I Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
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L'heure
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pour des éts innovants et coopératifs |
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Obligation
scolaire et liberté I | Une
école différente ? Pour une société
différente
? Qui n'en veut ?! I
Quelques
autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité
:
les rapports
parents-profs, la maternelle
à 2 ans, l'ennui
à l'école, les punitions
collectives, le téléphone
portable,
l'état des
toilettes,
le créationnisme...
D.E.C.L.I.C.
93, 91, 38, national, cosmique ...
RECIT
d'une mystification "citoyenne" :
un DECLIC dans
l'Education Nationale ?!
Le «libéral
libertaire» Gabriel Cohn-Bendit s'est amusé ensuite «à
prendre à rebrousse-poil» son auditoire,
même s'il est pour
le libre choix et
partage nombre de positions d'Alain Madelin.
"à
propos de collège ... où en sont les projets de création
de collèges et lycées "expérimentaux"
(publics)?"
Rentrée 2008 : Nouvelle
rustine sur une bouée, une baudruche, ou un canot de sauvetage
?
Peut-être, tout simplement,
pour ceux n'ayant pu bénéficier d'un charter vers l'Afrique,
trois ou quatre "charter
schools" made in france ?
![]() "Initiales"
"Initiatives Educatives", Vitruve, 16 juin 1996 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() 2000
Le ministre veut faire avancer les partisans
de l'innovation pédagogique
Par E. Davidenkoff
Samedi, 14 heures. 300 enseignants convergent vers la Sorbonne
pour assister au " Colloque sur l'avenir des disciplines littéraires
dans l'enseignement secondaire et supérieur ". Ils s'apprêtent
à entendre de vibrants appels à " l'insurrection de l'intelligence
" pour " sauver les Lettres " et, plus généralement, " l'école
républicaine ".
Libération - lundi 8 mai 2000 Même heure, à dix minutes de là, un déjeuner de travail bat son plein dans les salons du ministère de l'Education nationale. Jack Lang et sa garde rapprochée, entourés par les leaders les plus en vue de la réforme pédagogique, espèrent définir une méthode pour " innover ", comme le nouveau ministre l'a promis le 27 avril en présentant sa réforme des lycées. Mais sans fâcher les premiers, les défenseurs des " savoirs " - comprendre ceux qui soupçonnent le ministère de vouloir supprimer le latin, le grec et la dissertation. Jack Lang aura fort à faire car ce ne sont pas seulement deux positions qui s'affrontent mais deux univers, parfaitement étanches. Aux costumes-cravates réunis sous les ors du grand amphithéâtre de la Sorbonne répondent les ensembles sportswear des tenants de la réforme, qui s'étaient réunis il y a quinze jours à l'initiative de l'association Déclic, à Montreuil (Seine Saint-Denis), dans une salle municipale à la peinture craquelée. On ne faisait pas signer de pétition intitulée " L'enseignement du français ne sera pas détruit " ni d'" Adresse au Parlement " pour " réinstituer l'école publique ". Mais on diffusait le bulletin d'adhésion à Déclic, qui réclame depuis plusieurs années la création d'un collège-lycée expérimental en Seine-Saint-Denis. Seul point commun : une propension à appeler Victor Hugo en renfort. Mais la Sorbonne reprend un passage affirmant que " le collège crée pour [les écoliers] quelque chose de plus encore et de plus fécond que l'égalité devant la loi, l'égalité devant la pensée ". Alors que Montreuil s'amuse d'un poème où Hugo traite de " cuistres " et de " dogues " les " marchands de grec ". Par E.DF
" Je ne prétends détenir aucune vérité
; je suis là pour entendre les propositions. " Les timides applaudissements
qui ponctuent la fin du discours d'Alain Viala sont vite couverts par les
huées. Depuis quatre heures, les 300 participants du " Colloque
sur l'avenir des disciplines littéraires dans l'enseignement secondaire
et supérieur " ont été chauffés à blanc.
Douze universitaires (1) et deux enseignantes de lycée se sont succédé
sur l'estrade pour appeler au combat contre " l'allégrisme sans
Allègre ". Tous ont dénoncé une politique incarnée,
à leurs yeux, par Alain Viala. Président du groupe technique
disciplinaire lettres au ministère de l'Education (chargé
de préparer les programmes), ce professeur d'université est
soupçonné de vouloir " supprimer la dissertation " et, en
général, d'" assassiner la littérature " (2).
Ce qui inquiète les littéraires, c'est que " sous couvert de démocratiser, l'école accroît les inégalités ". Pour les réduire, il faut " rendre sa place à la littérature " et, pour commencer, réhabiliter la dictée : " Plus elle raccourcit, plus la littérature se réduit. " Certains ont même " entendu des amis qui enseignent en zone d'éducation prioritaire " leur expliquer qu'un cours sur la littérature du XVIe siècle avait été " le seul moment de tranquillité obtenu en classe ". Cela, le ministère Allègre mais aussi les précédents ne le comprennent pas. Ils promeuvent une " cul-culture " faite de " zapping " qui affole les élèves, victimes de programmes " démesurément ambitieux " et de sujets d'examens indigents ("Convainquez votre mère d'acheter un portable "). Résultat, entre " la biographie de Zidane et Racine ", leur choix est fait : ce sera Zidane. L'ennemi ? " Les palpitations émotives de l'audiovisuel " et la " mauvaise situation " dont héritent les enseignants du secondaire et du supérieur ("le problème, c'est l'école élémentaire, voire la maternelle "). Mais surtout les " papes du pédagogisme " - également baptisés " gardes rouges de la cul-culture " -, au premier rangs desquels la principale de collège Marie-Danièle Pierrelée (sifflets) et Philippe Meirieu (sifflets), directeur de l'Institut national de recherche pédagogique, qui veulent transformer " un vieux métier humaniste en nouveau métier humanitaire ". Et qui diffusent un " dogme du plaisir " qui annihile " le sens de l'effort ". Or " la lecture a toujours été un peu ennuyeuse " ; malheureusement, " aujourd'hui, on n'a plus le droit de s'ennuyer ". Mais " le cadavre [de la littérature] bouge encore ", elle qui " permet de vivre mieux chaque instant dans ce monde " (applaudissements). Les discours ont été ponctués d'appels à " l'insurrection de l'intelligence " et à la " résistance individuelle des enseignants " car la " défaite de la pensée " n'est pas consommée même s'il " reste beaucoup de monde à convaincre " pour contrecarrer " l'agonie en cours ". (1) Parmi lesquels Régis Debray, Alain Finkielkraut,
Michel Jarrety et Danièle Sallenave.
De nouveaux lycées expérimentaux créés. Par E.DF
" Le ministre a été clair : pas question de
lancer quelques initiatives pour se donner bonne conscience. "
Un participant au déjeuner Dans une semaine au plus, Jack Lang annoncera quelle forme il compte donner à sa " volonté plus forte que jamais d'encourager l'innovation pédagogique ", selon les termes employés le 27 avril lors de sa conférence de presse sur la réforme des lycées. Il en a tracé les contours samedi, lors d'un déjeuner de travail stratégique réunissant une quinzaine de convives : membres de son cabinet, directeurs d'administration et leaders de la " réforme pédagogique ". Premier acte : dès la rentrée, Jack Lang devrait créer " quatre, cinq ou six " établissements expérimentaux et lancer un état des lieux des expériences existantes. Parmi les projets qui pourraient voir le jour, le collège-lycée de l'association Déclic, en Seine Saint-Denis, inspiré de la pédagogie Freinet. Marie-Danièle Pierrelée, principale de collège, créatrice de l'Auto-Ecole de Saint-Denis, pourrait également créer un collège du côté du Mans. Des projets lancés à Grenoble, à Nantes et dans le Cantal seraient également dans les tuyaux. Jack Lang veut ainsi marquer de manière très visible sa volonté d'innover. " Il veut donner des signes ", résume un des convives. Mais aussi fédérer les partisans de ces réformes, que Claude Allègre " avait neutralisés en mettant les opposants dans la rue ". Deuxième acte : l'installation d'une structure destinée à coordonner, impulser et évaluer les initiatives, dans l'ensemble des établissements. Un point particulièrement délicat, car Jack Lang souhaite " ne pas réveiller les conservatismes ". Or, parmi les prétendants naturels à la direction de cette structure, figurent des personnalités très exposées comme Gabriel Cohn-Bendit, créateur du lycée expérimental de Saint-Nazaire en 1981, ou Philippe Meirieu, directeur de l'Institut national de la recherche pédagogique (INRP), à qui Claude Allègre avait confié la préparation de sa réforme des lycées. Ils étaient tous deux présents lors du déjeuner de samedi, mais Jack Lang choisira probablement de confier la responsabilité de l'innovation à un haut fonctionnaire - on cite le nom d'un autre convive, Jean-Marc Monteil, recteur de l'académie de Bordeaux, ancien vice-président de la conférence des présidents d'université, auteur d'un rapport sur " l'évaluation des enseignants ". Cette structure pourrait par ailleurs être intégrée au ministère, afin de souligner l'implication de l'Etat dans la politique d'innovation. " Le ministre a été clair : pas question de lancer quelques initiatives pour se donner bonne conscience ", rapporte un participant du déjeuner. Mais cette mission d'innovation relève aussi de l'INRP, dont le directeur, Philippe Meirieu, n'a jamais caché les prétentions dans ce domaine. Il en a même fait le " levier " de la réforme de cet institut dont l'Inspection générale de l'administration de l'Education nationale demandait en juillet 1999 dans un rapport critique - et critiqué - " quelle contribution effective il apporte à la modernisation du système éducatif ". D'un mot : le " camp " des partisans de l'innovation, contrairement à celui de ses opposants, est parcouru par des lignes de fracture qui pourraient faire des dégâts. Le 25 avril, lors d'une réunion de l'association Déclic à Montreuil (Seine Saint-Denis), Gabriel Cohn-Bendit avait d'ailleurs stigmatisé l'incapacité de ses amis à faire cause commune : " Il ne suffit pas de désigner les méchants. On a laissé la rue aux conservateurs ". (3) Cf. les Cahiers pédagogiques.
Le tir groupé des «pédagos» Les réseaux pédagogiques alternatifs se réunissent dimanche. E. Davidenkoff - Libération
«Pendant seize ans, j'ai travaillé dans l'isolement. J'ai
perdu du temps à convaincre, seul contre le système.»
Jean-Luc Muracciole, professeur
Les «pédagos» s'adorent. A les écouter, les uns seraient «des vieux staliniens», les autres «des pédagogues bêlants». Mais, promis juré, ils tairont ce genre d'amabilités pour se retrouver tous à la Bourse du travail de Montreuil (Seine-Saint-Denis) dimanche, à l'instigation de l'Institut coopératif de l'école moderne (Icem) - appellation officielle du mouvement Freinet, un des plus importants réseaux pédagogiques alternatifs. Objectif: «travailler à l'émergence d'équipes» susceptibles de faire vivre les projets que Jack Lang affirme vouloir favoriser. Les «freinétiques», comme ils se baptisent, ont donc appelé les autres mouvements (1) mais aussi les «porteurs de projets» non encartés à se réunir. On parle d'élaborer une plate-forme commune, de partager les expériences. Tout en avouant ne pas trop savoir comment structurer les bonnes volontés jusque-là éparses - «on avisera sur place» indiquait, en guise de méthodologie, Jean-Marie Fouquer, le président de l'Icem. Prudence diplomatique, mais nécessaire, car les innovateurs reviennent de loin. A l'orée de l'été, ils sont groggy. Alliés naturels de Claude Allègre, ils ont été persona non grata pendant trois ans au ministère et ont fini par se ranger dans le camp de ses détracteurs, incapables de juguler la montée de la grogne enseignante jusque dans leurs propres rangs. Jack Lang arrive, mais refuse de jeter la pierre aux adversaires des pédagos, ceux qui ont obtenu le départ de Claude Allègre et de Philippe Meirieu. Ce dernier démissionne de la direction de l'Institut national de recherche pédagogique (INRP) fin mai, lorsqu'il apprend que le nouveau ministre va créer un Conseil de l'innovation au sein du ministère (2). Projets enterrés. Cette décision sonne en effet le glas de la Charte de l'école du XXIe siècle, vaste projet consistant à recenser et à encourager des initiatives innovantes dans le primaire. Deux mille établissements s'étaient engagés dans cette démarche. La réforme du collège est ajournée; celle du lycée passe, au prix de quelques concessions aux syndicats; on attendra janvier 2001 pour reparler formation des enseignants. Pas de quoi pavoiser. Pourtant, Jack Lang continue à marteler qu'il veut innover. Quelques figures des pédagogies alternatives montent au créneau. La principale de collège Marie-Danielle Pierrelée lance un manifeste. L'inventeur du lycée expérimental de Saint-Nazaire, Gaby Cohn-Bendit, se démultiplie dans les réunions publiques et dans les journaux. En Seine-Saint-Denis, Déclic est relancé - il s'agit d'un ancien projet serpent de mer de collège-lycée expérimental. Fin août, le congrès des Freinet bat des records d'affluence, en dépit des vives tensions internes. Surtout, les projets affluent sur le bureau d'Anne-Marie Vaillé, dès que sa nomination à la tête du Conseil de l'innovation est officialisée. La réunion de dimanche vient en point d'orgue de cette lente montée du désir de changement. Prudence. Mais ce qui pourrait en sortir contraste fortement avec l'espoir d'une nouvelle révolution pédagogique. Interrogés sur la nature du consensus qui pourrait émerger, la plupart des acteurs, à l'instar de Marie-Danielle Pierrelée, s'en tiennent à la nécessité de «sortir du "chacun dans son coin"». Plus politique, Gaby Cohn-Bendit évoque la nécessité de «donner une base» au Conseil de l'innovation. Quant aux «non encartés», ils se reconnaîtront dans le témoignage de Jean-Luc Muracciole, professeur à l'initiative du projet Clivage, à Reims (Marne): «Pendant seize ans, j'ai travaillé dans l'isolement. J'ai perdu beaucoup de temps et d'énergie à expliquer, à convaincre, seul contre le système. C'est quand même bien, quand on n'a plus le moral, d'entendre quelqu'un vous dire "j'ai vécu ça, moi aussi"». Reste donc à «s'unir sans perdre son identité», comme le propose Christian Lego, de l'Icem. On est loin des tentatives de généralisation de l'innovation menées ces dernières années, notamment sous l'impulsion de Philippe Meirieu. Ce dernier reposait les termes du débat en septembre (3): «Il est impossible d'opposer des "innovateurs" et des "conservateurs". Le clivage n'est pas là. [Il] est entre ceux qui acceptent de faire de l'exclusion la solution première et immédiate pour résoudre les problèmes des enseignants, du système scolaire et de la société tout entière... et ceux qui refusent cette option.» En d'autres termes, le débat est éminemment politique. En le ramenant sur le terrain pédagogique, les innovateurs pourraient permettre à Lang de ne pas prendre des positions trop tranchées sur ce terrain glissant. Un cadeau inespéré: il est plus simple de créer quelques collèges expérimentaux pour élèves en grande difficulté que d'assumer l'incapacité chronique du collège à démocratiser l'accès au savoir. (1) Association française pour la lecture, Cemea-secteur enseignement, Crap-Cahiers pédagogiques, Déclic, Appel Gabriel Cohn-Bendit, Manifeste de Marie-Danielle Pierrelée, Gfen, etc. (2) L'arrêté portant création de ce Conseil national pour l'innovation et la réussite scolaire a été signé vendredi. |
Préhistoire ... sans remonter à Néandertal : 1982 : les quatre "lycées "expérimentaux" 1992 : l'ouverture de "l'auto-école" (M.D. Pierrelée), 1996 : - 27/02/96 : l'appel à "volontaires" de Gaby Cohn-Bendit dans Libération 1° "A.G." de "Initiatives Educatives" à Vitruve, le 16 juin 1996 - 16 mai 1996 : création, suite à cet "appel", de l'association;. "Initiatives Educatives" à l'école Vitruve (Paris - 20°), 1997 : le "projet D.E.C.L.I.C. 93" (1997-1998) mort-né, (une espèce de SEGPA, dans une ancienne gendarmerie dont il fallait au préalable déloger "Banlieue Bleue", et en annexe du collège De Geyter à Saint-Denis. Qui n'en voulait pas. Pour s'échouer - enfin ! - N'Importe-Où, pour y faire N'Importe Quoi, en novembre 2002. Le soutien des nombreux parents ("Initiative Citoyenne" !) de
Montreuil-Bagnolet
2000
mars : le retour de Lang à l'E.N. (mars 2000) ... suite au départ de Allègre août : en annexe/couloirs & coulisses du congrès Freinet, août 2000, à Rennes : le 1° octobre 2000 : Grand Conclave
à Montreuil, (cf annonce colonne de gauche)
L'<<innovation>> devenant un concept furieusement tendance,
Initiative conjointe de la Ligue de l'enseignement et de l'association "Pour l'école"(*), les prix de l'innovation éducative sont destinés à distinguer et à valoriser des actions innovantes dans les domaines pédagogique et éducatif conduites par des équipes d'écoles ou de groupes d'écoles du premier degré et des équipes d'établissements ou de groupes d'établissements du second degré de l'enseignement public ou de l'enseignement privé sous contrat d'association (enseignement général, technologique et professionnel). [ (*) Suite au Rapport de la commission présidée
par Roger Fauroux.
ET ... le 10 octobre 2000, suite à la création du C.N.I.R.S. [ Création du Conseil National de l'Innovation pour la Réussite Scolaire. A. du 4-10-2000. JO du 17-10-2000 (NOR : MENE0002537A) http://www.education.gouv.fr/bo/2000/39/default.htm ] Naissance de la Liste
![]() En Page d'Accueil : <<Débats sur les projets d'innovation dans l'Education Nationale Abonnés : 156
Propriétaires Bernard Monthubert ,Marc Quendez, Xavier Gaillon Cette liste concerne tous ceux (enseignants, parents élèves,
militants associatifs...) qui désirent échanger sur les projets
d'innovation au sein de l'éducation nationale.
Cette liste doit permettre également à ses participants de se connaître, de se regrouper par région, par type de projet... et de rejoindre des équipes existantes. L'abonnement à cette liste permet d'utiliser un espace d'échanges de documents, relatifs aux projets d'innovation >> Extrait de la page :
Gabriel Cohn-Bendit, membre du Conseil national de l'innovation
qui démarre ses travaux:
Extrait :
7 MOIS plus tard, 15 juin 2001 :
13 MOIS plus tard, Marly le 4 janvier 2002, L'ICEM-Freinet propose à signature un pour une transformation du service public d'éducation"
- réintitulé une première fois "appel pour des établissements innovants & coopératifs" 15 MOIS plus tard, (à l'INRP, le mardi 26 mars 2002) "Le Conseil National de l'Innovation pour la Réussite Scolaire a estimé devoir présenter ce rapport "d'étape" maintenant afin de mettre en évidence, à mi-parcours de l’année scolaire comme de son mandat de trois ans ..."
20 MOIS plus tard, 19 juillet 2002 : "Monsieur le ministre, /.../ Entre le libéral-libertaire
que je suis, et le libéral-centriste que vous êtes,
Le Conseil de l'innovation ne disparaîtra
pas.
Notre rôle sera de résister
et de préparer l'alternance,
Veuillez agréer, Monsieur le ministre..." (lettre
ouverte de Gabriel Cohn-Bendit,
28 MOIS plus TARD : (prochainement sur cet écran : le
feuilleton Historique :
53 MOIS plus tard, 05 mars 2005 : - l'intitulé et la présentation
de cette liste (cf plus haut) sont-ils toujours d'actualité
?
- depuis la fin du cnirs, qu'en est-il des "réunions des membres du conseil - s'il le faut (!) - de manière entièrement militante, rassemblant autour d'eux tous ceux qui veulent... etc" (cf plus haut) [ Pour mémoire, et sous réserve
d'erreur ou d'omission,
Les Non démissionnaires, démissionnés
quand même :
Honorables membres, dont, démissionnaires,
ou pas,
A supposer que les 46 "en erreur"
ne soient coupés de la liste que pour motifs techniques,
Il serait tout-à-fait intéressant,
Roger Auffrand
Pièce, parmi beaucoup d'autres, du Bêtisier-Mausolée en construction : Conseil national de l’innovation pour la
réussite scolaire
Rapport "d'étape" disponible ICI. "Initiatives éducatives" (1996)... "Volontaires pour travailler autrement
à l'école",
Extrait, pour l'Histoire, et ses agités "historiens-histrions" : "Travailler autrement, c'est renoncer
aux méthodes habituelles,
En archives : le texte intégral, ainsi que le compte-rendu des deux réunions tenues dans la foulée à Vitruve, pour "lancer" - hop ! - l'association "Initiatives éducatives", avec la liste et les photos des participants. Comme j'ai eu l'occasion de l'écrire
ici et dans le guide-annuaire,
Entre-temps, M. Bayrou avait bien reçu
une délégation, leur disant à peu près : "Supposez
que je vous dise "Chiche!".
- Affaire conclue -.(page "historique" en cours d'élaboration) : A suivre ..
- Depuis quand
cette liste existe-t-elle ?
- "innovation",
quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon
?
- Quel est son
"objet" ?
- Oui, mais en
réalité ?
- Oui, mais sans-déc,
pour de vrai ?
- Combien de personnes
sont-elles inscrites sur cette liste ?
- Seulement ?!
- Combien d'entre
elles y participent-elles ?
- Seulement ?!
- Cette liste
a-t-elle un rapport avec "l'Appel pour des éts innovants &
coopératifs"
?
- Les membres
des 30/40 "équipes-auteurs-signataires" de cet Appel sont-ils inscrits
sur cette liste ?
- Ah bon ?
- Et ceux qui
y sont inscrits participent-ils ?
- Ah bon ?
(page FAQ - en cours d'élaboration) : A suivre ... |
| LE
GUIDE-ANNUAIRE | Commande
| Documentation|
Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |