école
autrement, école alternative, école différente, collège
lycée innovant, expérimental ...
2018 ?
2118 ?
Une
autre
école est-elle possible ?
Belgique francophone
Même
intox qu'en France (La rumeur, les chiffres d'associations, repris
pas une presse paresseuse et/ou complaisante) :
- ... Dans
le présent contexte morose de l’enseignement, de plus en plus de
parents se disent tentés par le « homeschooling »,
autrement dit l’instruction à domicile. Voire le « unschooling
», dérivé du « homeschooling » et dont
l’idée est de laisser l’enfant libre et maître de ses apprentissages,
partant du principe que l’enfant apprend partout, au gré de ses
expériences. Cette doctrine que l’on pourrait traduire par un refus
de l’école, navigue forcément en eaux troubles vis-à-vis
de la législation belge selon laquelle, l’école n’est pas
obligatoire mais l’instruction, elle, l’est bel et bien.
Pour
de multiples raisons, les parents belges laissent de plus en plus tomber
le cartable pour des alternatives éducatives...
- Voici
quelques années, on parlait de dix mille jeunes
qui échappaient à l’obligation scolaire.
À la suite de la mise en oeuvre des procédures de contrôle,
le nombre de ces dossiers a diminué. L’année dernière,
vous précisiez qu’en région bruxelloise, plus de six cents
dossiers avaient été transmis au Parquet de Bruxelles, mais
que celui-ci avait refusé de les prendre en charge. Selon le ministre
de la Justice, ces dossiers avaient été transmis au parquet
de la jeunesse afin que des mesures soient éventuellement prises.
Il soulignait toutefois : « Le Parquet ne peut légalement
saisir le tribunal de la jeunesse que si les conditions légales
sont réunies, à savoir que la santé ou la sécurité
d’un jeune est actuellement et gravement comprise ou que le mineur se trouve
dans une situation pédagogique problématique et que l’aide
volontaire n’a pu être mise en place ». Le ministre ajoutait
: « Les Parquets reçoivent encore souvent des dossiers relatifs
à des mineurs en décrochage scolaire, alors que les services
d’aide à la jeunesse des communautés n’ont pas été
saisis, ce qui met donc
légalement les Parquets dans l’impossibilité d’agir ».
le Service de la direction générale de l’enseignement obligatoire a répertorié 597 mineurs d’âge scolarisés à domicile, contre 527 l’année précédente. La population scolaire totale s’élève
en Communauté française à 986.959
élèves
|
-
28
09 10 : 527
mineurs ont été déclarés scolarisés
à la maison
(sur
les 650 000 inscrits dans l’enseignement primaire et secondaire en Communauté
française).
"...Le
service de la Direction générale de l’enseignement obligatoire
chargé de recevoir les déclarations d’enseignement à
domicile et de mettre en oeuvre le contrôle de l’inscription scolaire,
dispose des chiffres suivants, qui concernent l’année scolaire 2009-2010
: 527 mineurs ont été déclarés scolarisés
à la maison, sans autre précision quant à la méthode
utilisée, et 698 mineurs ont été scolarisés
dans une école privée, sans reconnaissance sur la base de
l’article 3 du décret du 25 avril 2008 fixant les conditions pour
pouvoir satisfaire à l’obligation scolaire en dehors de l’enseignement
organisé ou subventionné par la Communauté française./.../"
[ Question de Mme Anne
Barzin à Mme Marie-Dominique Simonet, ministre de l’Enseignement
obligatoire et de promotion sociale,
intitulée«
Résultats de l’enseignement à domicile » - pdf]
-
22 04 08 : L'Instruction en Famille de nouveau réglementée
:
Le
décret prévoit que l'enseignement en question ne doit pas
être incompatible avec les valeurs de notre société.
Le
ministre de l'Enseignement obligatoire Christian Dupont a assuré
le député
Ecolo qu'il lancerait une étude "afin
de mieux connaître le phénomène".
Il
espère toutefois qu'on ne lui reprochera pas de faire intrusion
dans la vie privée des gens...
Décret
fixant les conditions pour pouvoir satisfaire à l'obligation scolaire
en dehors de l'enseignement organisé ou subventionné par
la Communauté française ("Moniteur
belge" - 12 juin 2008)
France
- CHÈQUE-ÉDUCATION
?
Dans
le "privé", on a aussi son réseau d’écoles convenables,
mais pas toutes sous contrat d’association,
ce qui occasionne des frais.
Pour
réparer cette entrave faite au « libre choix », et à
l’égalité, des familles, on y promeut, encore assez mollement
en France, le chèque-éducation.
Le
tableau récapitulatif des propositions pré-électorales
2002 n’était pas très encombré par le chapitre sur
l’éducation ;
on
y notait toutefois la présence du chèque-éducation
dans trois cases : celle du F.N.,
du M.P.F.
et du CNI/CNIP.
LES CHÈQUES ÉDUCATION
: L'ÉCHEC !
USA 2008 : "dans
le Milwaukee, il n'y a pas eu de miracle" (Sol Stern).
L'un des plus fervents promoteurs du
chèque-éducation
aux USA, Sol Stern, vient de faire brusquement volte-face
en affirmant, constats à l'appui,
que le voucher n’avait pas du tout amélioré le système
public.
Depuis une bonne vingtaine
d'années, le "chèque éducation" (ou "bon
scolaire") - en anglais "voucher" -
fait partie d'un blabla
yakaiste au sujet des indispensables réformes, "simples, urgentes
et radicales", du système scolaire.
Après avoir depuis
longtemps réclamé, soutenu et contribué au développement
des vouchers et des charter schools,
Sol Stern pointe les défauts
et les insuffisances du voucher. Il cite, entre autres, l’expérimentation
de Milwaukee,
première ville aux
États-Unis à adopter, en 1990, un programme chèque
éducation.
Californie
- 28 02 08 : Une
décision de justice rappelle les limites du droit au "homeschooling"
Toutes
les ligues conservatrices sont sur le pied de guerre.
Et
Arnold Schwarzenegger les a aussitôt assurées de son soutien...
Angleterre
- 19-01-2009 - "We believe the existing legislation and guidance
on elective home education is outdated."
Estimant "dépassée"
la législation sur le homeschooling,
le
gouvernement anglais décide un réexamen de la situation et
le renforcement des contrôles.
voix
discordante ...
M. Huygens déclare
que le projet de décret appelle de sa formation politique
Premièrement, il constate que ce projet de décret semble rédigé sans aucune consultation des personnes concernées, ce qui est contraire aux principes de la démocratie belge qui est basée sur la concertation et le dialogue. Il aurait été préférable, avant toute chose, de se renseigner auprès des élèves qui suivent une telle formation ainsi que leurs parents. Ce texte lui paraît dès lors fort «déconnecté» de la réalité. Deuxièmement, il ne reconnaît pas clairement la spécificité de l’enseignement à domicile, qui diffère par nature de l’enseignement en collectivité puisqu’il porte sur l’instruction d’un nombre très restreint d’enfants et permet donc d’adapter le rythme et la pédagogie en fonction de l’enfant. Troisièmement, le projet de décret ne porte principalement que sur l’aspect des contrôles et des sanctions. Quatrièmement, le projet de décret semble partir de l’hypothèse que seule la Communauté française est à même de délivrer un enseignement de qualité, ce qui est pour le moins discutable au vu des résultats dans l’étude PISA. Cinquièmement, il ne fait aucune distinction entre les familles qui désirent une certification de la Communauté française et celles qui ne la désirent pas. Les enfants de parents étrangers qui résident momentanément en Belgique sont donc obligés d’abandonner le cursus d’études de leur pays, ce qui leur causera de grands problèmes quand ils rentreront chez eux. De plus, l’obligation d’instruire un enfant ne signifie pas l’obligation d’obtention d’un diplôme belge ou même étranger. Sixièmement, les contrôleurs du Service général de l’Inspection ignorent toutes les spécificités de l’enseignement à domicile et ne sont donc pas à même de le contrôler. Septièmement, le projet
de décret consacre plusieurs discriminations entre enfants scolarisés
et ceux qui sont instruits à domicile. Ainsi, un enfant scolarisé
peut échouer et ce autant de fois qu’il se peut. Il n’y a aucune
sanction à son égard. L’enfant instruit à domicile
ne peut se permettre aucun échec sous peine de se voir sanctionné
par le changement de système éducatif (réintégration
forcée de la filière scolaire). Autre discrimination : l’enfant
scolarisé, si ses parents en ont les moyens financiers, peut s’inscrire
dans une école de droit étranger ou dépendant de la
Communauté flamande, sise en Belgique. L’enfant instruit à
domicile ne peut prétendre qu’au système de la Communauté
française. Discrimination financière enfin en ce que l’enfant
inscrit dans une école de la Communauté
Huitièmement, ce décret laisse les familles totalement vulnérables à l’arbitraire du Service d’Inspection puisque aucun recours indépendant n’est prévu en cas de litige sur une décision de l’inspection. Neuvièmement, ce projet va à l’encontre de la liberté de l’enseignement pourtant garantie par l’article 24 §1 de la Constitution. En effet, il prive les parents du choix des matières enseignées, de la détermination du niveau à atteindre par l’enfant et enfin du choix de la langue de l’enseignement. En ce qui concerne la méthode pédagogique utilisée, elle dépendra de l’approbation du Service d’Inspection. Tout ceci est en flagrante contradiction avec l’article 24 §1 de notre Constitution et notamment l’interprétation qu’en a déjà donné la Cour constitutionnelle. Dixièmement, ce texte
doit seulement déterminer les conditions auxquelles il peut être
satisfait à l’obligation scolaire par la dispensation d’un enseignement
à domicile. Il va en fait bien au-delà en organisant et reconnaissant
cet enseignement.
M. Borsus relève que le Conseil d’Etat a pris une décision sur l’arrêté au printemps 2006. Il demande ce qui justifie ce laps de temps pour que le projet de décret soit enfin déposé. Il demande si M. le ministre Dupont a une idée de l’évolution du nombre d’enfants concerné par l’enseignement dispensé à domicile ainsi qu’une photographie de cette forme d’enseignement. Il demande également si des contacts ont été organisés avec les personnes concernées par l’enseignement dispensé à domicile. M. le ministre Dupont répond qu’il y a 944 élèves sur 687.000 (enseignement primaire et secondaire ordinaire) qui sont inscrits dans l’enseignement dispensé à domicile ou dans une école privée, c’est-à-dire 0.13% de la population scolaire. /.../ ---- L'idéologie nazie reste une référence au FN les mensonges et l'exaltation religieuse, le système politique du président américain est en faillite. un désastre PLUS
DE PRISONNIERS AUX ETATS UNIS QU'EN CHINE Plus d'un adulte
sur 100 (2,3 millions de personnes) derrière
les barreaux aux Etats-Unis.
45
millions de personnes sans système de santé
Près de 36 millions d'Américains vivent sous le seuil de pauvreté Le
système de santé américain est le plus onéreux
parmi les pays industrialisés
Les
inégalités s'accroissent aux Etats-Unis
Les bourses accordées aux étudiants pauvres couvraient 70% du coût des études dans les années 90 contre la moitié aujourd’hui. L’étude souligne l’importante inégalité entre riches et pauvres en matière d’éducation supérieure.
Les
créationnistes jouent sur du velours.
États-Unis
: L’abstinence sexuelle renforcée
Des
aberrations scientifiques pour mieux prêcher la chasteté
Quelque 6000 étudiants
sont attendus sur le
campus "sans péché" (l’Ave Maria University),
« Les croisés américains du Home Schooling » Plus de téléviseurs que de personnes dans les foyers américains Expulsion
de missionnaires évangéliques américains du mouvement
"Nouvelles tribus"
A
Montreuil,
"Le
racisme aux Etats-Unis est un monstre tapi"FF
21
meurtres d'élèves dans les écoles américaines
en 2004/2005
USA : Le Congrès pour les fouilles corporelles dans les écoles CE
VENT PUNITIF QUI VIENT D'AMÉRIQUE
|
L'enseignement
à domicile ne doit pas être
incompatible avec les valeurs de notre société.
d'après Belga - 22/04/08 18h46 - Le projet de décret qui doit mettre fin à deux ans d'absence de contrôle sur l'enseignement donné à domicile par les parents et dans les écoles privées a été adopté mardi 22 avril 2008 au parlement de la Communauté française par la majorité PS-cdH, appuyée par le MR. Le projet de décret (22 février 2008) Les amendements (9 avril 2008) Le Rapport de commission de l'Education (9 avril 2008) Discussion et vote au Parlement (22 avril 2008) Le texte a été déposé le 22 février par l'ancienne ministre de l'Enseignement obligatoire Marie Arena, afin de mettre fin à un vide juridique, le Conseil d'Etat ayant annulé en mai 2006, pour des raisons juridiques, l'arrêté fixant les conditions d'obligation scolaire pour l'enseignement à domicile. Tous les intervenants - même s'ils ne partagent pas l'idée d'un enseignement à domicile - ont dit respecter ce choix fait par certains parents. Dès lors, il s'impose d'encadrer cet enseignement. La seule voix discordante est venue d'Ecolo. Si Yves Reinkin a confirmé qu'il fallait respecter le choix de cet enseignement à domicile, ou privé, il est d'avis qu'il fallait mieux connaître le phénomène avant de légiférer et qu'une étude préalable s'imposait. "Ce décret est bâti sur le sable et rien n'a été fait pendant les deux années de vide juridique", a-t-il regretté. Il a a encore justifié l'abstention de son groupe par le flou entourant les références du texte aux socles de compétence lorsqu'il s'agit d'évaluer le niveau des élèves à domicile. Le ministre de l'Enseignement obligatoire Chritian Dupont a assuré le député Ecolo qu'il lancerait une telle étude. Il espère toutefois qu'on ne lui reprochera pas de faire intrusion dans la vie privée des gens. Auteur d'un amendement adopté en Commission, Marcel Neven (MR) en a rappelé la teneur : il s'agit d'éviter que l'enseignement à domicile suive une éventuelle dérive religieuse intégriste. Le texte prévoit donc que l'enseignement en question ne doit pas être incompatible avec les valeurs de notre société. [Article 11
L'enseignement à domicile concerne en Communauté française 944 enfants, dont 501 éduqués en famille et 443 en écoles privées. Début mars, une association de familles instruisant leurs enfants à domicile s'est créée pour combattre le décret. Pour "Apprendre en famille", ce projet de décret rend tout projet éducatif familial impossible et nie la liberté de l'enseignement en imposant un contenu pour les matières, un rythme à respecter et un contrôle de la pédagogie utilisée. L'association
affirmait en outre qu'il met les familles en position vulnérable
par rapport à ce qu'elle considère comme "l'arbitraire
des contrôles organisés" et qu'il ne permet aucun recours
indépendant contre les décisions de l'administration.
Le Parlement de la Communauté française de Belgique (Communauté Wallonie-Bruxelles ) comprend 94 membres (75 du Parlement wallon + 19 élus francophones du Parlement de la région de Bruxelles-Capitale). Composition
pour la législature 2004-2009 :
[MR : premier parti politique (centre-Droit) de Wallonie
et de Bruxelles.
Le flou plane pour 6.000 élèves bruxellois Belga - 09/04/2008
Il ressort de ce travail qu'environ 140.000 élèves en âge scolaire résident actuellement en Région Bruxelloise, dont 126.000 sont inscrits dans un établissement reconnu, financé ou subsidié par l'une des deux Communautés. Quelque 8.000 autres semblent satisfaire à l'obligation scolaire d'une autre manière (enseignement à domicile, dans une école privée, à l'étranger), ou ont été exemptés - temporairement ou non - de cette obligation. Cela signifie donc que l'incertitude plane sur le cas des 6.000 jeunes restants. "Nombre d'entre eux sont probablement en ordre, mais ce n'est pas établi, notamment en raison d'erreurs dans les données", explique Frank Vandenbroucke. C'est pourquoi ces données sont actuellement peaufinées. "Le but est d'arriver, pour l'année scolaire prochaine, à un contrôle concluant. A partir de là, il sera possible de signaler aux parents en défaut l'obligation scolaire de leur enfant et, le cas échéant, les sanctionner", a précisé le ministre. Frank Vandenbroucke a qualifié d'"ancienne blessure" le contrôle
de l'obligation scolaire à Bruxelles. "Personne n'en a une vision
globale", a-t-il déploré.
"working poors" : en Belgique, aussi POUVOIR D'ACHAT Quand travailler ne suffit plus 20% des travailleurs sont pauvres . Bosser à deux ne garantit plus un pouvoir d'achat suffisant. Une étude inquiétante de la FGTB. On les appelle «les travailleurs pauvres». Selon une enquête menée par la FGTB avec Dedicated Research, ils seraient aujourd'hui près de 2 sur 10 à ne pas pouvoir joindre les deux bouts en fin de mois malgré un travail à temps plein. Preuve que ceux qui crient à une inquiétante baisse du pouvoir d'achat ne sont pas des affabulateurs alarmistes comme certains le laissent entendre. «Les revenus de cette catégorie de travailleurs sont si peu élevés qu'ils ne leur permettent même plus de couvrir les dépenses en loisirs, de partir en vacances ne fût-ce qu'une fois ou même d'envisager d'acheter un logement» explique Anne Demelenne, la patronne de la FGTB. «Beaucoup ont également du mal à assumer les dépenses liées à l'éducation des enfants». Le phénomène des «travailleurs pauvres» est particulièrement développé dans le secteur non-marchand et dans les organismes publics, surtout chez les jeunes et les personnes de plus de 50 ans dont une sur deux ne parvient plus à économiser le moindre euro. Inquiétant quand on sait pourtant combien le Belge a l'épargne chevillée au corps. Résultat: près de la moitié des personnes actives
jugent que leur pouvoir d'achat à réellement baissé
et la même proportion se dit dans la dèche. Situation d'autant
plus angoissante que pour la majorité des travailleurs, les revenus
du travail sont les seuls du ménage. Et encore. Aujourd'hui, un
seul salaire s'avère insuffisant. «Dire que l'épargne
ou l'aide des parents vient en appoint des salaires et une vue de l'esprit»
juge encore Anne Demelenne. Elle insiste également sur le fait que
pour beaucoup de ménages, travailler à deux garantit à
peine de dépasser le seuil de pauvreté fixé à
1600euros pour une famille de deux adultes et deux enfants!
Alors que faire pour s'en sortir? Travailler pluspour gagner plus? Selon la FGTB, c'est bernique! «Même avec les heures sup', le pouvoir d'achat n'augmente pas. Travailler plus n'est pas un choix personnel pour gagner plus. C'est souvent une contrainte imposée, soit parce qu'on se sent obligé d'assumer son travail et de faire avancer ses dossiers, soit parce que la direction l'exige. Et souvent, les heures supplémentaires ne sont ni récupérées, ni payées!» Et Anne Demelenne de renchérir: «Qu'on arrête de dire que la perte du pouvoir d'achat n'est pas objective. On le voit clairement: l'inflation de 4,4% par an a des conséquences». Et sans mesures rapides telles que l'augmentation du salaire brut, la liaison des allocations sociales au bien-être, le blocage des loyers ou encore la baisse de la TVA sur le gaz, l'électricité et le mazout, la situation risque encore de s'empirer, conclut la FGTB. Martial DUMONT
|
L'APPEL
pour
des établissements scolaires innovants coopératifs.
| Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? Chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville
|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !
| L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |
| Appel
pour des éts innovants et coopératifs |