alternatives éducatives : des écoles différentes
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I Une école différente ? Pour une société différente ? Qui n'en veut ?! I Des écoles différentes ? Oui, mais ... pas trop |
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I Obligation scolaire et liberté I | Une école différente ? Pour une société différente ? Qui n'en veut ?! I

Quelques autres "rubriques", parmi beaucoup d'autres, toujours d'actualité :
les rapports parents-profs, la maternelle à 2 ans, l'ennui à l'école les punitions collectives,  le téléphone portable, l'état des toilettes, le créationnisme...
 
 

Le droit d'apprendre
Ivan Illich dans Une société sans école
proposait, dès les années 70,
une réflexion radicale sur l'échec de l'enseignement à l'école.
Cette dernière, outil d'un Etat,
peut-elle être pensée aujourd'hui autrement
comme il le suggérait il y a trente ans ?

 
 
Archives (1978)
n° 13 - avril 1978 - 49 fr

 

Alors, on n'a pas école aujourd'hui? 

Faire bouger Goliath,
par Henry Dougier 

Ces pratiques alternatives: un modèle? 
Des « lieux pour enfants » où s'inventent d'autres rapports,
par Catherine Baker, Jules Chancel 

 

Cinq expériences, 
cinq itinéraires 
- La Barque, comme le nom l'indique
- Le Toboggan, avant la chute ... ailleurs 
- Le Moulin des souvenirs 
- L'Ecole en Bateau à contre-courants 
- Le projet Jonas, 
Jonas-en-Corrèze : un réseau 
 

D'autres lieux 
 Mais qui, diable, va dans ces «écoles» et pourquoi ?
par Catherine Baker 

- La Roulotte 
- L'Ecole et la Ville 
- Le groupe de Houilles-Argenteuil 
- Terrevigne en Beaujolais 
- Belbezet 
- Le Har 
- La Commune
- L'A.C.C.E.N. 

Critiques et réponses 
Attaques ... et hésitations ... 
Parades ... et auto-critiques 
 

Deux bilans : 
« Attention Ecole », 73-74 
« La Mosaïque », 75-76 
 

Une « théorie» 
par Jules Chancel

Où il n'est plus question de cheveux blonds ni de sourires panoramiques ... mais de politique! 

Face à face, l'enfant et l'adulte 

Confrontations 
Plusieurs silences bien gênants ! (Guy Avanzini)

Je demande toujours : quoi de neuf ? (Fernand Oury) 

Prendre la tangente
(Fernand Deligny) 

Une alternative? Non, une reproduction du système scolaire (Etienne Verne) 

La longue marche des innovateurs (Louis Legrand) 

Vitruve, une école perpendiculaire ... (L'équipe de la rue Vitruve) 

Le lieu central de lutte, c'est l'école publique ! 
(Jacques Guyard) 

Comment enclencher sur le milieu populaire ? (Bernard Defrance, Louis Caul-Futy) 

« L'initiation » plutôt que la pédagogie  (René Schérer) 

Ecoles parallèles ... Lieux de vie ... Réseaux   (Liane Mazère)



BRITISH WAY OF LIFE

Le "modèle" anglo-saxon,  libéral  ... et blairo-socialiste...

  En dix ans, le nombre d’enseignants en Angleterre a augmenté de 10% tandis que celui des assistants (non qualifiés, et 3 fois moins payés) a triplé .

  ÉCOLES ANGLAISES :
Discipline, rigueur et esprit compétitif sont les maîtres mots de la mutation mise en œuvre par le gouvernement travailliste..

   Royaume-Uni : L’uniforme discriminatoire
En imposant un fournisseur unique pour l’achat de l’uniforme, les écoles pratiquent une discrimination à l’encontre des élèves pauvres. 

  Directeur d'école en Grande Bretagne :
« Le métier a beaucoup évolué. Aujourd’hui, on est beaucoup plus responsable,
on a plus de pression, on nous demande plus de résultats. »

  Deux fois plus d’enseignants sont partis en retraite anticipée au cours des sept dernières années. 

  35% des élèves de 11 ans ne savent pas lire.

  Un ado sur cinq ne peut situer son pays sur une carte.

  Ecoles publiques fermées aux pauvres.  Un rapport émis par ConfEd, (une association qui représente les dirigeants du secteur de l’éducation locale) dénonce le manque d’intégrité des processus d’admission dans certaines écoles publiques. Des réunions de "sélection" d’élèves sont organisées, durant lesquelles ne sont admis que les enfants "gentils, brillants et riches".  Ainsi, 70 000 parents n’ont pas pu inscrire cette année leurs enfants dans l’école de leur choix. En écartant les élèves issus de milieux pauvres, ces établissements "hors la loi" espèrent rehausser leur taux de réussite aux examens. 

   Selon l'OCDE, les écoles privées britanniques ont les meilleurs résultats au monde : FAUX !

  ... & Moins de pauvres dans les écoles primaires catholiques.

  Les écoles anglaises pourront être gérées par des "trusts".

  L’école britannique livrée au patronat.  En mars 2000, le Conseil européen de Lisbonne avait fixé comme principal objectif à la politique de l’Union en matière d’éducation de produire un capital humain rentable au service de la compétitivité économique. 

  Le créationnisme aux examens.

   "BAGUE DE VIRGINITE" : Une adolescente anglaise, fille d'un pasteur évangélique, perd son procès en Haute Cour.

  Grande-Bretagne : l'athéisme (bientôt ?) au programme scolaire

  Grande-Bretagne :Les sponsors au secours de l'école

  Empreintes digitales pour les enfants d'une école de Londres. Le Royaume-Uni réfléchit à la mise en place d’une loi pour la création d’un fichier national des enfants de moins de douze ans.

Naître et grandir pauvre en Grande-Bretagne  est encore plus pénalisant que dans d’autres pays développés.

  Un demi-million de «sans-logement». A Londres, un enfant sur deux sous le seuil de pauvreté.

  Un demi-million d'enfants britanniques travaillent "illégalement".

«tolérance zéro» et conditions de détention intolérables. Plus de dix milles jeunes délinquants britanniques sont emprisonnés.  «Le bilan du Royaume-Uni en terme d'emprisonnement des enfants est l'un des pires qui se puisse trouver en Europe.»

  Les frais très élevés d’inscription universitaire dissuadent les étudiants issus de familles modestes de s’inscrire en fac.

  De plus en plus d’étudiantes se prostituent ou travaillent dans l’industrie du sexe pour payer les frais d’inscription de leur université.

  Plus de 350 000 Britanniques ont quitté leur île en 2005 pour jouir d'une vie meilleure
Les jeunes Britanniques se voient vivre ailleurs.  Difficulté d' acquérir un logement, hausse de la fiscalité et indigence des services publics, en particulier les transports et le système de soins.

M. Ernest-Antoine Sellière, alors président du patronat français :« Je suis un socialiste britannique »

  Londres, paradis des milliardaires.

  Selon des rapports de l’ONU et de la Banque mondiale :  « Au Royaume-Uni, les inégalités entre riches et pauvres sont les plus importantes du monde occidental, comparables à celles qui existent au Nigeria, et plus profondes que celles que l’on trouve, par exemple, à la Jamaïque, au Sri Lanka ou en Ethiopie .»

  Grande Bretagne :  premier pays où chaque déplacement de véhicule sera enregistré.

  Les Britanniques inventent l'ultrason antijeunes.

   De plus en plus de mineurs hospitalisés pour des problèmes d'alcool. Le nombre de mineurs hospitalisés en Angleterre pour avoir trop bu a augmenté de 20% en un an.



AMERICAN WAY OF LIFE...

   "Je t'aime, Alex" : 4 mois de redressement.

Lourde peine pour une écolière amoureuse.
Une jeune fille de 12 ans ayant écrit «Je t’aime Alex» sur les murs d’une école, a été envoyée pour 4 mois dans un établissement "accueillant" des élèves "en difficulté". Parmi de nombreuses autres jolies colonies de vacances du même type : Tranquillity bay". gérée par la WWASP (patronnée par le professeur Skinner, le père de la psychologie comportementaliste).

Pour 3000 dollars par mois, il promet de transformer ces récalcitrants en citoyens dociles et travailleurs.



Les écoles publiques en Californie :
"Sodome et Gomorrhe" !

USA 2008 :"dans le Milwaukee, il n'y a pas eu de miracle" (Sol Stern).
LES CHÈQUES "ÉDUCATION" : L'ÉCHEC.
Depuis une bonne vingtaine d'années, ici aussi, le "chèque éducation" (ou "bon scolaire") - en anglais "voucher" -
fait partie d'un blabla yakaiste au sujet des indispensables réformes, "simples, urgentes et radicales", disent-ils, du système scolaire...
L'un des plus fervents promoteurs du chèque-éducation aux USA, Sol Stern, vient de faire brusquement volte-face en affirmant, constats à l'appui, que le voucher n’avait "pas du tout amélioré le système public".
Après avoir depuis longtemps réclamé, soutenu et contribué au développement des vouchers et des charter schools, Sol Stern pointe les défauts et les insuffisances du voucher. Il cite, entre autres, l’expérimentation de Milwaukee, première ville aux États-Unis à adopter, en 1990, un programme "chèque éducation".



«Tout le monde est pour la mixité sociale. Mais pour les autres.»

Le droit d'apprendre
Ivan Illich dans Une société sans école proposait, dès les années 70, une réflexion radicale sur l'échec de l'enseignement à l'école.
Cette dernière, outil d'un Etat,
peut-elle être pensée aujourd'hui autrement
comme il le suggérait il y a trente ans ?

Des écoles différentes
Des collèges et des lycées différents ?
Oui, mais ... pas trop !
Statiques universitaires-fonctionnaires ou camelots très agités ont en commun, depuis deux bonnes décennies radoteuses sur l’échec scolaire, l’art et la pratique du piratage et de son exploitation en produits dérivés et contre-faits.
NON, les écoles différentes ne sont pas les écoles parallèles (à quoi ?), souvent mortes-nées, dont tout le monde parle depuis 30 ans sans jamais (vouloir) savoir de quoi il s’agit/s’agissait : alternativement synonymes de "dernière chance", de "pas mal, ... pourles autres", le terme étant souvent affublé de "post-soixanthuitardes" par tous ceux parvenus, et  qui en sont revenus sans y être jamais allés; précédé de «ça marginalise un peu, quelque part, au niveau de la socialisation, quand même, non ?» ou suivi de «qu’est-ce que ça serait bien si qu'on en ferait une».

« Main basse sur l'école publique »
L'Éducation Nationale est accusée de « fabriquer des crétins » et d'entretenir le « chaos pédagogique », l'insécurité et le chômage. Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi dévoilent la signification de ces mesures : des associations de libéraux et de catholiques conservateurs proches du Front national et de l'Opus Dei sont à l'origine de ces propositions.
Au nom de la liberté de choix, on prépare une privatisation de l'Éducation.

Chatel : les poursuites contre les "désobéisseurs" iront "à leur terme"

afp-08 07 09 --Les poursuites disciplinaires contre les professeurs des écoles "désobéisseurs" iront "à leur terme", il n'y a "pas de raison" d'y "mettre fin", a déclaré mercredi sur France Inter le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.

"Il n'y pas de raison de mettre fin à ces poursuites" disciplinaires, a dit M. Chatel, "il ne s'agit pas de faire des martyrs, il s'agit de mettre en oeuvre les procédures qui existent, et ça me paraît essentiel".

"Il y a des procédures en cours, je rappelle qu'elles sont d'ailleurs protectrices pour les agents de la fonction publique (...)", avec des possibilités de se défendre, la procédure est donc "équilibrée, il n'y a pas de raison qu'elle n'aille pas à son terme", a-t-il ajouté.

Plusieurs maîtres doivent passer devant des commissions disciplinaires pour avoir refusé d'appliquer des réformes du primaire, notamment l'aide personnalisée de deux heures hebdomadaires, qui selon eux alourdit pour les élèves en difficulté des journées déjà parmi les plus longues d'Europe.

"Je suis ministre de l'Education nationale, et je suis très attaché et je revendique ce point précis. Les programmes, ils sont nationaux, conçus dans l'intérêt général des enfants", "l'enseignant doit les mettre en oeuvre", a ajouté M. Chatel.

"La désobéissance, ça me paraît assez peu compatible avec ce qu'est le métier d'enseignant. Un enseignant, il doit faire obéir ses élèves (...), donc il y aurait un véritable paradoxe que lui-même ne s'applique pas ses propres règles", a-t-il ajouté, affirmant que "ces phénomènes sont ultraminoritaires".



Archives 2003
Il ne suffit pas de restaurer l'autorité traditionnelle pour affronter les élèves d'un monde de plus en plus démocratique et individualiste.

École, l'illusion d'un ordre ancien
Par François DUBET - Libération -  07 mai 2003

Luc Ferry vient d'écrire à tous ceux qui aiment l'école afin de désigner la cause de tous les maux : mai 1968. Trente-cinq ans après les événements, la sensibilité individualiste et antiautoritaire de 68 expliquerait les échecs et les difficultés de l'école, comme pour la droite de 68, la cause du mal était juin 1936, et en juin 1936, la Commune. Le diagnostic ainsi posé, la solution va de soi : il faut restaurer les valeurs de l'école, y refonder l'autorité des maîtres et des savoirs évaporés au fil des réformes successives, notamment celle qui avait placé "l'élève au centre du système".

L'élève au centre, pas l'enfant, cela voulait dire que la totalité des efforts des enseignants et des établissements devait conduire à développer les apprentissages et les compétences des élèves. Cette affirmation n'était pas un truisme car elle signifiait que les élèves avaient changé, d'abord parce que les enfants et les adolescents étaient de plus en plus reconnus comme des sujets apprenants, et surtout parce que la massification scolaire avait fait entrer au collège et au lycée des élèves bien différents de leurs aînés. Ceux-ci n'étaient pas seulement moins dociles, ils étaient aussi plus actifs, plus dispersés car soumis à bien d'autres stimulations qu'à celles de l'école, ils étaient aussi plus soucieux de l'utilité de leurs études dans un monde où le diplôme s'imposait comme la clé de l'emploi. A la fin des années 80 s'est brisée la croyance selon laquelle l'instruction et les savoirs pouvaient fonder la totalité de l'éducation scolaire dans une relation pédagogique à laquelle l'élève se soumettait "naturellement". Il fallait aussi que la discipline, bien plus indispensable encore avec ces nouveaux élèves, soit plus orientée vers une forme d'apprentissage de la citoyenneté que vers la seule obéissance. Dès lors, les maîtres devaient se soucier de l'hétérogénéité de leurs élèves, les accompagner, leur donner un peu la parole, leur accorder quelques droits en échange de leurs devoirs.

Aujourd'hui, cette timide tentative de faire de l'école un espace un peu plus démocratique et un peu plus éducatif est interprétée comme une forme de démagogie "jeuniste". On aurait cependant quelque mal à percevoir les conseils de classes comme des tribunaux populaires ou des "AG", et la classe n'est pas une sorte de happening permanent. Il est plus troublant encore d'attribuer les difficultés de l'école à une dérive libertaire quand on sait que la discipline n'a cessé de se renforcer sans pour autant réduire la vague d'incivilités, de violences, d'ennui et d'absentéisme. Et si le niveau des élèves n'est pas à la hauteur des attentes, ce n'est certainement pas parce que les programmes sont trop étroits et trop faciles. Qui peut croire que les enseignants sont devenus des animateurs socioculturels quand la quasi-totalité d'entre eux s'acharne à faire son métier ? Mais le malaise est là, chez les élèves bien sûr que l'on aurait du mal à considérer seulement comme des délinquants, et chez les professeurs qui s'épuisent à faire leur travail et se désespèrent souvent devant une tâche insurmontable.

L'élève ne sera donc plus au centre du système, on reviendra à la majesté des savoirs et aux bonnes vieilles méthodes, celles qui marchaient avec les bons vieux élèves. Très bien. Après tout, pourquoi refuser la tradition et pourquoi se priver de redonner confiance aux enseignants à si bon compte en remettant les savoirs, et donc les maîtres, au centre du système ?

Mais nous sommes là en pleine pensée magique. Qu'allons-nous faire des élèves qui n'auront ni la chance ni la grâce de se plier à ce nouveau jeu ? Suffira-t-il de les déverser vers une professionnalisation précoce pour que le modèle restauré fonctionne en paix ? Pense-t-on un instant que l'école pourra être un îlot d'autorité traditionnelle dans un monde de plus en plus démocratique et individualiste alors que les élèves ont besoin de se soumettre à une autorité qu'ils trouvent légitime et juste, sachant que, par ailleurs, ils demandent de l'autorité ? Imagine-t-on que la généralisation des redoublements sera la réponse à tous les problèmes ; que fera le ministère dont le budget est limité quand le taux de redoublants explosera ? Inviterons-nous les parents à quitter l'école sous le prétexte qu'ils sont "égoïstes" ou "démissionnaires" ?

L'école ne peut éviter d'affronter les problèmes qui se posent à elle dans une société plus diverse, plus démocratique, plus inégalitaire et dans laquelle chaque élève est un individu singulier devant accéder aux savoirs, devant devenir le citoyen d'une démocratie et devant se construire lui-même. L'école doit aider et former cet élève-là et il est illusoire de croire que la restauration d'un ordre scolaire ancien et largement chimérique parvienne à le former. Pire, ce type de discours risque d'encourager les bataillons des enseignants les plus conservateurs et de décourager tous ceux qui ne cessent de se battre pour faire que l'école fonctionne malgré tout, tous ceux qui se dépensent sans compter et auxquels on dira que seul le cours traditionnel est honorable. Le "Mai rampant" qui s'installe dans l'Education nationale a peu de chance d'être éteint par la critique de l'esprit de mai 1968. L'école doit transmettre un héritage, mais elle doit aussi préparer l'avenir et construire une vie démocratique ; le débat scolaire n'oppose pas le laxisme à l'ordre, mais l'éducation des individus à la restauration illusoire et amère des ordres à jamais perdus.



Archives (1985)

LE RETOUR À L'ORDRE
Sa consigne - instruire d'abord - a fait l'effet d'une déclaration de guerre. 

Applaudi à droite, contesté à gauche, Jean-Pierre Chevènement sauvera-t-il, comme il le croit, l'école de la République ou ruinera-t-il quarante ans d'innovation pédagogique? 
L'enjeu est de taille: l'avenir de douze millions d'enfants 


 

une réflexion sur l'école qui, loin du modèle républicain, doit aujourd'hui faire face aux multiples identités.
A l'école des individus

Depuis Savary en 1981, toutes les réformes scolaires ont été refusées.


LE GUIDE ANNUAIRE DES ECOLES DIFFERENTES
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| Le nouveau sirop-typhon : déplacements de populations ? chèque-éducation ? ou non-scolarisation ? |
| Pluralisme scolaire et "éducation alternative" | Jaune devant, marron derrière : du PQ pour le Q.I. |
| Le lycée "expérimental" de Saint-Nazaire | Le collège-lycée "expérimental" de Caen-Hérouville|
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