LES "MODÈLES"
ANGLO-SAXONS :
(libertés, justice,
santé, système scolaire, éducatif, marché de
l'éducation, homeschooling...aux USA et en Angleterre)
AMERICAN
WAY OF LIFE
BRITISH
WAY OF LIFE
Après
la sonnerie à ultra-sons anti-ados,
la lumière rose... afp - 26/03/2009 - A Mansfield, les associations d'habitants ont eu une nouvelle idée pour disperser les bandes de jeunes: faire ressortir l'acné grâce à l'éclairage public... Une ville du centre de l’Angleterre a recours à un nouveau stratagème pour dissuader les rassemblements bruyants d’adolescents: un éclairage public rose qui fait ressortir… l’acné juvénile. Une association d’habitants de Mansfield a installé en plusieurs endroits publics, notamment un passage souterrain, des lampes normalement utilisées par les dermatologues pour mettre en relief les boutons et autres imperfections de la peau, a rapporté un journal de la ville. L’association assure que ce dispositif est dissuasif, d’autant que pour certains adolescents, se rassembler sous une lumière rose vif est tout sauf «cool» et ne flatte pas leur virilité bourgeonnante. «Nous étions confrontés à un vrai problème avec ces groupes de jeunes qui traînaient et buvaient dans les souterrains, ce qui pouvait être intimidant, mais les lumières roses ont fait une vraie différence», a commenté un membre de l’Association des habitants de Layton Burrough. «Il y a moins de rassemblements et on se sent plus en sécurité quand on passe par là, surtout la nuit», a-t-elle ajouté. Les habitants de Mansfield envisagent d’ailleurs d’installer des lampes roses dans d’autres quartiers de la ville. «J’approuve totalement et ça semble être une bonne idée», a estimé un conseiller municipal, David Brown. «Il sera intéressant de voir si c’est efficace. C’est effectivement embarrassant mais ils pourraient aussi tourner ça en dérision et se pointer avec des cagoules». En
matière de dissuasion anti-adolescents, la Grande-Bretagne multiplie
les innovations. Le Mosquito, émetteur d’ultrasons audibles uniquement
par les jeunes, a déjà été installé
dans plusieurs villes du pays. Cette invention britannique controversée
s’est déjà vendue à plusieurs milliers d’exemplaires
en Europe et en Amérique du Nord.
BRITISH WAY OF LIFE Le "modèle" anglo-saxon, libéral ... et blairo-socialiste...
Beuark.
AMERICAN WAY OF LIFE... |
«Ils
ont acheté sur le Net une sonnerie de téléphone utilisant
ces fréquences.
Grâce à quoi ils s'appelaient pendant les examens pour se transmettre des informations par SMS, et personne n'y voyait que du feu ! » Ironie de l'histoire, ces ultrasons étaient à l'origine destinés à éloigner les ados de certains lieux, notamment des boutiques. Mais au petit jeu du gendarme et du voleur, du chat et de la souris d'ordinateur, les étudiants ont une sacrée longueur d'avance sur leurs profs. Question de génération et... de motivation. On a testé le boîtier « anti-jeunes » Par Hélène Puel,
01net.
- Jeudi 3 avril 2008
Chasser les groupes d'adolescents « indésirables
», qui squattent les halls d'immeubles, comme on chasse les moustiques
à l'aide d'un boîtier émettant des ultrasons ? Non,
vous ne rêvez pas. Cette technique est déjà utilisée
depuis 2006 en Grande-Bretagne devant certains magasins, dans des bâtiments
ou des parkings.
Le produit, fabriqué par l'entreprise Compound Security Systems, est désormais commercialisé dans l'Hexagone sous le nom de « Beethoven » (Mosquito, outre-Manche). Les adolescents français pourraient donc désormais subir ce « son qui adoucit les mœurs », comme le décrit, avec un sens de la formule très étudié, le distributeur IPB France. L'idée de Beethoven est d'émettre
un son suraigu uniquement audible par les moins de 25 ans. La méthode
ne fonctionne pas à 100 % : certaines personnes plus âgées,
selon leur système auditif, peuvent quand même – plus ou moins
– le percevoir. En testant le dispositif à la rédaction de
01net., nous avons néanmoins pu constater son efficacité.
Un principe tout bête « Même si ce bruit n'est pas douloureux, il devient extrêmement irritant après une exposition de cinq à dix minutes. Résultat : la majorité des jeunes quittent les lieux », promet dans sa plaquette commerciale IBP France. S'il peut surprendre, le principe de l'appareil n'a, en fait, rien de mystérieux. « En vieillissant, l'oreille se dégrade naturellement. Dès 25-30 ans, les êtres humains ne sont plus capables de détecter les fréquences très aiguës supérieures à 16 000 hertz, explique un audioprothésiste installé à Vincennes. Ce principe est déjà utilisé par l'ultrasonnerie, une sonnerie de portable émettant des ultrasons autour de 17 000 hertz. Les jeunes peuvent alors entendre qu'ils recoivent un appel ou un SMS, pas leurs parents. » Ni leurs professeurs... Mais Beethoven, qui se présente comme le sauveur des syndics de copropriété excédés par les adolescents qui squattent les halls d'entrée est-il dangereux pour la santé ? Enfants et animaux sont aussi concernés Sur son site Internet, Compound Security Sytems n'affirme en tout cas pas le contraire. Tout juste explique-t-il que les ultrasons ne sont pas douloureux, même après une longue exposition. « Les fréquences aiguës ne sont pas nocives en elles-mêmes. Tout dépend du niveau sonore auquel elles sont émises », explique l'audioprothésiste. Or, le boîtier a été conçu pour émettre entre 5 et 8 décibels de plus que le niveau sonore environnant. Autrement dit, plus il y a de bruit, plus le volume des ultrasons est élevé. Autre problème : il est techniquement impossible de choisir des fréquences qui ne soient entendues que par les adolescents. « Ces sons supérieurs à 16 000 hertz sont aussi entendus par les enfants et les nourrissons. Si une maman reste à discuter dans un hall d'immeuble équipé d'un tel procédé, elle ne sera pas dérangée par les ultrasons, mais son bébé oui », souligne l'audioprothésiste. Pour se dédouaner, Compound Security Systems livre avec son boîtier un petit panneau pour alerter les passants que la zone est équipée. Celui-ci ne sera pas d'une grande utilité à nos animaux de compagnie, sensibles eux aussi aux ultrasons. D'une phrase sibylline sur son site Internet, le fabricant évacue la question : « Des tests intensifs ont montré que ces [ultrasons] ne paraissaient pas les déranger. » (1) Si vous avez moins de 25 ans, ou l'ouïe
encore fine, vous allez entendre comme une sirène, un son très
aigu, sorte de diapason, qui va agresser votre oreille et se révéler
rapidement insupportable.
Le PS et le MJS indignés par le "répulsif anti-jeunes" --afp--02 04 08 ---- Le PS et son organisation de jeunes militants, le MJS, ont réclamé mercredi "l'interdiction du répulsif anti-jeunes", un boîtier diffusant des ultra-sons perceptibles uniquement par l'ouïe des jeunes. Selon le PS, sous prétexte "d'empêcher les regroupements de jeunes, par exemple dans les cages d'escalier, dans la rue ou devant des commerces (...), ce type de dispositif tend à criminaliser la jeunesse, en assimilant tous les jeunes à des voyous ou des délinquants". "Aujourd'hui, de manière encore plus discrète, des collectivités, des bailleurs ou des syndics s'apprêtent à mettre en place" ce dispositif, s'inquiète le secrétaire national Vincent Léna dans un communiqué. "Il s'agit d'une stigmatisation supplémentaire pour les jeunes des quartiers populaires, à qui ce dispositif infamant est principalement destiné", proteste M. Léna en demandant au gouvernement "d'interdire la commercialisation" de ce "répulsif". De son côté, le Mouvement des jeunes socialistes déclare dans un communiqué que "l'existence d'un tel objet est en soi abjecte et choquante". "Qu'aurait-on dit si on avait inventé un boîtier anti-aînés ?", argumente-t-il. Selon le MJS, "le traitement répressif des problèmes de la jeunesse est une fuite en avant perpétuelle à laquelle la droite donne sans cesse de nouveaux départs". "Dans cette affaire, le gouvernement est responsable.
Responsable de laisser faire la vente libre d'un outil aussi dangereux
pour nos droits et nos libertés", concluent les Jeunes socialistes
qui disent étudier "les moyens juridiques d'obtenir l'interdiction
de la vente du répulsif anti-jeunes en France".
Roselyne Bachelot et Bernard Laporte condamnent le boîtier anti-jeunes --afp03 04 08---- Roselyne Bachelot, ministre de la Santé et de la Jeunesse et son secrétaire d'Etat Bernard Laporte ont exprimé "toute leur indignation" et demandé le retrait des émetteurs d'ultra-sons audibles uniquement par les jeunes et visant à empêcher les attroupements. Dans un communiqué jeudi, ils estiment que "l'utilisation de ce type de procédé est inacceptable d'un point de vue éthique et moral dans notre société et ne peut que conduire à la stigmatisation et à l'exclusion des jeunes". Pour eux, cela "pourrait conduire à penser que certaines difficultés sociales pourraient être résolues par des moyens électroniques aussi choquants", alors que "rien n'est plus important que les valeurs de dialogue, d'échange et de partage avec les jeunes générations". Ils "appellent solennellement tous les bailleurs et les syndics qui auraient recours à ces boîtiers à les retirer dans les plus brefs délais". Le produit, dont l'utilisation a suscité une polémique
en Grande-Bretagne, est distribué aussi en Belgique et en France.
Le PS a demandé mercredi au gouvernement d'interdire sa commercialisation.
Les Britanniques inventent l'ultrason antijeunes Jacques Duplouich - Le Figaro - 17 février 2006 Les «jeunes» qui, assemblés dans les lieux publics, n'aiment rien tant que de s'affirmer bruyamment pour ennuyer le bourgeois, vont devoir modifier leur comportement en Grande-Bretagne. Howard Stapleton, un ingénieux sujet de Sa Très Gracieuse Majesté, a mis au point un répulsif acoustique imparable qui chasse les fauteurs de troubles en émettant des sons à haute fréquence uniquement audibles par les ados, à partir de 12 ans, et les jeunes adultes jusqu'à l'âge de 22 ans. Environ ! La capacité auditive varie selon les individus, bien sûr. Le bruit émis par le Sonic Teenager Deterrent confectionné par Stapleton et qu'eux seuls peuvent ouïr, pour des raisons physiologiques liées à l'âge, est tellement insupportable qu'ils sont contraints de décamper sur-le-champ. Les vibrations rien moins qu'harmoniques de 80 décibels sur une longueur d'ondes pouvant aller jusqu'à 16 kHz évoquent le bourdonnement d'un moustique pris de frénésie amoureuse ou le gémissement d'un violon entre les mains d'un débutant de trois ans hyperactif, c'est selon. Insoutenable, en tout cas. Electronicien autodidacte, Howard Stapleton a confectionné son mécanisme sonore, dans sa chambre, après s'être lassé du comportement des sauvageons des environs qui lui gâtaient l'existence non moins que celle des commerçants voisins. Son arme de dissuasion auditive testée sur ses propres enfants n'affecte pas l'oreille des adultes et s'avère sans danger sur la santé de ses victimes. Elle a été expérimentée à grande échelle, et avec succès, dans le comté de Staffordshire (Midlands) sous l'autorité de la police qui s'en fait le VRP. Les propriétaires de magasins sont enthousiastes, malgré son prix de 622 livres (900 €). Il suffit, lorsqu'un groupe trouble la quiétude, de faire fonctionner la boîte noire à répulsion acoustique – réglable à volonté et fixée à l'extérieur de leur négoce – pour provoquer la dispersion des trublions. Du coup, le conseil municipal de Rochdale, dans le Lancashire voisin,
a décidé de s'en équiper. C'est propre, sans danger
et moins cher que la police. L'appareil est promis à un bel avenir
au Royaume-Uni. Dans le proche outre-mer, les perspectives sont aussi séduisantes.
La France, ses banlieues sensibles et ses écoles à problèmes,
notamment, représente un marché inépuisable.
Quand l'informatique bouleverse le contrôle des connaissances Triche à gogo chez les étudiants ! Quatre-vingts pour cent des jeunes recourent au plagiat sur internet. La riposte s'organise dans plusieurs pays, mais guère en France, où pourtant un rapport dénonce des fraudes incessantes à l'université C'est un son que les plus de 20 ans ne peuvent pas entendre...
Plus précisément un ultrason, mis au point par un ingénieur
gallois, perceptible par les adolescents, mais qui ne l'est plus à
l'âge adulte. Un filon pour quelques étudiants américains
astucieux. «Ils ont acheté sur le Net une sonnerie de téléphone
utilisant ces fréquences. Grâce à quoi ils s'appelaient
pendant les examens pour se transmettre des informations par SMS, et personne
n'y voyait que du feu ! raconte Peter Foster, prof à l'Ecole de
Management de Normandie.
Cela pourrait prêter à sourire si la fraude ne prenait aujourd'hui une ampleur industrielle. A coups de gadgets high-tech calculettes, organiseurs, téléphones mobiles, baladeurs, montre - agenda, etc. - mais surtout avec le plagiat, devenu en quelques années un arme de triche massive. Copier-coller d'un clic de souris, on s'approprie instantanément les travaux que d'autres ont mis en ligne, sans parfois même prendre la peine de les lire. Qu'il s'agisse d'une simple fiche de lecture, d'un TD ou même d'une thèse de doctorat au grand complet. Michèle Bergadaà, professeur à HEC Genève, mène la lutte contre le plagiat depuis qu'elle a pris plusieurs de ses étudiants la main dans le sac. Elle s'indigne : «Maintenant, l'exception, c'est l'étudiant qui ne triche pas !» Et, de fait, 80% des lycéens et des étudiants ont recours au plagiat, selon Nicole Perreault, une enseignante canadienne qui a compilé les différentes études internationales. «C'est un phénomène que l'on rencontre aujourd'hui dans tous les pays à peu près dans les mêmes proportions», confirme Peter Foster. Y compris chez nous. Six Degrés, une start-up montée par deux jeunes diplômés de l'université de Savoie, a mené l'enquête auprès d'un très large panel d'étudiants. Les résultats révèlent chez nous comme ailleurs un usage totalement banalisé du copier-coller. Mais si, côté américain, les facs se sont équipées de logiciels pour détecter ces «emprunts» indélicats, en Europe, la riposte commence seulement à s'organiser. Depuis deux ans, la Grande-Bretagne a mis sur pied une conférence internationale. En Espagne, l'université des Baléares a constitué une cellule de recherche préoccupée par un nouveau phénomène, la «cybersubstitution», qui pousse la fraude un cran plus loin. Des étudiants aux poches bien pleines achètent des travaux réalisés «à façon» par des prols, avec la garantie d'une bonne note et - sic - «l'absence de tout plagiat» ! Coût moyen pour une thèse doctorale : 12 000 euros. En France, la mobilisation reste lente et laborieuse : «Ca bouge,
mais c'est long. Et puis il est difficile de se rendre compte de la volonté
réelle de s'attaquer au phénomène», estime ainsi
Michèle Bergadaà. Seules quelques grandes écoles ont
pris des mesures, comme l'EM Normandie ou l'Escem (école de commerce)
de Tours-Poitiers. «Dès 2001, nous avons constaté que
les cas se multipliaient, près d'une centaine en deux ans, raconte
son directeur, Jacques Chanel. Nous avons une charte, pour faire prendre
conscience à nos étudiants que tricher ne leur rend pas service
et dessert le prestige de leur diplôme.» Et le simple fait
d'annoncer la chasse aux tricheurs suffît à en dissuader un
bon nombre.
Pendant ce temps, la triche se banalise. En cause, une morale implicite : tous les moyens sont I bons pour réussir. «Les jeunes ne sont pas les seuls à tricher, loin s'en faut, on peut même dire que pour tous ceux qui appartiennent à l'establishement, qu'il soit politique, économique ou autre, il est bien commode de reporter l'attention sur la fraude des étudiants», souligne Peter Foster. «Il ne faut pas stigmatiser les jeunes, tout le monde triche !» rappelle Mchèle Bergadaà. Comme Tony Blair, pillant la thèse de doctorat d'un étudiant pour justifier l'intervention britannique en Irak, et jamais sanctionné. Alors, si les chefs d btat donnent le mauvais exemple, pourquoi s'en priver ? D'autant que les sanctions restent très rares et confidentielles. «Entre un risque infime et lointain de sanction et celui concret et immédiat d'écoper d'une mauvaise note, les étudiants n'hésitent pas...», explique Peter Foster. Alors que ces fraudes informatiques en tout genre se multiplient, très rares sont les étudiants pris sur le fait et condamnés. Deux étudiantes en droit qui avaient utilisé leur portable pour tricher à la Sorbonne en 2005 ont reçu un blâme et ont vu annuler leurs résultats. Une première, semble-t-il. Outre une morale ambiante peu regardante, il y aussi des méthodes dépassées : «Les étudiants français sont d'autant plus incités à tricher qu'ils sont soumis à des évaluations écrites plus nombreuses et plus formelles que dans d'autres pays», explique Foster. Sans parler du manque de dynamisme de certains enseignants qui demandent chaque année la même fiche de lecture, les mêmes exercices. Il ajoute : «Et il y a surtout cette obsession de h note, du diplôme, qui est exacerbée en France.» La révolution de l'accès aux connaissances devrait pourtant
entraîner une révolution des méthodes d'enseignement.
Mais pour l'instant, à de rares exceptions près, il n'en
est rien. Le cours académique face à des i étudiants
passifs reste la règle, comme au Moyen- Age. «Il faut revoir
entièrement la façon dont on évalue les étudiants,
le type d'exercice», insiste Mchèle Bergadaà. Les exercices,
mais aussi le contenu même des diplômes. «En commençant
par définir clairement quelles sont les compétences, les
connaissances attendues chez le titulaire d'une licence, pour pouvoir ensuite
les valider, explique ainsi Sophie Penne, en charge des nouvelles technologies
à Paris- V. Par exemple, en sociologie, l'aptitude à conduire
une enquête, à mener des entretiens, etc.» Une vraie
révolution, car aujourd'hui le contenu de bien des diplômes
reste encore dicté par les sujets de prédilection des chercheurs
influents dans tel ou tel département. Ainsi telle licence sera
centrée sur la sociologie des organisations, telle autre sur la
sociologie du travail, etc. En attendant, les amphis se vident et la triche
prospère, car les étudiants, se sentant mal traités,
considèrent qu'ils n'ont pas à respecter le contrat. Certains
nous disent, raconte Sophie Penne : «Mais pourquoi on continuerait
à venir, nos profs, ils sont moins bons que Google !»
Véronique Radier - Le
Nouvel Observateur- 12 12 07
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Présentation
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| Le
nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation
? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme
scolaire et "éducation alternative" | Jaune
devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le
lycée "expérimental" de Saint-Nazaire |
Le
collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure
de la... It's time for ... Re-creation | Freinet
dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer
l'école | Des
écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !|
L'école
Vitruve |
| Colloque
Freinet à ... Londres | Des
écoles publiques "expérimentales" |
| 68
- 98 : les 30 P-l-eureuses | Et
l'horreur éducative ? |