70, la notion de "working poor" vient des Etats-Unis et désigne une personne qui travaille mais dont le salaire ne permet pas, malgré tout, à sa famille de s'extraire de la pauvreté.

En France, comme dans plusieurs pays de l’Union européenne, cette catégorie de travailleurs a pris de l'ampleur à partir de la fin des années 1990, touchant principalement les familles monoparentales et les jeunes.
Et elle tend à augmenter, relève le rapport 2005-2006 de l'Observatoire français de la pauvreté.

Cas typique du "travailleur pauvre" en France: une femme de ménage ou une caissière salariée à temps partiel, souvent faute de mieux, travaillant deux heures très tôt le matin et trois heures tard le soir, confrontée au problème de la garde de ses enfants, tout cela avec un salaire très réduit.

La France compte un million de "travailleurs pauvres" si on se réfère au seuil de pauvreté fixé à 50% du salaire médian (645 euros/mois pour une personne seule) et le double, si l'on prend le seuil de 60% du salaire médian (774 euros/mois) retenu pour les comparaisons européennes.

Globalement, la France se situe dans la moyenne européenne avec près d'un pauvre sur deux (47%) "vivant dans une famille où au moins un des adultes travaille", contre 8 sur 10 aux Etats-Unis, explique Marco Mira d'Ercole, co-auteur d'un rapport en 2005 sur la pauvreté dans les pays de l'OCDE.

La France compte entre 3,7 et 7 millions de pauvres (7%), selon que l'on retient la définition française ou européenne de la pauvreté, une proportion moins élevée que dans le reste de l'UE (10,7% en moyenne) et que beaucoup d'autres pays développés (11% en GB, 13,7% au Portugal ou 17% au Etats-Unis), selon l'OCDE.

Mais "ce qui fait la spécificité française, c'est que certains pays comme les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont fait le choix d'avoir des travailleurs pauvres plutôt que des chômeurs. La France, elle, conjugue désormais les deux" avec un taux de chômage parmi les plus élevés des pays développés (9,6%), analyse Martin Hirsh, président d'Emmaüs-France.

"Il y a un grand vertige des Français", estime M. Hirsh. "Avant, il y avait la peur du chômage et on pensait s'en sortir avec un emploi. Aujourd'hui, un emploi ne permet pas à coup sûr de sortir de la galère".

"C'est une inquiétude de fond", renchérit Nicole Maestracci, présidente de la fédération nationale des associations de réinsertion sociale.

Une peur illustrée, selon elle, en novembre par les émeutes dans les banlieues défavorisées et aujourd'hui par la fronde contre le CPE, rebaptisé par ses opposants "Contrat Précarité Exclusion".

Le taux de chômage en France des moins de 25 ans qui atteint 23% est un des plus élevés en Europe.

"Toute la question est de savoir si ces mesures vont créer des emplois qui débouchent sur des perspectives de carrière ou si elles se transforment en ghetto à vie", résume M. Mira d'Ercole.

Car qui dit travail précaire, dit pas de logement stable, pas de compte bancaire (4 à 5 millions de personnes, selon les associations), un accès aux soins limité et, au bout du compte, "un nombre croissant" de salariés piégés dans un "cercle vicieux" générateur de pauvreté, conclut une récente étude publiée par l'Ires.

LE GUIDE ANNUAIRE DES ECOLES DIFFERENTES
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