LES "MODÈLES"
ANGLO-SAXONS :
(libertés, justice,
santé, système scolaire, éducatif, marché de
l'éducation, homeschooling ... aux USA et en Angleterre)
AMERICAN
WAY OF LIFE
BRITISH
WAY OF LIFE
PLUS
DE PRISONNIERS AUX ÉTATS UNIS QU'EN CHINE Plus d'un
adulte sur 100 (2,3 millions de personnes) derrière
les barreaux aux Etats-Unis.
Chine, (plus d'un milliard
d'habitants) : 1,5 million détenus, Russie 890.000.
Les Etats-Unis ont le taux
d'incarcération le plus élevé de la planète,
supérieur à des pays comme l'Iran ou l'Afrique du Sud.
AMERICAN
WAY OF LIFE
BRITISH WAY OF LIFE Le "modèle" anglo-saxon, libéral ... et blairo-socialiste... |
Les
fédéraux vont financer la surveillance controversée
des écoles
Alors qu’un débat concernant la surveillance gouvernementale fait rage au sein de la société des adultes, le ministère de la justice des USA incite tranquillement les districts scolaires afin de mettre en application des technologies controversées qui surveillent et pistent les étudiants. Les critiques craignent que ces efforts normalisent la surveillance électronique dès un jeune âge, conditionnant les jeunes à accepter les violations de la vie privée tout en créant un marché pour les compagnies qui développent et vendent des systèmes de surveillance. Quelques-unes des écoles de la nation exécutent déjà des programmes pilotes pour surveiller les mouvements des étudiants en utilisant l'identification par radiofréquence (RFID). Ces programmes fortement controversés, mis en application au nom de la protection des étudiants, voient les élèves porter des tags RFID autour de leur cou et se soumettre au scanning électronique lorsqu'ils entrent et quittent la propriété de l'école. A présent, une nouvelle bourse fédérale pourrait leurrer davantage de districts afin qu’ils utilisent ces technologies ou des technologies semblables. Quoique la violence scolaire soit à son plus bas taux de la décennie, selon les propres statistiques du gouvernement fédéral, les bourses « School Safety Technologies » (« technologies pour la sûreté à l'école ») du ministère de la justice seront distribuées aux écoles qui développent des propositions dans quatre secteurs largement définis: les systèmes de sécurité physique intégrés, les systèmes de surveillance des bus, les dispositifs de bas niveau de force et l’entraînement à la sécurité à l'école. Dans son appel pour les propositions de bourse, l'institut national de la justice (NIJ) - un bras du ministère de la justice - dit que l'argent sera distribué aux écoles proposant "des solutions technologiques efficaces pour protéger les étudiants, les professeurs, le personnel de l'école, et l'infrastructure éducative des activités criminelles, en particulier les crimes de violence." Le NIJ déclare que les systèmes actuels utilisés dans les écoles sont coûteux, envahissants, demandent beaucoup de travail, et sont "répréhensibles à divers segments de la communauté." La vision du ministère pour des améliorations consiste en "des systèmes physiques intégrés de sécurité," qui incluraient "des capteurs non-importuns" afin de détecter les drogues et les armes, afin de pister les étudiants, le personnel, les visiteurs, et les intrus sur les terrains de l'école. Il demande également aux écoles participantes de développer des systèmes qui permettent au personnel d'application de la loi de pister le moment et l’endroit où les étudiants entrent et sortent des bus scolaires. Dans l’une des zones les plus controversées de la sollicitation de cette bourse, le NIJ déclare que l'identification et le pistage « non coopératifs » sont préférés à un système « coopératif ». Un système d’identification non coopératif capture et piste les données personnelles ou biométriques automatiquement, sans que la personne sache qu'elle a été examinée par un système de surveillance. Catherine Sanders, une porte-parole du NIJ, n'a pas voulu polémiquer sur la technologie spécifique qui pourrait être proposée pour obtenir l'argent de cette bourse. Elle a dit que le faire créerait un champ de jeu inégal pour les demandeurs de la bourse. Cependant, les types de solutions technologiques décrites par le NIJ sont semblables à la surveillance RFID et aux programmes de données biométriques. Les compagnies qui fabriquent ces produits décrivent souvent les composants « de pistage coopératifs et non coopératifs » de leurs systèmes. Les écoles de sécurité maximale De telles technologies ont été déjà mises en application dans quelques districts scolaires. Au nord de Houston, au Texas, 16.000 élèves du primaire du Spring Independent School District portent des tags RFID incrustés avec des puces qui indiquent leur localisation sur une carte informatisée. L'école possède également 750 caméras de surveillance montées dans tous ses bâtiments, et avec des projets visant à en installer 300 de plus. À New York, des systèmes RFID sont également utilisés dans les écoles. Le district scolaire de Brockport Central, au nord de New York, est en train de tester la surveillance de l’ensemble des bus scolaires grâce à la technologie GPS et au scanning des identités des étudiants lorsqu'ils entrent et sortent des bus. Les étudiants de la Enterprise Charter School à Buffalo agitent leurs tags RFID devant deux kiosques placés à l'entrée de l'école et qui communiquent automatiquement leur présence aux cours aux professeurs et aux administrateurs. L'utilisation de la technologie de pistage par RFID dans les écoles préoccupe les défenseurs de la vie privée électronique. Ils disent qu'elle compromet encore plus les droits civils déjà minimes des étudiants tout en renforçant un environnement avilissant qui érode la confiance et le respect entre les jeunes et les adultes. Lee Tien, avocate d’équipe auprès de l’Electronic Frontier Foundation, un organisme d’intérêt public, croit que l'utilisation croissante de la technologie RFID dans les écoles pourrait affecter la façon dont le public perçoit la surveillance. "Elle crée une atmosphère dans laquelle vous normalisez l'utilisation de la technologie de surveillance... [ et ] l'idée que vous devriez accepter d’être pisté," a dit Tien. Katherine Albrecht, directrice du groupe des consommateurs contre l'invasion de la vie privée et la numérotation dans les supermarchés (CASPIAN) et auteur du livre « Spychips: How Major Corporations and Government Plan to Track Your Every Move with RFID » (Spychips : Comment les grandes corporations et le gouvernement projettent de pister chacun de vos mouvements avec la RFID), est également préoccupée par la surveillance technologique dans les écoles. Elle dit que les compagnies de RFID visent les publics intéressés avec leurs produits. "Ils le font pour les prisons, ils le font pour les écoles; ils le font pour les militaires; ils le font pour le peuple qui n’est pas en mesure de dire «non », a dit Albrecht au New Standard. "Et qui est moins en mesure de dire « non » qu'un enfant? Je pense que c'est absolument incautionnable, absolument non éthique." Le NIJ demande également aux demandeurs de la bourse de développer des propositions pour "des dispositifs de force de bas niveau." Le détective de New York City Kevin Czartorysky
dit que la force de bas niveau, ou autrement dit les dispositifs non-mortels
actuellement employés par l'application de la loi incluent les matraques,
les massues, les sprays de défense, les lanceurs de balles lestées,
et les armes par électrochocs appelées Taser.
Le NIJ indique que les armes des candidats devraient être "tout à fait sûres, n'entraînant aucun dommage à long terme ou permanent" et "ne devraient pas non plus engendrer l'objection du public, des médias ou du gouvernement." L'endroit le plus sûr où se trouver Alors que les administrateurs des écoles justifient l'utilisation de la RFID et d'autres systèmes de pointe afin de protéger les enfants et les équipements, certaines personnes se demandent si plus de sécurité dans les écoles est même nécessaire. Frank Zimring, un professeur de droit à l’Université de Californie de Berkley et auteur de plusieurs livres sur la violence de la jeunesse, indique que peu importe si les adolescents sont riches ou pauvres, l'école est l'endroit le plus sûr où ils peuvent se trouver. En effet, le crime à l'école a diminué depuis le début des années 90. Selon l'information publiée par le bureau fédéral des statistiques judiciaires en novembre, 1% d'étudiants a rapporté être une victime de violence à l'école. Entre juillet 2001 et juin 2002, il y a eu 17 homicides et 5 suicides à l'école chez les jeunes des Etats-Unis en âge d’aller à l’école et ayant entre 5 et 19 ans. L'étude a également trouvé des taux en baisse des bagarres à l’école, des pourcentages inférieurs d’étudiants apportant des armes à l'école et, en général, moins de crainte à l'école. "Si vous essayez de créer trop de sécurité
dans un lieu scolaire, vous allez en faire une branche de l'entreprise
de l'application de la loi au lieu d'une branche de l'entreprise éducative,"
a dit Zimring.
Le gouvernement fédéral et la RFID L'utilisation gouvernementale de la technologie RFID augmente. Le gouvernement des USA a employé la technologie RFID dans le département de la défense pendant plus de deux décennies, et cette année, le département du Homeland Security (sécurité de la patrie) a commencé un programme pilote visant à pister les immigrés en mettant des puces RFID dans les visas. Mais l'argent coule dans les deux sens. Accenture, une compagnie de consultation globale et de technologie qui se spécialise dans la RFID, était la donatrice de services d’affaires haut de gamme pendant le cycle d'élection de 2004, avec ses propriétaires et employés qui ont donné approximativement $778.589 aux candidats fédéraux, dont 69 % sont allés aux républicains, selon le Center for Responsive Politics (centre pour une politique éveillée). Et Deloitte et Touche, une compagnie de comptabilité et de consultance qui aide les entreprises à mettre en application les technologies RFID, a donné plus de $2,2 millions aux candidats durant le cycle 2004 , dont 71% aux républicains. Une explication pour l'usage croissant de la technologie RFID par les corps fédéraux pourrait être trouvée dans un document du gouvernement découvert par CASPIAN, le groupe qui veille sur la RFID - et cela pourrait avoir moins de rapport avec le besoin réel qu'avec le fait de soutenir les intérêts privés qui soutiennent les politiciens. Un bulletin de décembre 2004 de la General Services Administration (administration générale des services), qui gère les achats fédéraux, encourage les agences "à penser aux actions qui pourraient être prises pour faire avancer l'industrie en démontrant l'intention à long terme de l'agence d’adopter les solutions technologiques RFID." Dans un rapport publié peu de temps après que le bulletin ait été découvert, Albrecht a critiqué le gouvernement pour avoir trouvé des "excuses visant à acheter et favoriser une technologie controversée aux frais des contribuables." La date-limite pour les inscriptions afin d’obtenir la bourse fédérale "School Safety Technologies" ("technologies pour la sûreté à l’école") était le 25 novembre, et le processus complet de revue et d'approbation prend de six à huit mois. La porte-parole du NIJ, Sanders, n'a pas voulu dire combien de fonds seront rendus disponibles ni révéler le nombre de propositions reçues. En attendant, Tien et Albrecht continuent à éveiller les consciences au sujet de ce qu'ils voient comme les dangers de la technologie de pistage et l'abaissement du seuil pour la surveillance autorisée du gouvernement. "Le fardeau de la preuve ne pèse plus sur ceux qui veulent instituer la surveillance, mais plutôt sur ceux qui s'y opposent," a dit Tien à The New Standard avec regret. "Et je pense que c’est un grand changement dans la façon dont les personnes perçoivent la vie privée." Albrecht croit que les adultes d'aujourd'hui –
en tant que membres des dernières générations qui
jouissent de la vie privée et de l'anonymat - ont une responsabilité
énorme dans le combat pour les usages responsables de la technologie.
"Si une génération d'écoliers grandit en acceptant
comme parfaitement normal l'idée que quelqu'un pourrait et devrait
être capable de vous surveiller et de garder trace d’où vous
êtes, lorsqu’ils seront adultes ces personnes n’auront aucune idée
que ce soit du genre de vie privée que vous et moi prenons pour
acquise," a dit Albrecht. "Et ce serait une perte énorme."
Feds to Fund Controversial School Surveillance The
New Standard
by Catherine Komp - November 29 2005 In what some allege is a thinly veiled attempt to normalize surveillance, a federal agency is pumping more money into Big Brother programs that track students despite declining needs for school security. Nov. 29, 2005 – As debate over government surveillance rages in adult society, the US Department of Justice is quietly enticing school districts to implement controversial technologies that monitor and track students. Critics fear these efforts will normalize electronic surveillance at an early age, conditioning young people to accept privacy violations while creating a market for companies that develop and sell surveillance systems. A few of the nation’s schools are already running pilot programs to monitor students’ movements using radio frequency identification (RFID). The highly controversial programs, implemented in the name of student protection, see pupils wearing tags around their necks and submitting themselves to electronic scanning as they enter and leave school property. Now, a new federal grant could lure more districts into using these or similar technologies. Even though school violence is at its lowest rate in a decade, according to the federal government’s own statistics, the Justice Department’s "School Safety Technologies" grants will be distributed to schools that develop proposals in four broadly defined areas: integrated physical security systems, bus-fleet monitoring systems, low-level force devices and school safety training. In its call for the grant proposals, the National Institute of Justice
(NIJ) – an arm of the Justice Department – says the money will be distributed
to schools proposing "effective technology solutions to protect the students,
teachers, school personnel, and the educational infrastructure from criminal
activities, particularly crimes of violence."
The NIJ states that the current systems used in schools are costly, invasive, labor intensive, and "objectionable to various segments of the community." The Department’s vision for improvements are "integrated physical security systems," which would include "non-obtrusive sensors" to detect drugs and weapons, as well as to track students, staff, visitors, and intruders on school grounds. It also asks applicants to develop systems that enable law enforcement personnel to track the time and place that students enter and exit school buses. In one of the more controversial areas of the grant solicitation, the NIJ states that "non-cooperative" identification and tracking is preferred over a "cooperative" system. A non-cooperative identification system captures and tracks personal or biometric data automatically, without a person knowing that they have been screened by a surveillance system. Catherine Sanders, a spokesperson with the NIJ, would not elaborate on the specific technology that could be proposed to qualify for the grant money. She said doing so would create an uneven playing field for applicants. However, the types of technology solutions described by the NIJ are similar to RFID surveillance and biometric data programs. Companies that manufacture these products often describe "cooperative and non-cooperative tracking" components of their systems. Privacy advocates say
Maximum-security Schools Such technologies have already been implemented in some school districts. North of Houston, Texas, 16,000 elementary students in the Spring Independent School District wear RFID tags, embedded with chips that indicate their locations on a computerized map. The school also has 750 surveillance cameras mounted throughout its facilities, with plans to install 300 more. In New York, RFID systems are also being used in schools. The Brockport Central School District in northern New York is testing school bus fleet monitoring with GPS technology and scanning students IDs as they enter and exit the bus. Students at the Enterprise Charter School in Buffalo wave their RFID tags in front of two kiosks at the school entrance which automatically transmit attendance to teachers and administrators. The use of RFID tracking technology in schools is troubling to electronic privacy advocates. They say it further compromises the already minimal civil rights of students while reinforcing a demeaning environment that erodes trust and respect between young people and adults. Lee Tien, senior staff attorney with the Electronic Frontier Foundation, a public-interest organization, believes the increasing use of RFID technology in schools could affect how the public views surveillance. "It creates an atmosphere where you normalize the use of surveillance technology… [and] the idea that you should accept that you are being tracked," said Tien. Katherine Albrecht, director of the group Consumers Against Supermarket Privacy Invasion and Numbering (CASPIAN) and author of Spychips : How Major Corporations and Government Plan to Track Your Every Move with RFID, is also concerned about technological surveillance in schools. She says RFID companies are targeting captive audiences with their products. "They're going for prisons, they're going for the schools; they're going for the military; they're going for the people who are not in a position to say ‘no’," Albrecht told The NewStandard. "And who is less in a position to say ‘no’ than a child? I think it's absolutely unconscionable, absolutely unethical." The NIJ also asks grant applicants to develop proposals for "low-level force devices." New York City Detective Kevin Czartorysky says low-level force, or non-lethal devices currently used by law enforcement include batons, mace, pepper spray, beanbag launchers, and Taser electroshock weapons. However, he adds that these devices would likely draw sharp criticism if used in schools. The NIJ says candidate weapons should be "inherently safe, causing no long-term or permanent injury" and "should also not engender objection from the public, the media or government." The Safest Place to Be While school administrators justify the use of RFID and other high-tech systems to protect children and facilities, some question whether more security in schools is even necessary. Frank Zimring, a University of California at Berkley law professor and author of several books on youth violence, says that whether adolescents are rich or poor, school is the safest place they can be. Indeed, crime in school has been falling since the early 1990s. According to information released by the federal Bureau of Justice Statistics in late November, one percent of students reported being a victim of violence in school. Between July 2001 and June 2002, there were seventeen homicides and five suicides on school property for school-aged youth in the United States between the ages of five and 19. The study also found declining rates of school fights, lower percentages of students bringing weapons to school and less overall fear at school. "If you try to create too much security in a school setting, you’re going to make it a branch of the law enforcement enterprise instead of a branch of the educational enterprise," said Zimring. Federal Government and RFID The government’s use of RFID technology is expanding. The US government has used RFID technology in Department of Defense for more than two decades, and this year, the Department of Homeland Security started a pilot program to track immigrants by putting RFID chips in visas. But the money flows both ways. Accenture, a global consulting and technology company that specializes in RFID, was the top business services contributor during the 2004 election cycle, with its owners and employees giving approximately $778,589 to federal candidates, 69 percent of which went to Republicans, according to the Center for Responsive Politics. And Deloitte & Touche, a global accounting and consulting company that helps companies implement RFID technologies, gave more than $2.2 million to candidates in the 2004 cycle, 71 percent to Republicans. An explanation for the increasing use of RFID technology by federal bodies could be found in a government document discovered by CASPIAN, the RFID watchdog group – and it may have less to do with actual need than with supporting the private interests that support politicians. A December 2004 bulletin from the General Services Administration, which manages federal purchasing, encourages agencies "to consider action that can be taken to advance the industry by demonstrating the long-term intent of the agency to adopt RFID technological solutions." In a statement released shortly after the bulletin was discovered, Albrecht criticized the government for finding "excuses to purchase and promote controversial technology at taxpayers’ expense." The deadline for the federal "School Safety Technologies" grant applications was November 25, and the full review and approval process takes six to eight months. NIJ spokesperson Sanders would not say how much funding will be made available or disclose the number of proposals received. Meanwhile, Tien and Albrecht continue to raise awareness about what they see as the dangers of tracking technology and the lowering threshold for permissible government surveillance. "The burden of proof is no longer on someone who wants to institute surveillance, but rather on those who object to it," Tien told TNS with regret. "And I think that's a big change in the way people look at social privacy." Albrecht believes that today’s adults – as members of the last generations to enjoy privacy and anonymity – have a huge responsibility in fighting for responsible uses of technology. "If a generation of school children grows up accepting as perfectly normal the idea that someone would and should be able to watch and keep track of where you are, as adults those people are going to have no concept whatsoever of the kind of privacy that you and I take for granted," said Albrecht. "And that would be a huge loss." |
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Présentation
| SOMMAIRE
|
| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |