alternatives éducatives : des écoles, collèges et lycées différents
| Présentation | SOMMAIRE |
I Obligation scolaire et liberté I Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop ! Appel pour des éts innovants et coopératifs |
 
 

LES "MODÈLES" ANGLO-SAXONS :
(libertés, système scolaire, éducatif, marché de l'éducation, homeschooling...aux USA et en Angleterre)
AMERICAN WAY OF LIFE
BRITISH WAY OF LIFE



 
 

BRITISH WAY OF LIFE

Le "modèle" anglo-saxon,  libéral  ... et blairo-socialiste...
 

  ÉCOLES ANGLAISES :
Discipline, rigueur et esprit compétitif sont les maîtres mots de la mutation mise en œuvre par le gouvernement travailliste..

   Royaume-Uni : L’uniforme discriminatoire
En imposant un fournisseur unique pour l’achat de l’uniforme, les écoles pratiquent une discrimination à l’encontre des élèves pauvres. 

  Directeur d'école en Grande Bretagne :
« Le métier a beaucoup évolué. Aujourd’hui, on est beaucoup plus responsable,
on a plus de pression, on nous demande plus de résultats. »

  Deux fois plus d’enseignants sont partis en retraite anticipée au cours des sept dernières années. 

  35% des élèves de 11 ans ne savent pas lire.

  Un ado sur cinq ne peut situer son pays sur une carte.

  Ecoles publiques fermées aux pauvres.  Un rapport émis par ConfEd, (une association qui représente les dirigeants du secteur de l’éducation locale) dénonce le manque d’intégrité des processus d’admission dans certaines écoles publiques. Des réunions de "sélection" d’élèves sont organisées, durant lesquelles ne sont admis que les enfants "gentils, brillants et riches".  Ainsi, 70 000 parents n’ont pas pu inscrire cette année leurs enfants dans l’école de leur choix. En écartant les élèves issus de milieux pauvres, ces établissements "hors la loi" espèrent rehausser leur taux de réussite aux examens. 

   Selon l'OCDE, les écoles privées britanniques ont les meilleurs résultats au monde : FAUX !

  ... & Moins de pauvres dans les écoles primaires catholiques.

  Les écoles anglaises pourront être gérées par des "trusts".

  L’école britannique livrée au patronat.  En mars 2000, le Conseil européen de Lisbonne avait fixé comme principal objectif à la politique de l’Union en matière d’éducation de produire un capital humain rentable au service de la compétitivité économique. 

  Le créationnisme aux examens.

   "BAGUE DE VIRGINITE" : Une adolescente anglaise, fille d'un pasteur évangélique, perd son procès en Haute Cour.

  Grande-Bretagne : l'athéisme (bientôt ?) au programme scolaire

  Grande-Bretagne :Les sponsors au secours de l'école

  Empreintes digitales pour les enfants d'une école de Londres. Le Royaume-Uni réfléchit à la mise en place d’une loi pour la création d’un fichier national des enfants de moins de douze ans.

Naître et grandir pauvre en Grande-Bretagne  est encore plus pénalisant que dans d’autres pays développés.

  Un demi-million de «sans-logement». A Londres, un enfant sur deux sous le seuil de pauvreté.

  Un demi-million d'enfants britanniques travaillent "illégalement".

«tolérance zéro» et conditions de détention intolérables. Plus de dix mille jeunes délinquants britanniques sont emprisonnés.  «Le bilan du Royaume-Uni en terme d'emprisonnement des enfants est l'un des pires qui se puisse trouver en Europe.»

  Les frais très élevés d’inscription universitaire dissuadent les étudiants issus de familles modestes de s’inscrire en fac.

  De plus en plus d’étudiantes se prostituent ou travaillent dans l’industrie du sexe pour payer les frais d’inscription de leur université.

  Plus de 350 000 Britanniques ont quitté leur île en 2005 pour jouir d'une vie meilleure
Les jeunes Britanniques se voient vivre ailleurs.  Difficulté d' acquérir un logement, hausse de la fiscalité et indigence des services publics, en particulier les transports et le système de soins.

M. Ernest-Antoine Sellière, alors président du patronat français :« Je suis un socialiste britannique »

  Londres, paradis des milliardaires.

  Selon des rapports de l’ONU et de la Banque mondiale :  « Au Royaume-Uni, les inégalités entre riches et pauvres sont les plus importantes du monde occidental, comparables à celles qui existent au Nigeria, et plus profondes que celles que l’on trouve, par exemple, à la Jamaïque, au Sri Lanka ou en Ethiopie .»

  Grande Bretagne :  premier pays où chaque déplacement de véhicule sera enregistré.

  Les Britanniques inventent l'ultrason antijeunes.

   De plus en plus de mineurs hospitalisés pour des problèmes d'alcool. Le nombre de mineurs hospitalisés en Angleterre pour avoir trop bu a augmenté de 20% en un an.

Beuark.
Ségolène Royal rend hommage à la politique de Tony Blair.



AMERICAN WAY OF LIFE...
L’Angleterre inquiète de la criminalité chez les jeunes
 
Le Soir - 23 août 2007

 

La mort d’un enfant de 11 ans tué par balles à Liverpool, apparemment par un adolescent, relance le débat sur la montée de la criminalité et le phénomène des gangs chez les jeunes Britanniques.

Le Premier ministre Gordon Brown a dénoncé un « crime haineux qui a choqué tout le pays » et promis que les coupables seraient « poursuivis, arrêtés et punis ».

M. Brown a tenu jeudi à Downing Street une réunion, prévue de longue date, avec des représentants de la police et d’autres membres du gouvernement sur le problème de la délinquance juvénile et des gangs. « Là où il y aura besoin de nouvelles lois, nous les ferons adopter, là où il y aura besoin de se montrer plus durs, nous le ferons », a-t-il assuré.

Rhys Jones, 11 ans, jouait au football avec deux amis sur le parking d’un pub du quartier de Croxteth mercredi soir, quand un jeune à vélo, le visage caché par sa capuche, l’a visé et tué par balles vers 19H30 (18H30 GMT), selon la police.

L’enfant, blessé au cou, a été emmené à l’hôpital mais n’a pu être sauvé.

« Nous appelons tout le monde (…) à désigner rapidement le responsable de ce crime affreux et insensé », a déclaré le commissaire adjoint du Merseyside (région de Liverpool), Simon Byrne.

La police a procédé jeudi à l’arrestation de deux adolescents de 14 et 18 ans, et prévoit de nouvelles interpellations.

La police du Merseyside a certes souligné que les statistiques montraient une réduction constante des crimes par armes à feu dans la région, mais le quartier de Croxteth est connu pour être fréquenté par les gangs.

Cette attaque survient alors qu’une quinzaine d’adolescents ont été tués à Londres depuis le début de l’année, par balles ou à l’arme blanche.

Cette vague de meurtres a choqué le pays, confronté à la culture de gangs violents parmi les jeunes de la communauté noire britannique.

Scotland Yard, qui dispose d’une unité spécialisée dans les crimes par armes à feu au sein de la communauté noire, l’Operation Trident, a recensé jusqu’à 170 gangs à Londres, dont certains comptent une centaine de membres.

Le nombre de jeunes poursuivis pour des délits liés à la possession d’armes à feu a augmenté de 20 % entre 2001 et 2005, selon des statistiques officielles publiées début août.

La ministre de l’Intérieur Jacqui Smith a promis « des ressources et une attention » renouvelés pour s’attaquer au problème des gangs. « Nous étudions très sérieusement ce que nous pouvons faire en plus », a-t-elle déclaré, souhaitant recourir plus régulièrement aux Contrats de comportement antisocial (ABCs) par lesquels les délinquants s’engagent à ne plus commettre une série d’actes antisociaux sous peine de sanctions.

En février, l’ancien premier ministre Tony Blair avait fait part de son intention de durcir la législation sur les armes à feu. Il avait notamment dit souhaiter abaisser de 21 à 17 ans l’âge à partir duquel des personnes illégalement en possession d’une arme à feu sont passibles d’une peine minimale de cinq ans de détention.

Le chef de Scotland Yard, Ian Blair, avait à la même époque dit observer « une nouvelle tendance » à l’augmentation des crimes graves et des meurtres impliquant des adolescents, et ce malgré la baisse de 14 % en 2006 des crimes par armes à feu à Londres.

Le chef de l’opposition conservatrice, David Cameron, qui a commencé à durcir son discours ces dernières semaines après un recul dans les sondages, a pour sa part dit récemment vouloir s’attaquer à « l’anarchie dans certaines parties du Royaume-Uni ».



La Grande-Bretagne sous le choc 
après la mort d'un enfant de 11 ans abattu sur un parking

AP  23 08 07
 

LIVERPOOL - La Grande-Bretagne est sous le choc jeudi et s'interroge sur la recrudescence de la violence chez les adolescents, au lendemain du meurtre d'un enfant de 11 ans, abattu d'une seule balle mercredi sur un parking.

Rhys Jones, 11 ans, jouait au ballon avec ses copains sur le parking d'un pub de Liverpool mercredi soir quand deux jeunes en vélo, selon les témoins, ont ouvert le feu dans sa direction. Il est mort d'une balle dans le cou après son arrivée à l'hôpital.

Jeudi, ses camarades de classe et de nombreux habitants de la ville sont venus se recueillir sur le parking, pour déposer des fleurs et rendre hommage au petit garçon qui aimait les jeux vidéo et était toujours souriant, selon ses amis.

Deux adolescents de 14 et 18 ans ont été arrêtés dans cette affaire, qui a eu lieu à Croxteth Park, une vaste cité qui en son temps fut la plus vaste d'Europe, et où des gangs rivaux sont en activité depuis des années.

Non loin de là, il y a quelques jours, un homme qui s'en était pris à un gang a été si violemment passé à tabac qu'il a succombé à une hémorragie cérébrale juste devant chez lui.

"Là où il faut de nouvelles lois, nous les adopterons. Là où il faut une plus grande sévérité dans l'application, nous nous assurerons que cela est fait", a déclaré le Premier ministre Gordon Brown à l'issue d'une réunion consacrée à la violence des plus jeunes.

Le phénomène inquiète de plus en plus la Grande-Bretagne, où il est en forte augmentation. Rien qu'à Londres, 18 jeunes sont morts de mort violente en un an, 11 poignardés et sept tués par balles.

Selon les travailleurs sociaux, beaucoup d'adolescents britanniques des quartiers difficiles sont devenus totalement désensibilisés à la violence, désormais considérés comme la seule solution au moindre problème, et sont de plus en plus fréquemment armés.

Ces cinq dernières années, selon les statistiques gouvernementales publiées en août, le nombre d'adolescents poursuivis dans des crimes avec armes à feu ou port d'armes a augmenté de 20%. 


Grande-Bretagne: 
la multiplication des gangs de jeunes au centre des préoccupations
Par Cyril BELAUD AFP - Samedi 25 août 2007

 

LONDRES (AFP) - La prolifération ces dernières années en Grande-Bretagne des gangs, composés de membres essentiellement issus des minorités ethniques et de plus en plus jeunes, est revenue au coeur du débat politique cette semaine après le meurtre d'un enfant de 11 ans.
Rhys Jones, abattu mercredi soir pendant qu'il jouait au football avec des amis dans un quartier de Liverpool (nord-ouest de l'Angleterre), est le huitième enfant tué par balle cette année. Dans la majorité des cas, l'auteur du crime était un adolescent ou un jeune adulte.

La criminalité ne progresse pas dans le pays, où le nombre d'homicides est resté stable ces dix dernières années. Mais les gangs de jeunes ont créé des poches de violence dans les grandes villes, principalement Londres, Manchester, Liverpool et Birmingham.

Apparus progressivement dans les années 1990, ces gangs ont connu une nette expansion ces dix dernières années. En 1996, 72 gangs étaient recensés en Angleterre et au Pays de Galles, avec des membres majoritairement blancs, âgés de 25 à 29 ans.

En 2006, Scotland Yard en a compté 169 dans la seule ville de Londres, un chiffre qui pourrait même s'élever à 257 à en croire une étude publiée vendredi par la police, qui invite cependant à l'interpréter avec précaution. Leurs membres sont maintenant surtout noirs et plus jeunes.

Il ressort d'une étude pour le ministère des Communautés parue en août, qu'entre 2002 et 2005 la probabilité pour les noirs d'être victimes d'un homicide était de 5,5 fois supérieure à celle des blancs, les gangs frappant de préférence dans leur environnement.

D'après la police, victimes comme délinquants sont de plus en plus jeunes. A Londres, l'âge moyen des victimes est passé de 24 à 19 ans et les crimes sont généralement commis par des gens âgés de 16 à 25 ans. Un sondage de l'institut Mori avait montré en 2006 que 29% des élèves des écoles de Londres admettaient être munis d'un couteau.

"Nous n'aidons pas les jeunes à s'adapter aux sociétés modernes, nous les transformons en gens matérialistes, égoïstes, qui ne savent pas comment nouer des relations avec les gens", regrette Uanu Seshmi, le directeur d'une association londonienne venant en aide aux jeunes délinquants.

"Les jeunes utilisent les gangs comme un substitut, parce qu'ils n'ont pas d'adultes dans leur vie", explique-t-il à l'AFP. "Ils rejoignent un gang parce qu'ils n'ont rien d'autre à faire. Le plus important est de leur trouver des activités dans lesquelles être engagés."

Les gangs sont structurés comme une famille, dans lesquels les nouveaux membres sont souvent introduits par des parents. Le commerce de drogue est le principal facteur associé aux gangs, qui ont développé une culture propre, souvent mêlée à la musique hip-hop.

Environ 40% des membres de gangs reconnaissent cependant être plus ou moins contraints à adhérer au groupe, a montré une étude récente du Centre d'études criminelles de Vauxhall. Mais la peur de représailles les empêche de s'enfuir et entretient le mur du silence.

Les jeunes sont chargés de transporter la drogue et les armes pour les anciens, qui échappent ainsi aux contrôles. Effet pervers d'une loi qui dispose que les plus de 21 ans en possession illégale d'une arme à feu sont passibles d'une peine minimale de cinq ans de détention.

Après la fusillade de Dunblane (Ecosse) en 1996, dans laquelle 16 écoliers et une enseignante avaient trouvé la mort, le gouvernement avait adopté une loi interdisant le port de la plupart des armes à feu. Malgré cela, les "armes à feu illégales sont devenues beaucoup plus accessibles aux jeunes délinquants", a remarqué en 2006 le ministère de l'Intérieur.

"On a laissé tomber un grand nombre de ces jeunes", estime Uanu Seshmi. "La seule chose qu'ils ont est leur colère. Nous devons leur apprendre à transformer leur douleur en quelque chose de plus productif."


Les Britanniques sont horrifiés par la montée de la criminalité chez les jeunes
Le Monde 25.08.07  Correspondant


Le scénario du meurtre de Rhys Jones, 11 ans, est digne d'un Orange mécanique de banlieue du nord de l'Angleterre. Victime sans doute d'une méprise, l'adolescent a été abattu de trois balles, le 22 août, alors qu'il jouait au football avec des copains sur le parking d'un pub de Croxteth, à Liverpool. Son meurtrier présumé, âgé de 16 ans, qui circulait à bord d'un vélo BMW tout-terrain, le visage caché par une capuche, a été interpellé le lendemain de la fusillade.
 

La vague de violences meurtrières commises par des gangs de jeunes n'a cessé de défrayer la chronique criminelle de l'été. Avant le meurtre du petit Rhys, un homme de 47 ans, père de trois enfants, a été battu à mort par trois jeunes gens en train de vandaliser son automobile à Warrington, également dans le nord-ouest du pays.

Un incident similaire a coûté la vie à un autre père de famille dans les mêmes circonstances. Depuis le début de l'année, rien qu'à Londres, neuf adolescents ont été tués par balles.

Face à la révulsion que provoque la guerre des gangs, le gouvernement Brown prône désormais la tolérance zéro. Parmi les mesures préconisées figurent la hausse de 18 à 21 ans de l'âge minimum requis pour consommer de l'alcool, à l'origine de bon nombre d'incidents, ou l'obligation légale pour les témoins d'aider la police. Par ailleurs, l'adhésion à un gang armé pourrait entraîner un alourdissement substantiel des peines.

LAISSÉS-POUR-COMPTE

La réduction de la charge de travail administrative de la police devrait permettre d'accroître la visibilité des bobbies dans les quartiers à risque. Enfin, la priorité est de lutter contre le trafic d'armes - essentiellement originaire d'Europe de l'Est et d'Irlande du Nord -, dont le port de Liverpool est l'une des plaques tournantes. En 2006, les douanes britanniques n'ont saisi que 759 armes à feu. Faciles à trouver sur le marché noir, revolvers et carabines à canon scié sont bon marché, respectivement 150 livres et 50 livres.

"Nous n'avons ni les structures familiales de l'Europe du Sud ni les systèmes sociaux de l'Europe du Nord" : à l'instar du quotidien The Independent, les sociologues s'interrogent sur les raisons de cette flambée de délinquance juvénile. Certains montrent du doigt le fossé croissant entre riches et pauvres, créant une sous-classe de jeunes laissés-pour-compte du "miracle" économique travailliste.

Avec ses rangées de petites maisons coquettes, ses rues propres et ses voitures neuves bien garées, Croxteth Park, zone pavillonnaire de Liverpool où habitait le petit Rhys, à première vue, n'a rien d'un repaire de voyous. Mais, à deux pas, se trouvent deux des pires cités HLM du royaume, Croxteth et Norris Green, véritable jungle urbaine ravagée par la drogue et le vandalisme, d'où serait originaire le meurtrier présumé.

D'autres experts soulignent l'effet du plus haut taux de divorces en Europe, du nombre élevé de familles éclatées, ainsi que d'un système d'éducation public mal adapté. La vie familiale souffre des longues heures de travail des parents et surtout de l'affaiblissement des liens entre adultes et jeunes, plus marqué dans le royaume qu'ailleurs sur le continent. A écouter un criminologue, "ce fossé entre les générations est peut-être une forme extrême de la réserve et du respect de la vie privée chez les Britanniques, mais il est dangereux". 

LE GUIDE ANNUAIRE DES ECOLES DIFFERENTES
| Présentation | SOMMAIRE |
| Le nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation ? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme scolaire et "éducation alternative" | Jaune devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le lycée "expérimental" de Saint-Nazaire | Le collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
| L'heure de la... It's time for ... Re-creation | Freinet dans (?) le système "éducatif" (?) |
| Changer l'école | Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop !| L'école Vitruve |
| Colloque Freinet à ... Londres | Des écoles publiques "expérimentales" |
| 68 - 98 : les 30 P-l-eureuses | Et l'horreur éducative ? |