LES "MODÈLES"
ANGLO-SAXONS :
(libertés, justice,
système scolaire, éducatif, marché de l'éducation,
homeschooling...aux USA et en Angleterre)
AMERICAN
WAY OF LIFE
BRITISH
WAY OF LIFE
Jacqui Smith, ministre de l’Intérieur
britannique,
avoue (Sunday
Times) qu’elle aurait peur dans les rues de Londres la nuit.
Malgré les milliers
de caméras…
Le "modèle"
anglo-saxon, libéral ... et blairo-socialiste...
|
En
Angleterre, des caméras dans les classes
Le Parisien , mardi 26 octobre 2004
IL Y EN AVAIT déjà dans les garderies et les crèches.
Une mère « rassurée »
Lucy, une Française de 32 ans responsable d'atelier dans une usine de Burnley, dont le fils Alexandre, 2 ans, va dans cette école, se dit rassurée : « Il y a quelques semaines, une journaliste de la BBC avait filmé secrètement ce qui se passait dans les crèches en se faisant passer pour une aide-maternelle. On voyait des enfants se faire battre. Avec ce système, je suis complètement rassurée. En plus, comme ma mère vit à Clermont-Ferrand, je lui ai donné mon mot de passe et elle peut regarder son petit-fils à l'école sur son ordinateur. C'est en couleurs. C'est comme un petit film de télé. » Jean Robin
Dès 2006, la Grande Bretagne sera le premier pays à enregistrer chaque déplacement de véhicule. par Steve O'CONNOR, The
Independant - 22 dec 2005
La Grande-Bretagne sera le premier pays du monde à enregistrer les déplacements de tous les véhicules sur les routes. Un nouveau système national de surveillance conservera les enregistrements pendant au moins deux ans. À l'aide d'un réseau de caméras pouvant lire automatiquement les plaques minéralogiques qui passent à leur portée, l'objectif est de créer une énorme base de données des déplacements motorisés, de façon à ce que la police et les services de sécurité puissent analyser n'importe quel trajet effectué par un conducteur, et sur plusieurs années. Les milliers de caméras de télévision en circuit fermé déjà opérationnelles seront incorporées à ce réseau, après avoir été modifiées pour pouvoir déchiffrer les immatriculations, de jour comme de nuit. Le but est de couvrir tous les grands axes et routes principales, ainsi que les villes, les ports et les stations services, 24 h./24 et 7 j./7. Dès mars 2006, les données de 35 millions de lectures quotidiennes des plaques minéralogiques seront stockées dans une base centrale de données jouxtant l'Ordinateur National de la Police à Hendon au nord de Londres : elles comprendront l'heure, la date et le lieu exact du passage, les caméras étant contrôlées par GPS. Il est déjà prévu d'agrandir la base de données en portant à cinq ans la durée de stockage et en ajoutant des milliers de caméras supplémentaires au réseau, de façon à fournir à la banque centrale de données les renseignements fournis par 100 millions d'enregistrements quotidiens de plaques d'immatriculation. Des gradés de la police ont dit de ce réseau de surveillance qu'il représentait probablement le plus grand progrès technologique en matière de constatation et de prévention des délits depuis l'introduction des fichiers d'empreintes génétiques. Mais d'autres, soucieux du respect des libertés civiles, s'inquiéteront du fait que les détails des allées et venues de millions d'honnêtes citoyens seront bientôt couramment enregistrées et conservées des années dans une base de données informatiques centralisée. Le nouveau centre national de données concernant les déplacements des véhicules doit former la base d'un outil moderne de surveillance sur lequel reposera une opération destinée à interdire les routes aux délinquants. Ainsi le centre de données fournira une occasion unique de réunir des renseignements sur les déplacements et les relations des bandes organisées et des personnes suspectes de terrorisme lorsqu'elles utilisent voitures, fourgons ou motos. Le projet est orchestré par l'Association des chefs de la police (ACPO) et a reçu l'accord des ministres qui lui ont alloué un budget de 24 millions de livres d'équipement cette année. Plus de 50 autorités locales ont officiellement donné leur accord pour permettre à la police de modifier les milliers de caméras de surveillance du trafic routier afin qu'elles puissent lire automatiquement les plaques d'immatriculation. Les données seront ensuite transmises à Hendon par un réseau sécurisé de la police. Les chefs de police sont aussi sur le point de négocier des accords avec la Société des autoroutes, les supermarchés et les propriétaires de stations-services, pour inclure dans le réseau leurs caméras de télévision en circuit fermé. En plus de rechercher chaque numéro sur une liste de véhicules volés ou suspects de l'Ordinateur National de Police, le centre national de données vérifiera aussi la Carte Grise, l'assurance et le contrôle technique de chaque véhicule. « À chaque fois que vous vous rendez quelque part avec votre véhicule, vous êtes filmé par une caméra à circuit fermé à un moment ou à un autre. La seule différence, c'est qu'à l'avenir, on lira en plus votre plaque d'immatriculation, » déclare Frank Whiteley, chef de la police du Hertfordshire et président du comité directeur de l'ACPO sur la reconnaissance automatique de plaques d'immatriculation (ANPR). « Le centre de données devrait pouvoir dire où un véhicule a été et où il se trouve à l'heure actuelle, s'il se trouvait ou pas à tel endroit et le trajet qu'il a emprunté pour se rendre sur les lieux du délit et pour en revenir. Les véhicules associés sont particulièrement importants, » a expliqué M. Whiteley. Le terme « véhicules associés » signifie que l'on analyse les convois de voitures, de fourgons ou de camions pour voir quel véhicule en accompagne un autre, déjà connu et repéré par la police. Il est possible par exemple que des malfaiteurs se rendent quelque part à bord d'un véhicule licite, puis volent une voiture et reviennent en convoi, pour commettre d'autres délits. « Ce n'est pas forcément le véhicule volé qui nous intéresse. Ce qui nous intéresse c'est de savoir qui se déplace ne même temps que le véhicule volé, » a expliqué M. Whiteley. D'après une étude réalisée par l'ACPO, le centre national de données sera au cœur d'une opération de surveillance qui devrait interdire aux délinquants d'emprunter les routes. « Notre intention est de créer une infrastructure de caméras et de décodeurs ANPR qui couvre tout le pays, pour empêcher la délinquance de se déplacer de zone en zone et nous permettre une vision globale des déplacements motorisés, » dit l'étude de l'ACPO. « Grâce à ce progrès, nous allons avoir une base de données qui, puisqu'elle permet de suivre les déplacements des véhicules 24 h./24, 7 j./7, va révolutionner les arrestations, le renseignement et le travail des enquêteurs au niveau national ». M. Whiteley ajoute que le MI5 aura également accès à la base de données. « Il est clair qu'un tel système peut servir à l'anti-terrorisme, » « Les services de sécurité l'utiliseront dans
des buts que, sincèrement, j'ignore. Cela fait partie de la sécurité
publique. Si les services de sécurité n'y avaient pas accès,
ce serait de la négligence. »
Big Brother: "Le danger existe" de voir la Grande-Bretagne devenir "une société sous surveillance" Le Monde - 16 août 2004
Tel est l'avis de la commission informatique et libertés britannique. Avec plus de quatre millions de caméras de surveillance installées à travers le pays, les installations britanniques représentent déjà 10 % des caméras de surveillance dans le monde. "Le danger existe" de voir la Grande-Bretagne devenir "une société sous surveillance", en raison du trop grand nombre d'informations sur les citoyens amassées par le gouvernement, s'est inquiété lundi 16 août Richard Thomas, le président de la commission informatique et libertés individuelles âgé de 55 ans, dans les colonnes du Times. "Je ne veux pas tomber dans la paranoïa, mais certains de mes homologues en Espagne ou en Europe de l'Est ont vu lors du siècle précédent ce qui peut arriver quand un gouvernement devient trop puissant et possède trop d'informations sur ses citoyens", a déclaré M. Thomas, faisant allusion au régime du général Franco ou à la Stasi dans l'ex-Allemagne de l'Est. POPULATION FILMÉE, EMPREINTES STOCKÉES ET VOYAGEURS PISTÉS L'Information Commissioner, en poste depuis 2002, s'inquiète notamment du projet de carte d'identité du ministère de l'intérieur. Projet incluant notamment la création d'un registre national qui contiendrait, entre autre, les empreintes digitales, mais aussi l'ensemble des adresses (actuelle et précédentes) de tous les citoyens britanniques. Autre projet gouvernemental qui inquiète M. Thomas : la création d'un registre national pour tous les Britanniques mineurs jusqu'à leur majorité. Ce registre contiendrait les dossiers scolaires et médicaux de chaque enfant ainsi que les dossiers émis par les services sociaux et le statut marital des parents. Sans pour autant se projeter vers l'avenir, la Grande-Bretagne présente déjà certaines caractéristiques d'un Etat orwellien. Avec plus de quatre millions de caméras de surveillance installées à travers le pays, soit quatre fois plus qu'en 2001, selon des chiffres de la Commission européenne publiés en avril, les installations britanniques représentent déjà 10 % des caméras de surveillance dans le monde. De même, les empreintes ADN de quelque 2,5 millions criminels ou présumés criminels sont stockées, ainsi que 5,5 millions d'empreintes digitales. Par ailleurs, l'Oyster Car, la nouvelle carte de transport à Londres, permet de savoir en permanence dans quel métro ou bus se trouve chaque voyageur, la station où il est monté et celle où il va descendre. Avec AFP
Nous sommes tous des « Big Brothers » Délation sur canapé Shoreditch TV a fait de la sécurité son meilleur programme. Connectés aux caméras de télésurveillance de leur quartier, les abonnés de cette chaîne privée londonienne sont invités à combattre le crime depuis leur salon. Rassurant ? De notre envoyée spéciale à Londres,
Marie Vaton - Le Nouvel Observateur - 18 01 07
La faible lumière jaune des lampadaires ne suffit pas à balayer l'épaisse brume qui enveloppe le quartier. A Shoreditch, la nuit semble tomber plus vite qu'ailleurs. Après 16 heures, les rues se vident. Plus âme qui vive à Charles Square, l'unique parc du coin. Une à une, les fenêtres s'allument dans les tours HLM. La journée de travail terminée, en hiver, on ne sort plus. On reste bien au chaud chez soi, rideaux tirés et fenêtres calfeutrées. Big Brother veille. Avec la complicité de chacun. Car désormais, dans ce quartier populaire à l'est de Londres, tout le monde peut épier son voisin. Il suffit d'allumer la télé. Depuis avril dernier, une nouvelle chaîne offre la possibilité de se connecter en direct sur les caméras vidéo installées sur la voie publique. S'il voit quelque chose de louche - un tagueur, un dealer ou un voleur de sacs à main - le téléspectateur est invité à contacter la police. Anonymat garanti. Le slogan de la chaîne se veut rassurant : «Combattez le crime depuis votre canapé.» Une première au Royaume-Uni. L'initiative vient d'une association de rénovation urbaine, Shoreditch Trust, qui se propose d'améliorer la sécurité et de redorer l'image du secteur, un des plus pauvres de Londres. De quoi inciter les cols blancs de la City à s'offrir un appartement dans le quartier. A deux pas de ce riche quartier d'affaires londonien, Shoreditch fait tache. D'anciennes usines de brique rouge désaffectées, des petits lotissements crasseux, quelques tours lugubres. Vols, braquages, drogue, pas un jour sans que la zone administrative de Hackney, dont Shoreditch dépend, fasse parler d'elle dans les tabloïds. La semaine dernière, trois personnes ont été retrouvées mortes dans la rue, victimes d'overdose. Fin novembre, une bagarre a mal tourné dans un club du coin : un coup de feu est parti, tuant net Arian Artus, 22 ans, qui fêtait l'anniversaire d'un copain. Et depuis cette histoire de serial killer à Ipswich, tout le monde a peur. Dans les pubs, on ne parle plus que de ça et la Guinness ne suffit plus à rassurer les esprits. Dix ans que Kenny tient le Marie Lloyd. Le pub se situe en première ligne de la zone filmée par les caméras de la nouvelle chaîne. Il se sent chez lui dans ces murs noircis par la fumée des cigarettes. Mais quand vient l'heure de fermer, Kenny ne peut réprimer un frisson. «La nuit, il ne fait pas bon traîner dans les rues », se justifie-t-il. Alors les caméras, il n'est pas contre, même s'il n'est guère convaincu de leur efficacité. «Le temps d'appeler la police, le délinquant est déjà parti!On aurait pu utiliser l'argent pour autre chose que ça»... Dans le quartier, tout le monde n'est pas aussi nuancé. La nouvelle chaîne fait jaser. «Nous ne sommes pas les petits soldats de l'Etat, grommelle Dixie Dean, le tenancier du Prince Arthur. C'est une entorse aux droits de l'homme d'espionner les gens comme ça, c'est de la m... » Au restaurant le Real Greek, la patronne, une petite blonde affairée, fronce les sourcils. Elle n'a jamais entendu parler de Shoreditch TV et s'exclame : «Franchement il faudrait vraiment n'avoir rien à faire pour regarder cette chaîne!!! » Partiellement financée par l'Union européenne et le gouvernement britannique, Shoreditch Trust dispose d'un budget de 18 millions d'euros pour le lancement de son offre censée «réduire la fracture numérique qui divise le quartier». Le package ADSL, chaîne comprise, est proposé pour 14,99 livres par mois, soit un peu moins de 20 euros. Une facture dure à avaler pour la majorité des habitants. «Mon coloc s'est fait tabasser plusieurs fois en six mois. Alors cette chaîne devrait être gratuite si on veut améliorer la sécurité!» fulmine Hulme, 27 ans, fraîchement diplômé d'une fac de sciences. Shirley, une septuagénaire aucaractère bien trempé, s'indigne : «Payer pour espionner ses voisins? ça va pas la tête! » Joseph Akisanya habite Shoreditch depuis toujours. Il y est né, y vit et y mourra. Il s'est s'endetté jusqu'aux yeux pour acheter son appartement, un petit deux-pièces au 18e étage de la tour de Haberdasher, qui domine Charles Square. Aujourd'hui, il n'a plus un radis pour rafraîchir son logement : le plafond laisse apparaître de larges traces d'humidité et les canapés sont crevés. Par terre, la moquette a perdu depuis longtemps toute trace de couleur. En cinquante ans, Joseph a vu le quartier se détériorer. Alors quand des agents commerciaux sont venus sonner à sa porte pour lui proposer de s'abonner à Shoreditch TV, il a été séduit. Et a décidé d'y souscrire, dès qu'il aura mis un peu de sous de côté. «On peut pas laisser la police tout faire toute seule. On a des yeux pour l'aider, il faut les ouvrir», dit-il en montrant de sa fenêtre la vue plongeante sur Hackney. «Avant, il y avait des dealers qui squattaient au pied de l'immeuble. Ils pouvaient entrer comme dans un moulin.» Depuis quelque temps, la tour a été équipée par le conseil municipal de Hackney d'un système de sécurité à la suite des plaintes répétées des résidents. «Bien plus efficace et plus rapide que la police.» En juillet dernier, Shoreditch Trust annonçait 200 abonnés
dans sa revue locale. En automne, elle entamait la seconde phase de son
projet : 400 caméras de surveillance supplémentaires pour
couvrir 20 000 foyers. L'objectif est d'atteindre 100% de la population,
soit environ 80 000 familles, d'ici au printemps prochain. A terme, Shoreditch
Trust projette d'étendre son offre à tout le pays. Pour le
moment, difficile de savoir où en sont les souscriptions. L'association
ne veut plus rencontrer de journalistes et refuse de communiquer ses chiffres.
Un royaume sous surveillance La Grande-Bretagne, royaume le plus fliqué du monde ? Les caméras de surveillance CCTV (close circuit télévision) poussent à tous les coins de rue, dans les halls d'entreprise et au pied des immeubles. 50 000 dans les bus, 6 000 dans le métro, 8 000 sur la voie publique. Le gouvernement de Tony Blair, qui les finance, ne manque pas d'argument. Ce sont elles qui ont permis d'identifier les kamikazes des attentats du 7 juillet 2005 à Londres. Et pour pister l'étrangleur d'Ipswich, les policiers ont visionné des milliers d'heures de vidéo. Selon les conclusions d'un rapport du ministère de l'Intérieur daté de 2005, les CCTV n'ont que peu d'impact sur le niveau total des crimes. Mais la police, elle, est ravie des initiatives « citoyennes » pour réduire la criminalité. Récemment, Hackney Homes, une association locale, a fait fort : « Caught on camera » (Photographié sur le fait) est un nouveau programme qui permet aux habitants d'envoyer par texto une photo prise de leur téléphone portable de tout ce qui leur semble suspect : graffitis, tas d'ordures ou attitudes délictueuses... Big Brother peut dormir tranquille. Les bonnes gens ont pris le relais. Marie Vaton - Le Nouvel Observateur
Les Britanniques sous l'œil de caméras
qui parlent
01net.
- 10 04 07
« Veuillez ramasser votre mégot. Oui, vous le monsieur à la chemise blanche. Vous risquez une contravention. » La voix vient de nulle part. Mais pas de doute, ces remontrances vous sont bien directement adressées. En tendant bien l'oreille, vous comprenez où se trouve votre interlocuteur : il vous parle au travers d'une caméra de surveillance. Cette scène n'est pas inspirée du livre 1984 de George Orwell : les habitants de Middlesbrough, ville du Nord-Est de la Grande-Bretagne, la vivent concrètement depuis 2006. Les tests menés là-bas ayant été jugés concluants, le dispositif pourrait s'étendre progressivement à tout le territoire britannique. Le ministre de l'Intérieur, John Reid, a annoncé que ces caméras de surveillance parlantes allaient être installées dans une vingtaine de communes supplémentaires, dont Londres. Elles sont destinées à lutter contre les incivilités quotidiennes, du simple jet de papier sur le trottoir à l'acte de vandalisme. Une caméra pour quinze habitants Les caméras seront installées dans la rue et reliées à un central de sécurité. Devant les écrans, des employés interpelleront les passants au moyen de haut-parleurs pour les remettre sur le droit chemin. « Les communautés locales en ont assez des saletés et des incivilités, elles veulent que l'on rappelle aux gens quel comportement est acceptable et lequel ne l'est pas », justifie, selon l'AFP, le ministre de l'Intérieur. Le déploiement de ce dispositif coûtera 740 000 euros. La Grande-Bretagne, est le pays européen où la vidéosurveillance est la plus développée. Le nombre de caméras est estimé à 4,2 millions, soit une pour quinze habitants. |
| Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |